"Il occupait toutes mes pensées, et c'était difficile à encaisser"

Quelques jours après, j'ai repris le boulot avec une certaine appréhension

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Quelques jours après, j'ai repris le boulot avec une certaine appréhension. Avant de recommencer la surveillance d'Anthony, j'étais au bureau avec mon frère. On était en train de rassembler et d'analyser toutes les photos qu'on avait prises durant nos dernières surveillances. Le bureau était en désordre, avec des dossiers éparpillés partout, des photos en noir et blanc prises sous différents angles, et des écrans affichant des séquences vidéo.

Mon frère, concentré comme d'habitude, triait méthodiquement chaque image tandis que je classais les dossiers sur mon bureau. L'ambiance était studieuse, juste le bruit des claviers qui résonnait dans la pièce. Les heures passaient, et on travaillait sans relâche, plongés dans cette routine bien rodée. C'était intense, mais je savais que le plus dur nous attendait à nouveau sur le terrain, avec Anthony toujours dans notre ligne de mire.



**Monsieur Bigard** : "Bon, Marvin, Shannon, on va pas faire de détours. Ça fait un bail que vous êtes sur ce dossier, et franchement, les résultats, c'est pas ça. Faut qu'on parle sérieusement."

**Shannon** : "Chef, on est dessus, mais Watson, c'est pas un amateur. Il fait ça proprement, il laisse aucune trace."

**Marvin** : "Ouais, c'est un fantôme, ce type. On le piste, mais à chaque fois, il nous échappe. On a des éléments, mais rien de vraiment solide."

**Monsieur Bigard** : "Écoutez, ça suffit les excuses. Vous savez ce que ça coûte de mobiliser autant de ressources pour une seule affaire ? La hiérarchie commence à perdre patience, et moi, je suis en première ligne."

**Shannon** : "On a des pistes, chef, vraiment. Des preuves, des photos, des filatures... Watson a des failles, il va faire une erreur."

**Monsieur Bigard** : "Des failles, des failles... ça fait des mois que j'entends parler de ses 'failles'. J'ai besoin de résultats concrets, pas de suppositions. Je vous le dis clairement : si ça bouge pas rapidement, je vous sors de là. Fini."

**Marvin** : "Attendez, chef, on a bossé trop dur sur ce coup pour lâcher maintenant. On le tient presque. Faut juste un peu plus de temps."

**Shannon** : "Ouais, laissez-nous quelques jours de plus. Juste assez pour qu'il se trahisse. On est à deux doigts de le coincer."

**Monsieur Bigard** : "Je peux pas me permettre de continuer à brûler du fric et du temps sur ça. Je vous donne 72 heures. Pas plus. Dans trois jours, si vous me ramenez pas du concret, c'est terminé pour vous sur cette enquête."

**Marvin** : "Trois jours... C'est short, mais on va gérer."

**Shannon** : "On va faire le taf, chef. Vous verrez."

**Monsieur Bigard** : "J'espère bien. Parce que si c'est pas le cas, vous dégagez du dossier et on passe à autre chose. C'est clair ? Allez, au boulot maintenant, le temps tourne."


Infidélité à proximité la femme mariée qui se perd dans les bras d'un criminel Où les histoires vivent. Découvrez maintenant