AKODA PRIME 🌜💫

Les présentations

      Attention :  propos et allusions déplacés.

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           « Ta position est parfaite et même très excitante mais...tu crois vraiment que c'est le lieu ou le moment idéal pour faire l'amour ? »

         « Espèce de...»

         « Hiii aïe aïe aïe aïe aïe aïe aïe aïe ayaaaaaaïe... J'ai mal j'ai mal j'ai mal....»   pleure-t-il soudain, ce qui ralentit aussitôt ma main déjà en l'air pour le gifler. Soit il a fait exprès pour me retenir, soit il a vraiment mal. Mais tout de suite prise au dépourvu, je redeviens inquiète et chercher de mes yeux où est le problème.

         « Où ça ? Où ça ?! » panique-je.

          « Juste là...par ici...»  dit-il haletant, en prenant lui-même ma main qui était en l'air, pour la poser délicatement au niveau de...son cœur !!?  « Juste ici. Tu peux frapper sur mon cœur, j'ai l'habitude. Mais pas sur ma joue. S'il-te-plaît Molly...» finit-il en souriant.

         « Je ne m'appelle pas... RRRRRR !!! » m'harasse-je en retirant sauvagement ma main.

         « Pourquoi tant de violence ? »

         « Vous savez quoi ? Je crois qu'il vous faudra un avocat pour très bientôt... »

         « En tant que victime ou accusé ? »

         « COUPABLE !! Sherlock »

         « Je ne m'appelle pas Sherlock, Molly »

         « Tiens ! Moi non plus ! Alors vous vous appelez comment, que j'appelle vite fait la police...? »

         « Je ne dirai rien sans mon avocat »

         « Vous me donnez envie de pécher » Grommèle-je en détachant une éponge de la plaquette de comprimés.

         « Moi aussi ça m'arrive souvent. Surtout quand une jolie jeune femme est tombée du ciel et est déjà installée à califourchon sur mon corps sexy »

         « Ah vous voulez parler de votre fausse moustache à laquelle vous avez dû emprunter la fourrure à un rat mort ! Oui. Très perçant ! » ironise-je avant de faire entrer mon index et mon pouce dans sa plaie ventrale. Ce qui lui arrache un crie douloureux de surprise.

         « Putain, qu'est-ce que vous faites !!?  » hurle-t-il mais sans possibilité de riposter car tout mouvement brusque pourrait le faire plus mal.

         « Ça y est. Je l'ai. Je la sens !! »

         « Arrêtez !! Vous allez me tuer !! » arrive-t-il à grommeler. Je peux voir des veines saillantes gonfler son cou. Il durci sa mâchoire pour hurler des dents.

          J'extirpe de sa chaire une petite balle. Une balle devenue rouge de sang. Je vais emmener cette balle dans un laboratoire d'analyses. C'est une scène de crime, et donc un indice très important. Dans la boîte à gants je trouve des sortes de sachets poubelles. Ah non ! Ce dont des petits sachets plastiques noirs utilisés pour l'agriculture. Qu'est-ce que cet idiot fabrique avec ça ?

         « Qu'est-ce que tu comptes faire avec cette balle ? Aaaaah j'ai si mal ! »

         « Arrête de pleurnicher !! »

         « Heyyyy !!! Non, non, pitié... Qu'est-ce que c'est que ça ? C'est quoi ce médicament ?? Qu'est-ce que... Haaaah !! »  gémit-il à cause de l'éponge hémostatique que j'ai implanté dans la plaie. Ça le chauffe un peu et c'est normal.