Exutoire.

Meriadeg

Abruti. Crève. Puis renait pour vivre pour moi. Je me nourrissais du peu d'espoir que tu m'insufflais. Mais ce soir là, comme tout les autres que j'ai passé à me faire vomir ou à me frapper la tête contre mon mur, j'ai eu besoin de toi. Tu ne m'aurais pas donner ce calin dont j'ai besoin.
Ah, ce besoin primitif de chaleur.

Je suis devenue si froide ... Glacée. Et quand l'air est frais, je me brise comme de la glace sur laquelle on aurait exercée trop de pression. 

Je suis morte. J'ai perdu le combat.
Je l'ai perdu quand j'ai dessiné ma souffrance sur mon corps. Je vais grandir avec ces traits de marqueurs à alcool puissants, je vais me marier avec...
Je vais avoir des questions. Je n'aurai jamais le droit d'oublier les réponses.
Prends moi dans tes bras, je t'en supplies, remplie moi de ta chaleur...

Pardon. Je t'aime.
La vie est moche, et les humains sont faux...
mon amour pour toi est vrai.

Je me dégoute. C'est invivable. J'ai constamment envie de pleurer. Je meurs. 
Oh, je suis morte.
J'ai juste envie de me couper... Quand je me coupe, je me sens si bien...

Pardon.

Le bruit de ses phalanges frappant le mur de béton ...

Mes yeux la fixant ... Ils étaient remplies de larmes... Mais ces larmes, elles n'ont jamais existé.
Je voulais pleurer. J'ai pas su.
Je t'aime...

J'ai envie de pleurer sur l'épaule de quelqu'un. Peut etre que ça me guérirait...
Je suis morte. Morte et désolée.
Mon corps est si laid ...
J'ai mal. Litérallement...

Je ne sais pas pourquoi, mais la vie est si moche. Si violente et horrible. Bordel plus j'avance et plus j'ai mal...

J'ai jamzis voulu me attre ni survivre j'en peux plus et je ne suppote plus cette syntaxe de merde alors laissez moi vous

vous tous et vos standars de merde je suis épuisé vous tous vou s avait tout piris de moi je m'en fou d etre lu ou comprise je beu tout casser tout detruire pour ce qu'il reste du moins j'en peu plus je siuis épuisée...