Save Me From Myself [Sterek]

Prologue

-Stiles PDV-

Je sorti de la salle de bain, maintenant plein de sang. De mon sang. Je regarda mes bras coupés et me rappela la première fois où j'ai appuyé une lame sur mon poignet gauche. Cela remonte à bien des années. Je me dirigea vers mon lit en prenant au passage une boîte contenant tous les moments importants de ma vie. En relevant mon regard de l'énorme tâche rouge qui se trouvait sur mon chandail je vie un bout de papier sur mon miroir. Je me leva malgré la souffrance et pris le papier. Il y avait quelque chose inscrit dessus.

"Je suis parti au boulot et je ne reviendrai pas avant 21h. Il y a des pizzas dans le frigo si tu as faim. Sois sage.
Je t'aime.
               Papa xxx"

Si tu m'aimais réellement, tu aurais remarqué que je n'allais pas bien. Tu aurais remarqué que ça fais des mois que je ne mange plus.
Je déchira le papier et regarda l'heure: 17h47.
Il me reste encore quelques heures avant le retour de mon père. Il travail souvent très tard puisqu'il est shérif de Beacon Hills, la ville où je réside. Je ne vous ai pas encore parlé de mon meilleur ami Scott. Et bien voyez-vous Scott non plus ne voit pas que je souffre. Depuis qu'il est devenu loup-garou, Alpha et qu'il a une meute, il ne fait pas attention à moi.

Je pris la boîte toujours posée sur mes cuisses et l'ouvrit doucement. Je sélectionna un papier que je mis dans la poche arrière de mon pantalon et me leva. Je regarda dans le miroir mon visage défiguré. Encore aujourd'hui, les connards de l'école mon battus. Je me fais battre depuis un ans parce que je suis bisexuel. Scott n'a encore rien vu. Je sorti de ma maison et monta dans ma jeep. Je roula sans vraiment regarder la route. Je roula sans même me soucier des autres autos qui pouvait me rentrer dedans. Je roula jusqu'à ce pont. Celui où ma mère et moi passions nos journées. Évidemment, tout cela était avant. Je sorti de ma jeep et me dirigea vers le bort du pont où je m'y assis. Ça y est, c'est la fin. Avant de partir je pris le papier que j'avais soigneusement placé dans ma poche. Je le déplia et je le lu pour la centième et dernière fois.
Il s'agissait de l'acte de décès de ma mère. Claudia Stilinski. Est est morte quand j'avais 9 ans et je m'en suis jamais remis.

Je contempla le bas du pont, je contempla la mort, je contempla mon destin. Je me leva et sauta. C'était la fin, c'était mon rêve.
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/!\ Important /!\

Cette fiction n'est pas fait pour les âmes sensibles. Elle parlera de choses tels que la mutilation, l'anorexie et le suicide. Sachez que si vous êtes sensible à ce genre de choses, certains passages pourrait troubler. Sachez aussi que ces sujets me tiennent à cœur et que j'en parle dans le plus grand des respects. J'ai moi même vécu la mutilation, l'anorexie et les envies suicidaires alors s'il vous plaît, ne passez pas de commentaire déplacés à ce sujet.