Les hommes et les femmes cherchent depuis toujours la beauté, utilisant divers moyen et méthode, la chirurgie comme exemple, mais sans jamais la retrouver, pourtant la beauté, la vrai, elle était toujours là, près d'eux, devant leur yeux mais personne ne s'en rendait compte, la nature est belle elle, ce vert, ces fleurs, ces arbres, ce ciel bleu et sans limite, tout ça, rien de tout ça n'avait besoin de transformation, la beauté était dans la nature et le resterais, et les humains devraient le savoir et l'accepter accédant ainsi au pouvoir, le pouvoir de voir sa flamme en eux même...
C'est ce que la foret chuchotait à mon oreille à cette instant, et je ne savais plus que pensé, ces paroles détenaient de la sagesse et de l'harmonie, elle se glissait en moi pour créer la paix dont j'avais besoin pour calmer ce besoin, ce besoin que je ne comprenais pas...
- Je savais bien que tu allais aimé cet endroit, c'était là qu'on allait joué quand nous étions petit, on s'amusait, courait dans tous les sens, débordant d'énergie, nous étions ensemble alors que les ancien nous regardaient tout en riant en parlant de notre future, de leur plan pour nous, tout était si paisible...
Je ne rappelais rien de ce qu'il disait c'était comme si, comme si... comme si j'était vide... et pour la première fois je m'en rendis compte, je n'avais pas de souvenir aucun de mon enfance, j'y étais je le savais, je vivais, mais tout était noir, j'avais un trou un énorme qui me séparaient de mon passé, parce que dans ma tête ma vie ne commence qu'à l'age de six ans...
- C'est surement eux, c'est surement les espadas qui te les en volés
- Quoi? De quoi tu parles?
- Viens tu vas voir
Il me tira par le bras pendant un petit moment avant de s'arrêter brusquement, je levais la tête et ce que je vis... Ce n'était qu'un ancien château en débris qui méritait bien le nom de monument historique, or il y avait quelque chose une histoire triste qui tournait autour de ce milieux
- Tu la sens la tristesse la détresse du milieu, les centaines de personne qui criaient, à l'aide, à l'aide, sauvez nous, disaient-ils, des enfants qui pleuraient des mères qui protégeaient leur enfants sans succès, ce lieu cette terre sur la quel tu marches, c'est là que tu es née, c'est là que ton histoire a commencé, et c'est là qu'elle devait finir, tout le monde était heureux ici, mais tu sais quoi notre havre de paix à été détruis, et tu sais par qui? TU LE SAIS?
Je savais bien ce qu'il s'apprêtait à dire et pourtant je ne pouvais l'accepter, il y avait quelque chose en moi qui refusait d'y croire, qui sonnait en alerte dans mon cerveau
- Tu le sais hein bah c'est eux c'est les espadas, c'est ceux avec qui t'es devenue ami, ceux qui te veulent vraiment du mal, C'EST EUX!!
Non, non, non, c'est impossible c'est eux qui m'avaient protégé l'autre soir, c'est eux qui...
Les jumeaux ils étaient là devant une grande maison ils étaient accompagnés par dix autre personnes que je ne connaissais pas, ils approchaient de la demeure à grand pat comme une seule personne leur visage étaient neutres impassible, ils approchaient, et les gens dans le châteaux commençaient à crier de plus en plus fort, les hommes ordonnaient au femmes et au enfants de fuir, fuyez on essaye de les retenir, fuyez disaient-ils, ils c'étaient fait massacré, tué, le sang partout , puis il y avait cette petite fille dans un coin, toute seule elle pleurait silencieusement, ils ne l'avaient pas vue, pourtant elle, elle avait tout vue, les personnes qui lui étaient chère mourir sous ses yeux, puis ils sont sortis, elle était resté seule dans son petit coin quand quelqu'un approchait, elle avait peur, tellement peur, le visage apparut un garçon, son protecteur était venue la sauvé la personne qu'elle aimait le plus, il n'était pas mort et elle était contente, il la porta et ce mit à courre, ils sortirent sans ce faire remarquer, quand une voix ils fuient puis une autre ils sont hors de porter on peut pas attaquer et un autre utilise le brouilleur puis tout s'efface....
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Illusion
FantasyKathlyne Glaser a 17 ans, après la mort de ses parents les services sociaux l'envoient à EverNight, un pensionnat qui contrairement à tout autre milieu, n'est pas normal et en quelque temps elle découvre qu'elle ne l'est pas moins: elle voit les fan...