Les carte en main

Chapitre 22: Le rendez-vous

Kaisy s'était vêtu d'une robe noir, plisser en dentelle qui lui arriver au dessus des genoux. Elle se regarda dans le miroir, posa sa mains sur son épaule puis grimaça de douleur et soupira. La jeune fille arrangea ses cheveux et sortit pour son rendez-vous. L'italien l'attendait dans sa voiture et la récupéra. Arriver devant le restaurant, l'italien se dirigea vers une table pour trois ou un homme y était mais elle le vit de dos. Lorsqu'elle arriva près de la table, elle vit Jeff lui sourire et s'installa à table. La jeune fille baissa les yeux et un mal aise s'installa durant la soirée. A sa fin du dîner, Fabio reçut un appel et devait partir laissant les deux seules.
- Tu veux que je te raccompagne, j'ai...dit il gentiment.
- Non, je me débrouillerai. répondit elle sèchement.
- S'il te plaît, princesse. fit il tristement.

Elle fit par accepter et monta dans la voiture, restant silencieuse pendant tout le trajet. Il arriva devant son appartement et ne vit personne dans les couloirs. L'immeuble dans lequel elle vivait, était délabré et de la moisissure couvrait les murs. Le criminel la regarda et la voyant que de dos. Il posa ses mains autour de ses hanches et enfouit sa tête dans son cou. Mordillant ses oreilles et marquant son cou de traces rougeâtres. La jeune fille reteint des petits cris de plaisir et essaya de repousser le jeune homme en vint.
- A....arrête et si....quelque arrive. essaya de dire la jeune fille.
- Tu devrais savoir que cela ne m'arrêtera pas, princesse. fit le jeune homme en souriant.

Il la retourna et la vit rouge comme une tomate. Elle arriva à ouvrir ouvrir la porte et ils entrèrent dans l'appartement. Le jeune homme l'embrassa et la guida jusqu'au lit sans rompre le baiser. Laissant tomber sur le sol ses vêtements peu à peu. La journaliste arriva sur le lit et quand son corps frappa le lit, elle sentit le choque la ramener à la réalité.
- N...non, je peux pas...il faut que tu partes s'il te plaît. dit la jeune fille tremblante.
- On ne me stop pas comme ça, princesse. fit le jeune homme souriant.
- Tu...tu ne comprends pas. annonça Kaisy.
- Alors explique moi! s'exclama le criminel.

Un silence s'installa alors dans la pièce, un silence qui fit soupirer Jeff. Il l'attacha alors au lit avec sa chemise et passa ses mains sous sa robe. La sentant frissonner à son contact et sourit. Il remonta sa robe sur ses bras et la regarda rougir puis il contempla son corps qui n'avait pas changé sauf une blessure qu'elle avait sur son épaule, qu'il n'avait jamais vu. Il passa ses doigts dessus et la vit grimacer de douleur.
- Quand est-ce arrivé? demanda t'il avec un regard noir.
- S'il...s'il te plaît...supplia la jeune fille.
- Maintenant je ne joue plus je veux des réponses. dit il de sa voix rauque.
- Laisse-moi. demanda la journaliste.
- Quand est-ce arrivé? redemanda le criminel.

Le silence revint mais fut brisé par un cri de douleur. Jeff pour montrer son sérieux avait appuyé sur la blessure et continua jusqu'à obtenir une réponse.
- C'était un jour après ton accident. répondit la jeune femme les larmes aux yeux.
- Était-ce les mêmes personnes?.....ne m'oblige pas a redemander. reprit le criminel.
- O...oui, c'était moi qui visait ce soir la et pas toi. avoua la jeune fille triste.
- C'est pour ça que tu es partit? demanda alors Jeff.
- S'il...s'il te plaît arrête. supplia t'elle.
- Répond! ordonna le jeune homme en colère.
- O..oui, tu n'as que des problèmes à cause de moi alors je suis parti et je ne pouvais pas te demander de venir alors que tu as une vie là-bas. finit par lui avouer la jeune fille.
Jeff s'assit alors sur le bord du lit, alluma une cigarette et sourit en expirant sa bouffer de fumer puis il finit par rire.
- Pourquoi tu ris? demanda Kaisy en colère.
- Fabio m'a sortit une phrase sur le bonheur et une maison, je crois que c'était un truc comme qui veut être contente, ne doit pas se séparer de sa maison. dit le criminel.
- Voilà alors rentre chez toi. fit la jeune fille.
- Et bien je crois que ma maison c'est l'endroit ou tu te trouve. lui annonça t'il en écrasant sa cigarette.
Il se remit sur elle plongeant sa tête dans son cou puis chuchotant à son oreille, " car après tout en tant que grand criminel, je me dois de veiller sur mon plus grand trésor". Elle rougit a cette phrase et se laissa aller aux plaisirs qu'il lui offrait, vivant un nuit d'amour et de passion.