"Ciseau dans Ta Gueule. Pétasse"

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-Changement de plan, on doit retrouver Terry.

Dans sa robe majestueuse, elle me regarda avec ses yeux bleu-vert qui propager son inquiétude en moi. Elle avait aussi le regarde dans le vide, comme si elle réfléchissait à ses mots :

-Ashley... Tu étais avec lui toute à l'heure..? Que s'est-t-il passé ?

J'hésita. Je n'allais pas quand même dire que j'ai dit à Terry que je l'aimais.
Je lui expliqua que j'étais partie avec lui dans le parc naturel de l'hôtel, et qu'on avait parlé de Camille, car, pour moi "c'était vraiment choquant".
Elle partie dans la salle de bain pour enlever sa robe. Enfin, elle sortie de la chambre en courant, même dans les escaliers. Elle avait l'aire si inquiète, elle tient beaucoup à ses amis. Je la suivit aussi rapidement. Cependant, Camille ne bougeait pas du poil, comme si elle était devenue une statut, une vielle statut sale, puisque je ne vais pas mentir, je l'a trouvé horriblement moche comme un crapaud, avec ces cheveux lisses, long et court.

Charline voulait qu'on se sépare, sauf que, je n'avais pas son numéro si jamais une de nous le retrouve :

-Je te le donnerais plus tard. Faut vraiment qu'on le retrouve rapidement si tu veux qu'on aille à la soirée.

Intrépide, Charline demanda à tous le monde sans aucune gêne, s'ils n'auraient pas vu un grand garçon, de quinze ans. À l'exception de trois personnes, personnes ne l'avaient.

Cette personne, qui était une vielle femme chargé d'ans tout fripé, nous avait dit, qu'elle avait vu un jeune garçon, au cheveux noir profond, qui était d'un taille grande et d'une corpulence lambada. Son pantalon était un jean bleu qui était en lambeau. Avec un t-shirt Nike blanc. Il avait également une casquette.

Plusieurs choses montrer que ce n'est pas lui, car : il avait certes un t-shirt Nike, mais celui de Terry était noir, étant donné qu'il avait un survêtement hoxton noir Nike. Il n'avait pas de casquette non plus. Il n'a pas les cheveux noirs.

Charline se trouvait à côté de moi, une idée intelligente me venant en tête. On était si bête ! Pourquoi nous n'avons pas demandé où il était !

-Putain de merde, la tête de Camille, on est trop conne, dis-je violament.

-De quoi ?

-Pourquoi on lui a pas demandé où il était ?!

-Aah okk, souffla-t-elle. Tu me crois le personnage d'une histoire d'horreur ? Comme si il me l'avait pas dit ? Et même, si il ne l'aurait effectivement pas fait, crois-tu que je ne lui aurais pas demandé ?

-Il t'a dit quoi ?

-Il m'a dit qu'il est dans le parc et qu'il s'est perdu.. Mais il n'a aucun souvenir de comment il est arrivé ici. Il m'a dit qu'il était avec toi, puis, quand tu étais parti, il n'a eu plus aucun souvenir de ce qu'il a pu bien se passer.

Oh... Ma flamme dans mon cœur s'était ravivée. Il avait dû s'égarer dans ces pensées par rapport à notre embrouille. Finalement, j'en pinçait encore plus pour lui. Si seulement je n'avais pas posé cette question.

Je marchais seule. Charline était partie autre part. Je ne faisais pas attention à ce qu'il se passait autour de moi. A quelle mètre plus loin, il y avait un rocher avec du sang dessus.
J'avais un sourire quand je le vis, ça me rappelait Rayan, le casse-couilles qui me suivait comme un chien après son maître. Et aussi que je devais trouver LE coupable de tous ces meurtres qui avaient eu lieu dans le foyer.

Trente minutes passèrent, et je n'avais aucune nouvelle. Je leva les yeux pour voir droit devant moi. Subitement, je vis Charline, et dans ses bras, Terry.
Il saignait à la tête ta rouge vif, tandis que Charline essayait de cacher sa blessure, ça tant bien que mal avec sa main. Ils étaient si proches, torse contre torse. Donc, je décida de retourner dans la chambre.

Quand j'ouvris la porte cérusé, je reviens la tête de Camille. Cette fille, qui n'a même pas fait un effort pour le retrouver.

-Camille tu es vraiment une sale pute. Tu crois que je n'ai pas démasqué ton petit secret ? Ton excuse était nulle, je veux plus te dire ton mensonge. En plus tu l'as appelé "Client". Tu es même pas discrète, tu n'as même pas fait un petit effort.

-C'est toi la pute, pétasse.

-j'ai pris le téléphone de Camille, et je couru très loin d'elle. Puisqu'elle savait que j'avais son code, elle décida de me suivre. C'était un piège de ma part, elley a mordu comme un petit poisson à deux neurones.
On était dans ce même parc, mais on était éloigné de toute personne.
Je ne m'étais pas caché avec une discrétion hors norme, mais j'ai fait exprès volontairement de me laisser montrer.
Bêtement, elle vit vers moi.

Déjà, que j'étais si enragé par la faute de Terry, et que en plus je devais supporter cette putain gosse. Dans ma tête, c'était trop. Tout à l'heure.. secrètement, j'avais pris un ciseau que j'avais mis dans ma trousse qui était donc dans pour faire ce voyage :

-Rends-moi mon téléphone ! Pétasse !

-Donne-moi une bonne raison pour le faire.

-Car tu es ma pute.

-Ok, c'est vrai tu as raison. Sauf que là on va inverser les rôles, et dans ce cas là.. Ça va être toi ma pute.

J'ai pris le ciseau et le planta dans son crâne. Elle cria, hurla de toute ses forces, pleura toutes ses dernières larmes, s'écroula sur l'herbe fraîche.
Je retira brutalement le ciseau, pour le replanter dans son cœur, je faisais des trous son cadavre, elle devait ressembler à du gruyère. Je tappa son code pour envoyer un message a n'importe qui. Et je vis que dans ces contacts, il y a avait "Linee". Cela ressemblait drôlement à Charline..? Alors, je lui envoya un message : "Salut je voulais te dire que j'ai trouvé un mec plutôt beau gosse dans l'hôtel. Et, nous sommes tombés tout les deux amoureux instantanement. Je peux dire que j'ai eu le coup de foudre !! Donc me chercher pas byyye 🥰🖕à et, accessoirement je t'aime pas et que mes parents sont bien morts et que j'envoie des nudes contre de l'argent"

J'enlèva mon t-shirt rose tâché de sang. Puis, je courais discrètement vers un lac, pour jeter son t-shirt et ce ciseau qui avait commis un terrible meurtre qui me reposa un minimum l'esprit. Le pire de tout ça, c'est que je l'ai tué avec tellement de facilité. Elle n'a même pas cherché à se défendre.

Une fois que j'avais rejoint la chambre je vis, Charline et Terry s'embrassaient langoureusement et tendrement.

Comment me divertir ?Où les histoires vivent. Découvrez maintenant