Captive D'un Mafieux T1 / T2

chapitre 27

Luciana

Je n'avais pas bien saisi ce qu'il venait de me dire.

- Quoi ?

- Je te donne la possibilité de t'en allé et de reprendre ta vie. Je te donnerai un travail, avec mon argent j'ai plusieurs entreprises partout. Je te donnerai une maison que je payerai chaque fin du mois où tu peux le payer avec ton salaire si tu veux. Je te donnerai un chauffeur et une voiture et tu pourras refaire ta vie loin de nous, loin du danger et loin de tout ça. Peut être que tu te marierai, tu auras des enfants, des petits diables qui courront dans ta maison. Alors fait toi choix. Tu pars où tu reste.

Wow, comment est ce qu'il peut venir me surprendre comme ça avec cette question. En vrai, je voulais m'en aller d'ici mais j'avais pas réfléchi à la vie que j'allais avoir dehors. Cette offre est plus que parfaite. Je n'aurai pas à me démerder pour chercher un boulot

- Et pourquoi tout ça ?

- prends ça comme un cadeau de remerciement pour la joie que tu as apporté dans cette maison. Alors t'a décision ?

- Je peut réfléchir ?

- Luciana, tu réponds maintenant où tu ne réponds jamais.

Je regarde Amalia et je ne sais plus quoi faire. Je suis perdu. D'un côté j'avais envie de partir depuis le début, de reprendre ma vie d'avant. Mais d'un autre, je me suis fait une famille ici. J'ai rencontré des gens comme Amalia, Miguel, Emilio, Alexia, Angelo et Angel. Des personnes fantastique que je n'oublierai jamais.

- Luciana j'attends ta réponse

- Je.....je pars.

En disant ses mots mon cœur fait un bond dans ma poitrine. Je n'ose même pas regarder le visage d'Amalia.

- Ok, alors fait tes valises. Tu partiras le plus tôt possible. Plus vite on sortira de ta vie, mieux ça serra.

Aussitôt dit, aussitôt fait je rentre dans la chambre et je commence à faire les valises.

- Tu pars vraiment ? Le demande Amalia avec une toute petite voix.

Je laisse le linge qui était dans ma main et je me tourne vers elle. J'attrape ses bras fermement

- Oui Amalia. Tu sais que j'en ai besoin. Je ne supporte pas votre monde. Je ne vous oublierai jamais.

Nous nous faisons un câlin et elle carresse lentement mes cheveux.

- Merci beaucoup Luciana. Merci pour tout ce que tu as fait pour moi. Je n'oublierai jamais cette aventure de la vie.

- Et moi encore moin.

Quelqu'un toque à ma porte bien qu'elle ne soit pas entièrement fermer. Je peux apercevoir Miguel. Je lui dis d'entrée et aussitôt dit aussitôt fait.

- Salut Luciana, j'ai appris que tu t'en allait.

- Oui Miguel

- T'a quelque minutes à m'accorder ?

- Bien sûr

- Viens avec moi.

Il me prend le bras et me tire vers le jardin. Arrivé dans le jardin il lâche ma main et me dis de me coucher dans l'herbe ce que lui même il reproduit.

Nous étions coucher là, dans les herbes entrain d'admirer le ciel.

- Tous ces moments vont me manquer Luciana

- Moi aussi.

- Tu ne souviens du jour où l'on avait fait le tour du jardin en maillot de bain ? ( Partie que j'ai omis de mentionner dans l'histoire )

- *rire* bien sûr que oui. On aurai dit de petits cafard qui n'avait rien à faire.

- *rire* Et du jour où on s'est amusé à décrire les nuages ?

- C'était comme si c'était hier.

- Tu te souviens du jour où je t'ai chatouiller à n'en point finir? Nous étions coucher comme ça, dans cette même position

- Évidemment. Tu m'a fait rire jusqu'a ce que je ne puisse plus rire. C'était que des larme qui sortait.

- Et tu te souviens du jour où je t'ai poussé dans la piscine de la maison

- Oui, et je ne peux jamais l'oublier. Ce jour là j'étais trempé de la tête au pieds pendant que toi tu te tordait de rire. mais pourquoi me rappeler tout ça ?

- Eh bien....je veux juste que tu saches que tu as combler un énorme vide en moi. Depuis la mort de ma soeur, je ne m'étais jamais amuser comme je l'ai fait avec toi. Je ne veux jamais que tu oublies tout ce qui s'est passé. Garde les dans ton cœur s'il te plaît.

- Je le ferai Miguel, je le ferai.

- Tu pleures ? Pourquoi ?

- C'est juste que tu.....tu *pleure*

- Viens là Lu'

- tu va me manquer Miguel.

- Toi aussi ma belle.

- T'étais comme un frère pour moi. Et je t'en remercie

- C'est plutôt moi qui doit te remercier pour ce vide que tu as combler en moi, pour cet amour que tu as su me donner.

Nous nous Levons et au même moment Emilio viens vers nous.

- Luciana, tu peux venir s'il te plaît ? Je veux te montrer quelques choses.

Je regarde Miguel qui me fait signe que je peux y aller.

Nous nous dirigeons vers la piscine. Nous nous asseyons au bord.

- Luciana, je voulais juste de dire que tu as été une grande sœur formidable pour moi. Tu as toujours été à l'écoute de mes problèmes surtout quand c'était mêlé à Alexia. Nous avons toujours pu compter sur toi dans les bons comme dans les mauvais moment alors pour te remercier..... tiens ça !!! Dit-il en me poussant dans l'eau.

Merde !!!

Qu'es ce que j'ai fait à cet enfant. Il se tord de rire devant ma tête estomaquée

- Et ça te fait rire c'est ça ? Attend que je.....

Et là je sens qu'il y a quelques choses qui me retiens par la hanche. Je me retourne et c'est.....

- Silvio ?

- Bon moi je vous laisse. Salut

- Qu'est ce que c'est que ça ? !!!

- tait toi juste, et profite. dit-il en se rapprochant de moi.

- Non, j'peux pas faire ça

- Pourquoi ?

- Parce qu'après tu va me jeter comme de la poubelle.

- Luciana, je croyais que t'avais compris que je ne suis pas quelqu'un de sérieux. Alors essaie juste de profiter.

- J'ai peur

- Alors remplace la peur par une autre sensation. Dit-il en m'embrassant fougueusement.

La douceur de ce baiser, mêlé aux goutes d'eau qui tombait de ses cheveux rendait cette seconde sensation inexplicable. J'étais comme transporter dans un univers où tout m'étais inconnu. Je savais pourtant très bien que ce que je ressentais n'était pas réciproque mais je ne pouvais pas nier ce qui m'arrivait. Tous mon corps était comme figer. Je le réclamait tout entier.

Quelques temps après il met fin à se baiser et le regard qu'il me lançait disais tout. Il en voulais plus et moi aussi. Alors il m'a transporter jusqu'à sa chambre où il s'est passé ce qui devait se passer.

J'AI COUCHÉ AVEC SILVIO COSTA

[......]

Quelques instants après j'étais dans une voiture avec toutes mes affaires dans le coffre. J'étais à l'arrière de la voiture et j'avais le coude sur la portière de la voiture. Je regardais le paysage défilé devant moi et je sentais le vent de la liberté sans mes cheveux. 
C'est le début d'une toute nouvelle aventure pour moi. Je tourne la page d'un livre de ma vie qui est loin d'être terminé.