chapitre 25

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Luciana

Cette femme était morte sous mes yeux. Ses jours étaient fini sur terre. Et c'est fini d'une manière terrible.

Quand je repense à cette scène je ne fais que vomir. Je venais d'assister à la cruauté de Silvio. Celui dont tout le monde parle, celui dont tout le monde à peur. Et moi j'habite chez lui, je vis avec lui sur son toit.

Silvio

Je l'ai poignardé dans la bouche avec mon cuter. Elle était automatiquement morte. Et mon cuter au milieu de sa langue était ma plus grande fierté. Mais je ne suis pas arrêter à là. Je me suis saisi d'un couteau et couper ses doigts. Et le simple fait de les voir tomber me fait un bien fou.

Ces mains qu'elle a utilisé pour nous maltraiter sont désormais à ma merci. Comme toujours je le dis : La vengeance est un plat qui se mange froid. Et ce plat là était le plus délicieux.

Je vois Miguel qui laisse couler une larme à la vue de sa mère mais la nettoie tout de suite. Cette femme mérite se qui lui arrive. C'est le diable incarner. Elle ne fais que payer tout le mal qu'elle à fait a des enfants de dix ans. Dès cet âge là, non avons appris à nos dépend.

Quand je fini mon sale boulot, je me retourne et sors de la salle à torture.

- Emilio, nettoie moi tout ce sang et arrangez vous pour jeter le corps. Je ne veux plus la voir dans ma maison. Dis-je avant de sortir.

- C'est compris.

Je sors et je croise Luciana assise dans un coin du couloir. Elle a les genoux plier et la tête sur ses genoux. Ses cheveux bruns recouvrent toute l'entièreté de sa tête.

Quand elle entend un bruit de pas, elle lève automatiquement la tête vers moi. Je fais mine de ne pas l'avoir vu et je continue mon chemin.

- Silvio attend !!! M'interpelle t-elle.

Je m'arrête mais sans me retourner et sans dire un mot. j'attends qu'elle parle.

- après que tu m'es parler de la vidéo ce soir là, tu m'a aussi dit quelque chose d'autre.

- Que t'ais-je dit ?

- Je ne me rappelle plus trop bien mais mes derniers souvenirs était sur la dalle de cet immeuble où sur la pluie tu....tu m'a avoué que tu aimais.

A voir son visage, ça se sent qu'elle est terrifiée. Je fais aussi peur que ça ?

Je me souviens très bien de ce que je lui es dit ce jour là. Ce jour où je suis allé la chercher et je l'ai ramené ici. Finalement je crois que je n'aurai pas dû. Elle était plus heureuse avec lui.

- Alors....est ce que tu étais sincères ? Si c'est le cas alors...

- Non, c'était du mensonge. Je ne ressens rien pour toi. Rien sauf du dégoût pour la fille de cet enfoirés de Moretti. Qui es tu pour que je t'offre mon cœur ? Tu n'es rien. J'ai dit ces paroles ce jour là pour te ramener ici. Parce que les autres ont besoin de toi. Excepté ça, toi et moi nous ne sommes pas de la même catégorie. dis-je en me retournant enfin pour scruter son magnifique visage avec ses traits de poupée.

Elle laisse échapper quelques larmes avant de s'accroupir à l'aide de la manche de l'escalier. Je sais que ce que je venais de dire la détruit mais elle s'attendait à quoi ? Quand on joue avec le feu, on se brûle. Je suis le feu, et je l'avais prévenu dès le début. Et je suis plus que content de cette victoire. J'ai réussi à la détruire tout comme son père m'a détruit moi étant enfant.

En fin de compte je n'ai pas changé. Je suis toujours le même aujourd'hui et éternellement. Personne ne pourra changer ça. Je continue mon chemin jusqu'à ma chambre où je me couche directement sur le dos en laissant coulé une larme sur ma joue. Ça fait des mois qu'elle n'était pas sorti. Cette vrai larme viens directement de mon cœur et la blessure qui s'y tient est profonde.

Captive D'un Mafieux T1 / T2Où les histoires vivent. Découvrez maintenant