Ce chapitre fait 3200 mots et est de loin, celui que j'ai préféré écrire. J'ai hâte d'avoir vos réactions !! Il reste encore un chapitre de flashbacks puis on reprend le récit principale ; )
bonne lecture :)
Kiss, bealiz ⋅˚₊‧ ୨୧ ‧₊˚ ⋅
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12 ans plus tôt
Trois jours. Cela faisait trois jours depuis l'anniversaire de Clinton. Trois jours depuis que je ne l'avais pas vu. Et cela faisait trois minutes, que j'attendais devant la porte d'entrée des Stillwater. Après plusieurs minutes de plus, j'avais rassemblé assez de courage et pris une grande inspiration avant de toquer à la porte. Phœbe, la mère d'Olivia que j'avais vue quelques fois auparavant, m'ouvrit. Contrairement à toutes les autres fois où je l'avais vu, aujourd'hui, elle n'était pas aussi souriante et rayonnante que d'habitude. J'en avais même déduit qu'Olivia tenait cela d'elle.
— Oh Ryker !
— Bonjour madame, est... est-ce qu'Olivia est là ? bafouillai-je
Elle me sourit, son sourire m'avait rassuré mais n'effaçait pas sa fatigue, elle réajusta son peignoir.
— Rentre, Olivia sera heureuse de te voir.
Elle m'invita à entrer et me proposa un verre d'eau, je la suivais dans la petite cuisine, alors qu'elle me tendait mon verre, mes yeux ne purent s'empêcher de lorgner son poignet. Ce dernier était décoré de marques violettes et bleutées.
— Olivia, descends ! cria Phœbe, ne semblant pas avoir remarqué où mes yeux la fixaient.
Elle retira sa main, une fois que mon verre était dans la mienne.
— J'arrive ! cria Olivia d'en haut à son tour.
Quelques minutes plus tard, la mère d'Olivia s'adressa de nouveau à moi.
— Elle ne va pas descendre avant une bonne dizaine de minutes, tu peux monter.
— Merci, madame Stillwater.
— Appelle-moi Phœbe, Ryker.
Sans plus attendre, je montai les marches quatre par quatre, tant j'avais hâte de rejoindre la chambre d'Olivia, verre dans la main droite, j'allais toquer de la main gauche mais la porte s'ouvrit avant même que j'en aie l'occasion.
— Ryker ! fit Olivia en ouvrant sa porte. Je suis si contente de te voir.
Elle me fit entrer dans sa chambre et asseoir sur son lit. Je respirais enfin en voyant qu'elle allait bien, mais son pansement avait laissé place à une belle petite cicatrice.
— Où étais-tu ?
Cette question me trottait dans la tête depuis trois jours.
— Mes parents m'ont emmenée en voyage !
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REMINDERS (TERMINÉE)
Romance𝐐𝐮𝐚𝐧𝐝 𝐥𝐞𝐬 𝐬𝐨𝐮𝐯𝐞𝐧𝐢𝐫𝐬 𝐬'𝐞𝐟𝐟𝐚𝐜𝐞𝐧𝐭 𝐥𝐞 𝐜𝐨𝐞𝐮𝐫, 𝐥𝐮𝐢, 𝐧'𝐨𝐮𝐛𝐥𝐢𝐞 𝐣𝐚𝐦𝐚𝐢𝐬. Détester est un mot trop faible pour décrire l'amertume qu'ils ressentaient l'un envers l'autre. Ressentaient ? Oui, car Ryker Wright ne...