Captive D'un Mafieux T1 / T2

chapitre 8

Luciana

Putain j'aurai pas pu rester dans ma chambre entrain de faire les cents pas où je ne sais quoi d'autre ? Pleurer je sais pas. Mais là je viens monté dans la voiture de Silvio et il s'en va affronter Mario.

Putain....

- Miguel et Angelo vous montez ensemble. Amalia tu prends ta moto et Luciana tu viens avec moi. Dit la voix autoritaire de mon ravisseur.

Tout le monde hoche la tête et on monte. Mario voulais l'attaquer mais je crois que Silvio va déjouer ses plans et l'attaquer là où il ne s'y attend pas. Au moin mon travail d'espion a servi à quelque chose.

Je monte dans la voiture et j'attache ma ceinture. Des secondes après il démarre et au fure et a mesure qu'on avance la vitesse augmente.

Elle roulait tellement vite que j'en avais peur.

- S'il te plaît ralenti

- Quoi ? T'a peur ?

Un sourire se dessine sur son visage avant qu'il augmente encore la vitesse je m'enfonce dans le siège et je le regarde.

Toujours avec ce sourire scotché sur son visage il me dit

- Supplie moi

- Je t'en prie

- j'ai rien entendu

- Je t'en prie

- Quoi ?

- S'IL TE PLAÎT RALENTI. je t'en supplie

Il me regarde et il règle la voiture a une vitesse normale.

- merci

- pas de quoi. Dit-il en mettant sa main sur ma cuisse.

Qu'es ce qu'il fait ?

Il remonte un peu jusqu'a mon entrejambe où je sursaute a son toucher sur cette partie.

- Ne bouge plus. M'ordonne t-il

- t'es fou ?

- Je t'ai dit de ne pas bouger.

Je sursaute un peu a son ton et je reste tranquille dans mon siège comme un enfant qu'on vient de gronder.

Il fait sauter mon bouton à l'aide d'une seul main tout en regardant sur la route et il caresse mon bassin ce qui me donne des tas de frissons.

J'avale difficilement ma salive quand je vois qu'il tire sur l'élastique de mon sous vêtements et qu'il y met sa main.

- Laisse moi te détendre.

Je suis toute trempée et quand il le remarque, son sourire s'élargit. Il laisse entrer un doigt brutalement, ce qui m'arrache un gémissement soudain. Je ne m'y attendais pas.

Il enfouis deux doigts en moi puis trois en faisant des vas et viens et moi je ne fais que gemir.

Merde. J'aimerais pouvoir ne rien ressentir a son toucher mais c'est impossible.

Il continue son geste sans même un regarder et mes gémissements le fond sourire.

Il me perturbe. Je ne sais plus où mettre la tête. Je tire sur mes cheveux tellement le plaisir est intense. Sa main est très abile.

Je commençais à y prendre goût quand d'un coup il retire sa main de moi et crispe sa mâchoire.

Quoi ? Qu'est ce que j'ai fait de mal ?

- On est presque arrivé. Dit-il sèchement après ce qu'on vient de vivre.

Où plutôt ce que je viens de vivre.