Save Me From Myself [Sterek]

5- Panic Attack

-Derek PDV-

Je le regarda dormir. Lui, Stiles Stilinski. Celui que j'avais sauvé. Je n'avais jamais remarqué à quelle point il souffrait. Mais voir son pauvre corps fin et mutilé étendu sur mon lit me fit réaliser ce qu'il subit tous les jours. Tous ces sourires et tous ce sarcasme cachait une douleur des plus profonds et je m'en veux de ne pas l'avoir aidé. Son corps se soulève doucement du à sa respiration. Malia a accepter qu'on l'héberge et je trouve que c'est plutôt une bonne idée. Peter n'est pas du même avis que moi mais je m'en fou carrément. Cora n'a pas vraiment d'avis. La respiration soudainement forte et rapide de Stiles me fit sortir de mes pensées. Son corps bougea de plus en plus et quelques gouttes de sueurs perlèrent sur son front. Il doit faire un cauchemar. Je m'assis à ses côtés et le secoua délicatement évitant de réveiller la douleur dans ses côtes lui faisant apparement encore un peu mal. Il ouvrit lentement les paupières avant de fondre en larmes.

Stiles: J'en peux plus Derek.

Derek: Quoi ? Qu'est-ce qui se passe Stiles.

Stiles: J.Je fais... Je fais tou.toujours le même... le même cauch.cauchemars. T.toutes les nuit Derek.

Derek: Quelle est ce cauchemars ?

Il hésita. Peut-être qu'il n'est pas prêt à en parler, mais ça lui ferais vraiment beaucoup de bien.

Derek: Parle-moi Stiles. S'il te plait, parle-moi.

Il prit le temps de respirer pour se calmer et il reprit.

Stiles: C'est elle. C'est ma mère. Je la voix.

Je remarqua bien vite qu'il n'était pas prêt à aller plus loin donc je resserra mon emprise sur lui. J'entendis la porte s'ouvrir doucement et ma cousine fit son apparition dans le cadre de porte. Stiles releva la tête et se leva pour lui donner un câlin. J'ai toujours su que Malia avait des sentiments pour Stiles mais personnellement, je trouve qu'il ne formeraient pas un très beau couple. Ils ne sont pas fait l'un pour l'autre. Je me leva et sorti de ma chambre.

-Stiles PDV-

J'ouvrit la porte et entra chez moi. Je vit mon père dans la cuisine et je remarqua bien vite qu'il y avait une bouteille dans la main. Heureusement, elle était presque pleine. Je m'avança vers lui et lui vola la bouteille.

Shérif: Hey mais qu'est-ce que tu fais. Rends-moi là !

Stiles: Non, tu m'avait promis d'arrêter.

Je jeta la bouteille et me dirigea vers ma chambre.

Shérif: Stiles, on doit parler et tu le sais très bien.

Je retourna au près de mon père qui me fit signe de m'assoir sur une des chaise. Je le fit même si je n'avais aucune envie de parler de ça. Si j'ai envie de mourir, c'est en partit de sa faute. Je sentis quelques larmes couler le long de mes joues. Je commença à avoir du mal à respirer. Mon père le remarqua et me demanda de me calmer mais sa voix se fit de plus en plus lointaine. Une crise de panic, c'est une crise de panic. Merde, pas maintenant. Ma respiration était de plus en plus rapide et mes yeux commencèrent à s'embuer. Je me sentit tomber. 

+++

J'ouvris les yeux difficilement. Ma tête me faisant souffrir. Je me souvient maintenant. J'ai du me cogner la tête en tombant. Je regarda autour de moi. Je suis allongé dans mon lit, mon père  mes côtés. Il dort. Je le secoua tranquillement pour le réveiller.