Chapitre II

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          La lumière du jour me réveilla. Il est tant que je m'achète des rideaux, depuis le temps que je le dis. 10 minutes après, c'est mon réveille qui sonne. Je le mets toujours en plus, au cas ou. Il est 6h45, j'ai 1h pour me préparer, après, c'est boulot-boulot.

          J'ai la tête dans ... les fesses. Pour être polie. Je me sens mal. Je suis encore très fatiguée, du au petit temps de sommeil que j'ai eu, et extrêmement ridiculisée fasse à ce chat qui n'a rien demander et qui n'a sûrement rien compris. Je m'en veux un peu de l'avoir laisser dehors. Mais il a sûrement déjà des maîtres et puis, qu'est ce que j'aurais fait d'un chat moi.

           Je décida enfin de me lever. J'alla ensuite m'habiller puis partis en direction de ma petite cuisine. Je me prépara le meilleur des petits déjeuners qui existent et finis dans la salle de bain. Une fois prête, je sortie dans la cage d'escalier de mon immeuble. Je me demande, comme chaque matin, si cette journée serra un peu mieux que les autres.

           Arrivée en bah de l'immeuble, je m'immobilise. Le chat m'attendait sagement, assis sur son tout petit derrière, sur le côté de la porte. Il me regardait avec ses grands yeux. On aurait dit qu'il souriait.
- Hum .. salut ? essayais-je.
Nan mais pour qui je me prends moi ? Je parle à un chat maintenant .. Je monta sur le trottoir et me remis en marche. Une fois arrivée, je rentra dans l'agence. Le chat m'avais suivie jusqu'à la porte d'entrée.

          18h45 - au lieu de 18h30, je tiens à le préciser ! - je sors du bâtiment. J'ai enfin fini. Journée de merde. Comme d'hab. Mais je suis en Weekend. Mon premier réflexe est de vérifié la présence du chat. En effet, il est là. Il me regarde encore avec son petit sourire. Est-il content de me voir ?
- Tu n'as pas de maitre ? lui demandais-je.
Après un grand silence je lui lança :
- Comme si tu allais me répondre .. Dans ce cas la, suis moi.
Je le laissa me suivre puis entrer dans mon petit chez moi. Qu'est ce qu'il me prenait ? Jamais je n'aurais laisser une de ses bestioles rentrer chez moi auparavant, qu'importe l'espèce. Peut être parce qu'il a été le seul à être là quand il le fallait ? Peut être parce qu'il me ferait un peu de compagnie ? Dans tous les cas, je l'avais laissé rentrer dans mon quotidien, et je sens qu'il n'était pas prêt d'en sortir.

Poka et son chat qui était autant un chat qu'un rat est un porcOù les histoires vivent. Découvrez maintenant