Sensual in red and black II

Danza kuduro

> "Danza kuduro" de Don Omar ft. Lucenzo

Un an plus tard, en Grèce

Le son de mes pas se fait entendre sur le marbre qui gît sous mes pieds tandis que ma main arrange ma veste et que je retire mes lunettes de soleil puis passe mes mains dans mes cheveux. La chaleur de ce soleil réveille mes instincts et je sens les femmes tremblés sous l'odeur de mon parfum alors que je sors de mon nouveau bijoux: une lexus lfa noir. Je ne me prive pas de ce luxe qui m'est servit sur un plateau d'argent, non pourquoi le faire, après tout qu'elle mal y à t-il à me plonger dans le plaisir de ce péché? Je lance ma clé à l'un des employés sans lui adresser un seul regard , mes pas continuant de me guider à l'intérieur de cet hôtel 5 étoiles qui reste à la hauteur de mes espérances alors que je claque des doigts pour qu'une femme vienne me ôter mon manteau aussi sombre que mes cheveux.

Lui: Faites porter mes affaires dans ma suite, vous avez 2 minutes dis-je d'un ton cassant mes perçant de sensualité et d'autorité.

Je ne prends pas la peine de savoir si ils suivront mes ordres car oui ils les suivront, je n'attends d'eux que la perfection, je ne tolère rien de plus et rien de moins. Mes yeux trempé de métal court le long des silhouettes qui s'arrête sur mon passage pendant que je continue ma route, imposant et respirant l'assurance , traquant celle pour qui je suis venu ici, cette femme dont j'attise la flamme à chacun de mes touchés, à chacune de mes morsures: Ma Captive. A ma montre, l'heure s'affichant midi me laisse penser que cette créature impatiente et presque trop docile à mes gestes dur et dominateur, semble m'attendre au lieu de rendez vous que nous nous sommes donner après que j'ai quitté Blackout pour reprendre mon moi passé et faire de Rebecca l'ultime femme , l'ultime conquête.

Après ses mois à dompter ce profond dégoût qui à finit par se changer en haine, je la garde seulement en simple accessoire pour m'assurer d'avoir toujours mon appétit assouvit et presque parfois retenu en cage les fois où je ne supporte plus de la voir dans mon lit. Je me sers d'elle comme elle se sert de moi, ainsi vont les choses. En m'avançant vers l'arrière de l'hôtel donnant directement une vue imprenable sur une plage au sable blanc et à l'eau turquoise qui me semble presque trop utopique et dénuer de réalité. Mais ce qui m'intéresse, c'est celle qui se trouve sur le balcon, celle que je hais mais que j'utilise sans le moindre remords comme un jeu cruel qu'il y a entre nous deux et qui ronge mon âme avec plaisir. Je glisse ma main le long de sa robe saumon rosé légère et même presque transparente, me laissant le plaisir de voir la courbe de ses fesses ainsi que sa peau dont je ne me lasse pas de toucher. Mes lèvres viennent embrassé sensuellement la base de sa nuque avant que je l'entoure de mon bras gauche pour la plaquer d'un coup sec contre moi.

Lui: Tu as presque failli me manquer, mon amour..susurré-je d'un air envoûtant, froid mais si impérieux.

Rebecca: Failli..? Souhaites-tu déjà me briser le cœur Alexander ? murmura t-elle en passant ses doigts derrière ma nuque avec lenteur.

Lui: Est-ce que ça marche..? Rétorqué-je en un sourire carnassier en la retournant pour la faire reculer jusqu'à la balustrade de pierre, nos corps irrésistiblement collé l'un contre l'autre.

Rebecca: Lorsque j'en aurai un, tu seras le premier à savoir..ronronna t-elle un sourire étirant ses lèvres pulpeuses qui vinrent rejoindre les miennes en entourant mon cou de ses bras.

J'amplifie notre baiser en glissant mon bras autour de sa taille pour caresser de ma main ses formes des plus voluptueuse puis je me retire avertit par l'appelle d'un homme du personnel qui me dérange -comment dire ça- en pleins "repas".

Employé: Un appel de votre frère, Monsieur Ross..dit-il intimidé par mon regard glacial qui venait de le faire reculer.

Lui: Qui aille au diable celui là, j'ai bien mieux à faire! dis-je menaçant en prenant la main de Rebecca pour lui souffler au creux de l'oreille.