Destins liés

Chapitre 16

Buck, Eddie, Christopher et Maddie étaient devant chez Athena et Bobby. Ce dernier leur ouvrit.

- Papy !

- Champion.

Son père prend son fils dans ses bras puis embrasse ses joues avant de le poser.

- Bonjours fils.

- Bonjour papa.

Il l'enlace tendrement. Son père de cœur salua sa sœur puis ce fut au tour de son compagnon.

- Respire Eddie, je ne vais pas te manger, enfin si tu ne blesses pas mon fils, dit Bobby en serrant l'épaule de son brun.

Ce dernier était figé.

- Papa, ne lui fais pas peur, il va faire un syncope.

Il pousse son homme dans la maison. Il voit son fils étreindre Athena puis aller vers Maddie.

- Bonjour mon chéri.

- Bonjour Ma'.

Sa mère de cœur l'enlace tendrement puis elle regarde Eddie.

- Bienvenue dans la famille Eddie.

- Merci.

Sa ma' enlace son homme, il n'entend pas ce qu'elle lui dit à l'oreille, mais vu la pâleur de son brun, ça devait être des menaces s'il lui faisait du mal.

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Le repas s'était bien passé, ses parents de cœur étaient heureux pour eux, mais ils avaient bien dit à nouveau à Eddie que si Christopher ou lui pleurait par sa faute, il le regretterait amèrement.

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Eddie n'avait presque pas d'affaires, il avait loué un meublé, donc son aménagement avait été rapide.

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Il venait de préparer le repas, il va prévenir son fils et son compagnon. En arrivant devant la chambre de son fils, il s'arrête et regarde avec tendresse les deux hommes de sa vie, Eddie aidait Christopher à réciter sa leçon de littérature.

Quand il vit que c'était fini, il les interpelle.

- Les garçons, à table.

- On arrive papa.

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Il était blotti dans les bras de son homme dans leur lit.

- Tu cuisines vraiment trop bien mi amor.

- Merci.

- Mais je vais grossir à force.

- Tu compenses au travail ...

Il le regarde en effleurant son torse.

- ... et tu pourrais compenser en faisant du sport en chambre ?

- Très bonne proposition.

Il se retrouve allonger sur le dos avec son brun sur lui qui l'embrassait. Il répond au baiser un sourire aux lèvres, en glissant ses mains sous le tee-shirt de son homme.

Les lèvres de ce dernier glissèrent sur son cou.

- Ton tee-shirt me gêne, lui dit Eddie presque en grognant.

Il sourit.

- Enlève-le moi.

- C'est un défi Buckley ?

- Il est facile à relever Diaz.

Sous un sourire, ils s'embrassèrent passionnément avant qu'il ne se retrouve torse-nu.

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Il était terriblement nerveux, la grand-mère et la tante d'Eddie venaient manger chez eux. Il les avait déjà rencontré, mais pas depuis qu'il était en couple avec Eddie et que ce dernier leur a avoué qu'il était le père biologique de Christopher, mais qu'il n'avait pas demandé la garde.

- Respire mi amor, elles ne vont rien te faire.

- Elles viennent pour la première fois ici, elles vont rencontrer Christopher, peut-être qu'elles vont te demander de le prendre car je m'en occupe mal, peut-ê ...

Eddie le fit taire en l'embrassant.

- Calme-toi. Déjà, elles ne me demanderont jamais de prendre Christopher, elles savent qu'il a déjà un père incroyable, toi.

- Eddie, tu es aussi ...

De nouveaux, les lèvres de son brun lui coupent la parole.

Leurs lèvres se séparent quand il sursaute en entendant la sonnette d'entrée.

- Respire, tout va bien se passer, lui dit Eddie.

Il acquiesce, mais les mots ne sortent pas.

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Isabel et Pepa l'avaient enlacé comme elles l'avaient fait avec Eddie en lui souhaitant la bienvenue dans la famille Diaz. Quand son fils était arrivé avec sa sœur, les deux femmes Diaz avaient fondu pour la frimousse de Christopher.

Il faisait la vaisselle. Il sursaute en entendant parler.

- Tu es vraiment un bon cuisiner Buck.

- Merci Isabel.

- Je vais t'aider à ...

- Ce n'est pas la peine, je vous en prie.

Elle lui touche sa joue droite.

- Je comprends que mon Edito soit tombé amoureux de toi. Tu es quelqu'un de bien. Quand Edito nous a appris qu'il sortait avec un homme, nous avons été surprises, mais nous sommes ouvertes d'esprits, par contre nous nous demandions quel genre d'homme tu étais. Nous savions que tu devais avoir un grand cœur, tu as adopté un enfant handicapé, mais ça ne voulait pas tout dire. Aujourd'hui, je comprends que c'est l'une de tes plus belles et grandes qualité, tu es gentil, adorable, bon cuisiner, bon père et tu rends notre Eddie heureux. Pour nous, c'est tout ce qui compte.

- Il me rend heureux lui aussi.

Elle lui sourit tendrement.

- Buck, si tu es d'accord, est-ce qu'on pourrait voir Christopher de temps en temps.

- Bien sûr, vous pouvez le voir quand vous le voulez, il est votre arrière petit fils.

- Merci.