F1 One shot

Rose-Lestappen (2)

Musique: Always been you

Tw: meurtres, description de cadavre, mention de morts, mention d'harcèlement, mention de maltraitance parentale, torture, violence physique

Parce que la partie 1 a été adorée...

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« Putain, c'est une blague! Il était devant toi, tu l'as rejoins et t'as même pas été capable de l'arrêter !»

« Désolé patron, mais-»

« Pas de mais avec moi Leclerc! T'es sûr cette affaire depuis 1 mois, il a fait 8 victimes et t'as aucun piste ! Combien de personne va-t-il encore tuer ?!»

« Je fais de mon possible !»

« Ce n'est pas assez!»

Il baissa la tête face à son boss au visage furieux. Il avait raison, il n'avait aucune piste. Enfin, aucune piste tangible.

Parce qu'il ne pouvait pas dire qu'il avait une carrure aussi imposante qu'un meuble, qu'il avait des yeux de glace perçant son âme, qu'il avait une aura charismatique indescriptible.

Le plus vieux se laissa tomber dans son fauteuil-chaise et de pinça l'arrête de nez.

« De plus, il a une étrange obsession pour toi. Toutes les victimes sont reliées de près ou de loin à toi. Et elles t'ont toutes causé du tort..»

« Vous n'envisagez quand même pas d'ouvrir une enquête sur moi?»

« On ne sait jamais Leclerc, les seuls capables de te donner des couteaux dans le dos sont les seuls que tu laisses te prendre dans tes bras.»

Outré, il sortit du bureau de son supérieur et rejoignit sa salle personnelle qu'il a eu après plusieurs années dans la police.

On le suspectait d'être avec le tueur en série, de l'aider pour les meurtres. Alors qu'il donnait cœur et âme pour découvrir qui était l'homme qui se cachait derrière tout ce massacre.

Mais il était d'accord avec une seule chose que son boss avait dit.

Il avait une obsession pour lui.

Les fleurs, les victimes, les mots. Tout ça lui était destiné, à lui, Charles Leclerc.

D'ailleurs, à la dernière victime il y avait eu un changement. La fleur n'était pas la même. Les mots n'étaient pas les mêmes. Il avait passer un cap, comme si le faites que Charles l'ai vu est fait avancé leur relation.

Comme si ils étaient passés d'étrangers à amis.

Des amis. Max en avait assez. Lando, Pierre, Yuki, Daniel, Sergio, il en avait assez. Il en voulait pas être seulement ami avec le monégasque.

Il voulait sentir son souffle sur sa peau, il voulait sentir ses lèvres contre les siennes, il voulait ressentir son touché sur sa peau, il voulait caresser ses cheveux, il voulait se noyer dans un regard vert.

Il le voulait.

Il le voulait.

Mais il détestait le voir en colère, ou le voir triste. Ça le rendait fou de rage. Encore plus si c'était à cause d'une personne.

Le voir se faire engueuler pour rien l'énervait. Il devait se défouler pour ne pas tuer le boss de son bien aimé.

Se défouler sur quelqu'un par exemple.