Captive D'un Mafieux T1 / T2

chapitre 5

A mon retour à la maison, j'avais à peine franchi la porte d'entrée qu'Amalia se Jetta dans mes bras.

- Ma poupéeeeeee t'es enfin de retour.

Je m'efforce à rire à son aire telle une gamine qui vient de retrouver sa mère.

- Tu m'a manqué tu sais. Continue t-elle

- Toi aussi tu m'a manqué.

- alors cette mission ?

- vous aviez tout prévu hein ? Le coup de l'assistante et tout. J'espère juste ne pas me mettre dans des problème.

- t'inquiètes pas. Il ne t'arrivera rien. Nous sommes là pour toi. Pas vrai bébé ?

Dit elle en regardant un homme assis dans le canapé dont je n'avais pas remarquer la présence. Il se contente seulement de nous sourire avant de se concentrer sur son téléphone.

Alors ils sortent ensemble ? Si je me rappelle bien il s'appelle Angelo. c'est celui qui m'a sauvé des blessure que Mr Costa voulais m'infliger

Une voix grave me fait sortis de ma rêverie. Je lève la tête pour voir qui s'est même si je connaissais déjà son identité. Nos yeux se croise et il est plutôt....en colère.

- Dans mon bureau, tout de suite.

Je regarde Amalia avec un regard qui montre toute ma peur. Elle fait un mouvement de tête me disais de le suivre. Je le suis alors jusqu'au bureau. Nous entrons et il s'assoit sur sa chaise et se sers un verre d'alcool qui était sur sa table.

- Alors comment ça c'est passé aujourd'hui ?

- rien. On a juste fait connaissance.

- ok. Tache de bien joué ton rôle et en aucun cas il doit savoir que tu as été envoyé par moi.

J'hoche la tête.

- tu peux y aller. Tu restera dans la chambre mais ne tente rien de stupide si tu ne veux pas que l'une de mes balles soit longé dans des yeux.
Je me crispe en entendant ces mots.

- SIlv....Mr ? Je vous en prie dites moi pourquoi m'avoir kidnappé ? Je....je n'ai rien fait à personne. j'essayais juste de vivre une vie normale. *Pleure*

- *rire* Épargne moi tes pleures. Ça Me donne mal à la tête. Ah Moretti. Mlle Moretti si tu savais comme j'ai la haine envers toi. Je me retiens juste de te buter.

- Alors faites le à la fin et qu'on en finisse.

- je ne le fait pas parce que tu dois payer petit à petit.

- vous savez quoi ? Vous êtes un lâche. Oui un lâche. Je ne vous ai rien fait mais tout ce que vous savez faire dans la vie c'est ruiner la vie des gens.

- j'aime bien les filles qui ont dû caractère tu sais. Mais ton tempérament commence sérieusement à m'énerver.

Il s'approche de moi et me saisi le cou. Son regard est devenu noir et vide d'émotions. On aurai dit qu'il n'était pas humain à cet instant là.

- Si t'es encore en vie remercie ma sœur et mon bras droit. Je ne te permet en aucun cas de me parler sur ce ton la. Tu ne souffres pas encore alors n'empire pas ce qui va t'arriver. Physiquement je ne sais pas mais je vais me charger de te détruire mentalement.

Il voulait me détruire ? Est ce qu'il pouvait détruire quelqu'un qui était déjà détruite ? Depuis mon enfance tout à toujours été difficile pour moi. Tout ces harcèlement à l'école Parce que je n'avais pas de père qui venait me chercher à l'école et plutard ça à été ma mère. Elle est partie et je me suis retrouvé dans un orphelinat où personne ne voulait de moi. On me fuyais comme la peste.