Tome 1 : Une nounou d'enfer

Chapitre 81 : DES NOUVEAUTÉS...

PDV de léona :

Je n'arrive pas à y croire, il y a Aliya ma demi-sœur qu'es quelle vient faire la celle la

Léona : qu'es que tu fais ici ?
Aliya : c'est comme ça que tu accueils ta demi-sœur (grand sourire)
Léona : ce n'est pas le moment
Aliya : je suis venu des que j'ai su pour ton agression
Léona : c'est gentille mais je n'ai envie de voir personne

Elle me pousse et entre dans la maison sans y être invité. Je m'aperçois quelle à une valise avec elle.

Léona : je ne t'ai pas permis de rentrer aliya
Alyia : écoute léona on est parti sur des mauvaise bases. Je suis ta grande sœur et je vais m'occuper de toi
Léona : de une tu n'es juste ma demi-sœur et de deux je peux m'occuper de moi-même
Alyia : tu as subi un très gros traumatise. J'ai appris dans la presse que tu aurais rompue avec Sergio
Léona : ma vie prive ne te regarde pas
Alyia : tu le tiens responsable mais es ce que tu t'ai posé comme question comment lui a vécu sa
Léona : tu veux faire la thérapeute maintenant
Alyia : je te dis juste ce que je pense
Pedro en arrivant : regarder qui est là, la peste de l'autre famille. Elle n'est pas venue avec toi Eva. Ah non que je suis bête elle doit surement être dans son cabinet de chirurgien (ironie)
Alyia : et toi tu es encore là, le père de léona ne ta pas jeter
Pedro : non il ne m'a pas jeté comparé à ta misérable de mère (petite sourire). Léona excuse-moi mais cette petite peste ma chercher
Alyia : laisse ma mère tranquille
Pedro : maintenant tu balai
Alyia : je suis venu voir léona
Pedro : je n'en ai rien à foutre, c'est moi qui m'occupe d'elle et c'est ma maison
Alyia : déjà tu vas baisser d'un ton avec moi (s'énerve)
Pedro : comme si j'allais te croire que tu es venu pour léona. Tu es aussi peste que ta sœur et ta mère. Je sais que tu as une idée derrière la tête quand je le découvrirais je t'assure que je vais t'aplatir ta face de rat (s'énerve)
Léona : écouter...
Pedro : laisse maman s'occuper de cette insecte
Alyia éclate de rire : maintenant il faut t'appeler maman
Pedro : je suis sa mère, je me suis occuper d'elle lorsque ta mère la jeter. Je briserai en deux qui compte qui lui fera du mal. Si elle se soucier d'elle, victoria viendrais elle-même voir sa fille. Au lieu de sa elle envoie son toutou. Dégage avant que je te casse la coquille
Alyia : tu crois que tu es une dame Pedro alors que tu n'es qu'un piro (se fou de lui). Je t'invite à déjeuner demain léona parce que la sa commence à puer (regarde Pedro et part)
Pedro : dégage (lui claque la porte au nez)
Léona :...
Pedro : sava aller ma chérie (la prend dans ses bras). Tu veux manger des cookies j'en ai fait
Léona : non merci (sourit)

Je me demande quelle est la vraie raison de sa venue. Pedro me fait rire il fait des cookies alors qu'il ne sait pas en faire. A cet instant en toque de nouveau à la porte, Pedro ouvre et saute dans les bras de mon père. Des larmes me piquèrent les yeux ça va faire très longtemps que je ne l'avais plus vu

Pedro : tu m'as tellement manqué mon chéri (l'embrasse tendrement). Rentre ne reste pas dehors
Roberto : elle est la plus belle
Léona : papa tu m'a tellement manquer (va dans ses bras et pleure)
Roberto : je suis là ma chérie et je ne te quitterais plus à présent
Léona : pleure
Roberto : excuse-moi de ne venir que maintenant il fallait que je finisse absolument mon travail.
Léona : je comprends (essuye ses larmes)
Pedro : je vais vous laisser les loulous je vais aller au spa. Ce soir je vous prépare le diner
Roberto : ça ne servira à rien chéri, je vais amener léona au restaurant j'ai besoin de discuter seul à seul avec elle
Léona : je ne sais pas si c'est une bonne idée
Pedro : ton père a raison tu dois sortir un peu et commence à essayer de reprendre le cour de ta vie...

PDV de Cristiano :

Je suis encore à terre avec cette dingue, je la vois qui se met en position fœtus. Je me relève

Clarisse : FAITE DEGAGER SES CHIEN
Cris : marosca vient ici, (le caresse). Ils ne vont rien vous faire
Clarisse : mais bien sur madame bique m'avait dit la même chose peu après son chien ma mordu
Cris : qui ça ? (ne comprend pas)
Clarisse : la voisine de ma mère
Cris : tu peux te relever et tu aies qui ?
Clarisse : vous les avez fait partir
Cris : ils sont avec moi et tu peux me tutoyer
Clarisse : vous êtes mon patron pas mon collègue (se relève). Je suis la nounou que l'agence vous a envoyée. J'ai trop mal au dos
Cris : et moi donc
Clarisse : je suis encore désolé mais j'ai peur des chiens
Cris : ce n'est pas grave mais je préfère que tu me tutoies j'ai l'impression d'être vieux
Clarisse : mais tu l'es
Cris : hein ? (choquer)
Clarisse : bon assez discuter il est ou le bout chou
Cris ; je rêve ou tu viens de me dire que je suis vieux ? (lève un sourcil)
Clarisse : non tu ne rêves pas c'est une affirmation
Cris : tu sais qui je suis ?
Clarisse : non pourquoi ?
Cris : tu vas me dire que je tu ne sais pas qui je suis ?
Clarisse ; non, je vivais à la campagne sa fait que deux semaines que je vis à Madrid. Maman voulait que je finisse fermière mais moi je préfère m'occuper des enfants

Non mais c'est quoi ce délire, il m'envoie une campagnarde déluré. J'aurais tous vu dans ma vie

Cris : je suis footballer professionnelle. Je m'appelle Cristiano Ronaldo
Clarisse : je m'appelle clarisse romaloti (regarde son torse)
Cris : suivait moi

Je sens son regard sur moi et pars avec elle au salon celle-ci s'assoit sur le canapé tout en frottant son chemisier.

Cris : tu veux boire quelque chose clarisse ?
Clarisse ; non sa ira, il est ou votre fils ?
Cris : je ne répèterais pas une seconde foi (enfile son t-shirt), ne me vouvoie pas parce que ça va m'énerver
Clarisse : excusez-moi mais je n'ai pas l'habitude de tutoyer mess patron. Il faut avoir une limite à respecter.
Cris : oui mais...
Clarisse : mes parents m'ont toujours appris à être poli
Cris : oui (sourire crispé). Mon fils va bientôt arriver, parler-moi de vous

Je la vois qui commence à me raconter son enfance. Quelle a pleurer quand son père lui a acheté un poney non mais j'aurais tout vu

Clarisse : je vais préparer du thé tu en veux
Cris : pourquoi pas avec cette chaleur (ironie)
Clarisse ; je vais préparer sa de suite (part dans la cuisine)
Cris : tu veux que je te montre (en criant)
Clarisse : non ira j'ai trouvé ce qu'il me faut

Je prends mon téléphone, je vois que Marcelo m'a laissé un message vocal en me disant qu'il était dans les embouteillages. Je vois que j'ai une bosse sur mon front qu'es quelle est maladroite. Je n'ai même pas le temps de souffler que Marcelo arrive avec junior

Marcelo : le gros bouchon qui avait, j'ai cru que j'allais les tuer
Junior : papa (court vers lui)
Cris : tu as été sage avec léona ? (lui fait un bisou)
Junior : oui, nana triste (croise les bras) moi veut elle
Cris : elle va bien se reposer après elle va revenir je te le promets
Junior : 'romi ?
Cris : je te le promets
Marcelo ; je rêve ou tu as une bosse ?
Cris ; oue je suis tombé
Marcelo ; en faisant quoi et avec qui ? (éclate de rire)

Mon fils part au jardin jouer avec les chiens. Marcelo s'assois sur le canapé essoufflé

Cris : on dirait que tu as fait un marathon (rire
Marcelo : très drôle, les J.O m'ont épuisé
Cris : je suis aussi claquer l'euro m'a achever en plus avec cette histoire avec léona (souffle)
Marcelo : en parlant d'elle, elle va toujours aussi mal. Je pense que léona ne doit plus être la nounou de junior pour son bien
Cris : pourquoi tu dis ça ? (étonné)

PDV de Marcelo :

J'allais lui expliquer quand je sens une odeur de thé me titillé mes narines.

Marcelo : atchoum
Cris : tu veux un mouchoir ? (rire)
Marcelo : je rêve ou tu fais du thé en plein été ? Atchoum, purée c'est quoi comme thé
Cris : il y a la nouvelle nounou qui est arrivé elle le prépare
Marcelo ; ah bon ? (ironie)
Cris : tu as encore mangé comme un porc (rire et regarde son t-shirt)
Marcelo : figure toi que j'ai rencontré une folle même si je te la raconterais je pense que tu me croirais pas (rire)
Cris : au faite Pepe tu la vue ?
Marcelo : non pas encore
Cris : j'ai vu à la télé son interview, franchement je suis à 100% avec lui.
Marcelo : moi aussi, bon je vais te laisser j'ai des choses à faire. Demain on se verra dans l'avion. Direction les USA (rire)
Cris : comme chaque année (sourit)
Marcelo : tu vas laisser junior ici ?
Cris : je ne sais pas encore si j'embarque la nounou avec moi vu que je viens juste de la connaitre
Marcelo : ok

Alors que je me levé pour me diriger vers la porte, j'entends une voix familière qui vient de la cuisine

Clarisse en arrivant avec un plateau ; j'ai fini de préparé le thé monsieur Ronaldo

Je n'ai même pas le temps de réalisé la scène que celle-ci pousse un cri en voyant les chiens de Cristiano lui tourner autour. Elle jette son plateau par terre, bien sûr je reçois en pleine figure le liquide pour ne m'a pas changer

Marcelo : PUREE CE N'EST PAS POSSIBLE
Clarisse en se jetant sur Cristiano : ENLEVER LES J'AI PEUR
Marcelo ; oula faut se calmer tète à claque. Tout doux (les caresse) ils ne vont pas te faire de mal.
Junior : rire
Cris : Marcelo tu peux les mettre au jardin, clarisse tu peux me lâcher
Clarisse : excuse-moi (forte respiration) mais j'ai peur
Marcelo : sa en la vue tête à claque

J'emmène les chiens dehors et je referme la porte de la véranda. Je la vois s'approcher de moi et me pointe du doigt

Clarisse : déjà je m'appelle mademoiselle clarisse monsieur le frisé
Marcelo : je m'appelle Marcelo pas monsieur le frisé (s'énerve)
Cris : vous vous connaissez ? (rire et étonné)
Marcelo : devine qui ma salie mon t-shirt ? (ironie)
Clarisse ; je ne l'ai pas fait exprès
Marcelo : à chaque fois sa tombe sur moi
Clarisse l'imite : « à chaque fois sa tombe sur moi »
Marcelo : bon moi je me tire d'ici
Clarisse : on dit je m'en vais pas « je me tire »
Marcelo : oh lâche moi (lassé et part)...

PDV de clarisse :

Mais il est vraiment bête celui-là. Je pars dans la cuisine prendre une éponge et ramassé tout ça. Je reviens les voir

Clarisse : excuse-moi encore tu dois me prendre pour une folle mais j'ai horreur des chiens
Cris : sourit
Clarisse : c'est lui le petit junior, qu'es qui l'ai mignon.

Je me mets à sa hauteur celui-ci s'agrippe à la jambe de Cristiano

Clarisse : salut toi je m'appelle clarisse et je suis ta nouvelle nounou
Junior :...
Clarisse : tu es timide ? (sourit) il ne faut pas l'être du tout
Junior : veut nana moi
Clarisse : c'est qui ça ?
Cris : c'est léona sa nounou officielle
Clarisse : ok
Junior : nana belle, nana maman à moi toi folle
Cris : hey junior
Clarisse : non ce n'est pas grave j'ai l'habitude comme le dise mais ce qui est grave c'est qu'il pense que léona et sa mère
Cris : enfaite je lui ai déjà dit mais...
Clarisse : j'aimerais bien voir cette nounou
Cris : tu n'aies pas au courant ?
Clarisse : au courant de quoi ? L'agence m'a envoyé pour me dire que tu chercher une nounou d'urgence. Cette fille c'est une célébrité aussi ?
Cris : enfaite c'est plus compliquer que...
Clarisse : donne-moi son numéro je vais discuter avec elle. Cette fille fait mal son boulot peut être c'est un charlatan
Cris : ce n'est pas plutôt toi le charlatan (s'énerve). Qui te permet de parler comme sa d'elle, tu ne sais pas ce qu'elle a vécu et qui elle est (s'énerve). Le jour où tu lui arrive à la cheville tu m'appelleras
Clarisse : sa t'arrive d'avoir le bégun pour tes nounou ? (lève un sourcil)
Cris ; je n'ai pas le béguin pour léona (s'énerve)
Clarisse : alors pourquoi tu montes sur tes grand chevaux ?
Cris : pff
Clarisse : revenons au petit, j'ai entendu monsieur le frisé dire que tu pars demain aux USA
Cris : oui j'ai des matches de présaison
Clarisse : voilà ce que je te propose, le petit reste avec moi à Madrid comme ça il s'habitue. Tu me donneras l'adresse de l'ancienne nounou
Cris ; tu es juste la temporairement
Clarisse : sa je le sais pas la peine de le répété. Alors tu me donneras son adresse pour que j'aie une discussion avec elle
Cris ; elle est fragile
Clarisse : oui (irone). Demain je reviendrais
Cris : tu pars déjà ? (étonné)
Clarisse : mes affaires sont à l'hôtel, j'ai besoin de me doucher. Il y a beaucoup de boulot à faire ici. Je compte mener à terme cette mission en intérim. Un grand changement est à prévoir. A demain petit bout chou
Junior : tire la langue
Clarisse : fait une grimace et part...

PDV d'higuain :

Après avoir couché avec Irina, je me suis enfui de chez moi. Comment j'ai pu lui faire sa surtout avec Irina. Je suis resté toute la journée au parc avec mon portable en main. Je voulais avouer ma grave erreur à nuria lui demander quelle me pardonne. Je respire un grand coup et je retourne chez moi. A peine j'arrive laba, que je vois plein de bougie et des pétales de roses rouges. Je vois nuria dans une magnifique robe azur qui m'attendait avec deux coupes de champagne

Higuain : mais...
Nuria : je suis désolé c'est dernier temps j'étais beaucoup distante. Le magasin me prend tout mon énergie. Je suis encore désole d'avoir annulé notre rendez-vous. Je te comprends ta lassitude mais à présent je ferais en sorte de passer le plus de temps avec toi et Julio
Higuain : il est où ?
Nuira : Marcelo nous le garde pour cette nuit
Higuain : tu n'as pas peur (sourit)
Nuria : j'ai confiance en Marcelo. En plus je voulais passer la nuit avec le seul homme que j'aime de tout mon cœur

Je la vois qui s'approche de moi et m'embrasse tendrement. Je la sers fortement contre moi

Nuria : je t'aime
Higuain : moi aussi je t'aime
Nuria : et si on passé au dessert
Higuain :...
Nuria : chéri ça ne vas pas ? (inquiète)
Higuain : heu...je...je....
Nuria : si tu es fatigué je comprendrais
Higuain : non au contraire

Je m'approche d'elle en l'embrassement sauvagement. J'espère de tout mon cœur quelle me pardonnera quand elle sera la vérité....

PDV de Sara :

Alors que je prépare le diner, j'entends quelqu'un toquer à la porte. Je pars ouvrir c'est Pepe et son fils. On les a invités

Sara : salut (lui fait la bise)
Pepe : sava, iker est là ?
Iker : je suis au salon
Sara : coucou Enzo
Enzo :...
Pepe : Enzo dit bonsoir

Il le pousse et entre en courant dans la maison. Je le regard avec compassion. Il part s'installer au salon. Je pose le diner sur la table

Sara : alors prêt pour la présaison ?
Pepe : franchement pas trop
Iker : j'aurais aimé encore resté à la maison
Sara : remuer vos fesses pour remporter la ligue des champions (rire)
Pepe : Enzo vient manger (lassé)
Iker : ça se passe comment avec lui ?
Pepe : c'est très difficile il ne m'écoute pas
Iker : c'est le début c'est pour sa
Pepe : mais je commence en avoir marre
Sara : tu as discuté avec touria ?
Pepe : figure toi quelle préfère son travail à lui. Depuis que j'ai la garde le weekend elle ne veut pas le voir
Iker : elle abuse c'est quand même son fils. Si moi c'était le miens je ferais en sorte de passé le plus de temps avec lui

Des fois sans le vouloir iker dit des phrases blessantes. Je sais que je ne pourrais pas lui donner un enfant ça me fait mal au cœur
Sara : mangé je vais aller le voir

Je pars le chercher, je le vois qui été dans ma chambre allonger dans mon lit avec un de mes flacon de parfum

Sara : Enzo vient manger
Enzo :...
Sara : tu veux mettre du parfum ?
Enzo :...
Sara : il sent très...
Enzo ; je le sais c'est le parfum de ma maman
Sara s'assoit à côté de lui : elle te manque ?
Enzo : oui et je déteste mon papa (pleure)
Sara : il ne faut pas que tu dises sa (le prend dans ses bras) ton papa t'aime
Enzo : il m'a menti, il m'a dit qu'on allait former une famille comme les parents de Lucas
Sara : tu sais des fois les grandes personnes ne s'entende pas
Enzo : mais papa il aime maman
Sara :...
Enzo : maman elle est gentille et belle. Je sais quelle peut pas venir le weekend car elle travaille pour m'offrir plein de cadeau (essuye ses larmes)
Sara : ton papa travaille aussi et s'occupe de toi et t'aime sinon il n'aurait jamais parlé de toi à la presse
Enzo :...
Sara : demain ton papa va partir aux USA pour sa présaison, si tu veux-tu reste avec moi et je t'amené voir ta mère la semaine
Enzo :...
Sara : tu veux qu'on fasse ça ?
Enzo ; oui
Sara : ok (lui fait un bisou sur son front) je vais lui dire. Aller vient manger
Enzo : il y a quoi ?
Sara : un gratin dauphinois mais pour toi je t'ai préparé des frittes avec un steak. A mon avis tu adore sa (sourit)
Enzo : oui (content)

Il me donne la main et on part au salon. Je lui donne son assiette

Sara ; Pepe, Enzo va rester avec moi pendant que tu seras aux USA
Pepe : tu en es sur ?
Sara : oui ne t'inquiète il ne va pas m déranger. Je l'amènerais à touria
Enzo : oui (content)
Pepe : mais (triste)
Sara : ne t'inquiète pas je m'occupe de lui (pose sa main sur la sienne)
Pepe : vous vous mariez quand ?
Iker : après les matches de présaison
Pepe : vous ne devez pas vous marier après l'euro ?
Sara : avec l'histoire de léona on n'a pas trop eu envie de faire la fête
Iker : je n'arrive toujours pas à y croire ce qui lui est arrivé. Sergio me fait beaucoup de peine il souffre énormément
Sara : j'espère que ça va s'arranger entre eux deux
Pepe : la maison de léona elle est belle
Sara : franchement oue, je suis jalouse (rire)
Pepe : ça se voit que son père à de l'argent. J'aimerais bien le voir
Sara : moi aussi
Iker : j'espère qu'il n'est pas comme Pedro (rire)
Sara ; je ne pense pas
Pepe : en parlant de lui (éclate de rire) la dernière foi je suis allé la voir il porter une petite robe blanche qui me laissait voir des choses que je ne devais pas voir (rire)
Iker : beurk me parle pas de sa
Pepe : tu imagines à ton mariage (éclate de rire)
Iker : je m'imagine le pire avec lui
Sara : mais non chéri (l'embrasse)

PDV de Sergio :

Je commence en avoir marre quelle me jette tous le temps. Moi aussi j'ai beaucoup souffert elle en prend pas compte. Elle me veut plus je m'en fiche. Alors que je marchais en ville, je croise une ami de Sara et Lara la présentatrice Pilar Rubio

Pilar : salut Sergio (lui fait la bise), tu m'a l'air pas bien du tout
Sergio : je n'ai pas très envie d'en parler
Pilar : j'allai diner au restaurant vient avec moi
Sergio : non ira
Pilar ; aller vient un petit diner ne te fera pas de mal.
Sergio : bon d'accord

On part dans un petit restaurant situer en ville. On commande des apéritifs

Pilar : j'ai appris ce qui s'est passé à ta copine c'est horrible
Sergio :...
Pilar : en tout cas si tu as besoin d'aide je suis la (pose la main sur la sienne)
Sergio : merci
Pilar : tu la revois ta copine
Sergio : pour l'instant elle ne veut pas me parler. Si tu veux tout savoir elle dit que c'est de ma faute
Pilar : ne l'écoute pas elle dit n'importe quoi. Tu n'es pas responsable de sa
Sergio : si tu le dit
Pilar : je suis très sérieuse. Malheureusement tu devrais un peu t'éloigner d'elle et respecter son choix. Si elle t'aime elle viendra à toi sinon laisse tomber
Sergio : tu as raison
Pilar : mais j'ai toujours raison (sourit)
Sergio : j'ai appris que tu avais rompu avec ton copain
Pilar : oui on ne s'entendait plus. Il était jaloux de mon succès

On parler tous les deux de notre vie...

PDV de léona :

Je suis dans ma chambre pour me préparer et encore c'est un grand mot. Je n'ai pas la tête à ça. J'enfile un jean et un t-shirt à la va vite et je fais un chignon. On toque à ma porte

Roberto : je peux entrer ?
Léona : oui vient papa
Roberto en entrant ; tiens je t'ai apporté un cadeau
Léona : c'est quoi ?
Roberto : ouvre et tu verras

Je vois que la boite c'était la marque de vêtement de nuria. J'ouvre la boite dedans il y avait une magnifique robe beige

Léona : elle est splendide tu n'aurais pas du
Roberto : je savais quel aller te plaire. Dans ce magasin il y a de jolie chose
Léona : c'est l'une de mes amis qui est la gérante
Roberto ; la jolie blonde (sourit)
Léona : oui elle s'appelle nuria elle à un fils et sort avec higuain
Roberto ; on ne dira même pas quelle a accoucher
Léona : tu as vu a j'aimerai bien avoir son corps
Roberto : tu es très belle comme sa
Léona : je suis grosse et moche
Roberto : tu ne l'ai pas. Ce soir enfile-la
Léona : je n'ai pas envie
Roberto : ok je t'attends en bas
Léona : j'arrive

Avant de partir je me regarde dans le miroir, je suis trop laide. Je pause la main sur mon ventre là où il devait avoir mon fils je me retiens de ne pas pleurer. Je prends mon courage à deux mains et je descends en bas. Pedro se marré en regardant la série culte friend

Pedro : a tout à l'heure mes bébé je vous aime
Roberto : nous aussi on t'aime

A peine je sors dehors cela me fait très bizarre. Sa fait très longtemps que je n'avais pas ressenti le souffle du vent sur mon visage. Je monte dans sa voiture peu après on arrive au restaurant

Roberto : c'est bon on est arrivé
Léona ; je n'ai pas envie de rentrer
Roberto : je suis là tout va bien se passer
Léona : j'ai peur...
Roberto : ne t'inquiète pas

Il me prend la main, on rentre tous les deux au restaurant. Je vois que certaine tête se tourner sur notre passage. Ou ils sont charmés par mon père ou il se foute de ma geule. Je pense plutôt à la seconde solution. On part s'installer à l'abri des regards.

Roberto : tu veux boire quelque chose ?
Léona : non sa ira
Roberto : léona
Léona : de l'eau sa m'irait très bien

Le serveur vient et on passe nos commandes.

Roberto : je sais que ça va être difficile mais je veux que tu me raconte ce qui c'est passé pendant ton agression
Léona : non pas sa
Roberto : ma chérie je suis ton père. N'ai pas peur de parler (pose la main sur la sienne)
Léona : ce jour-là (se retient de pleurer) je me suis disputer avec Sergio car il a appris que j'étais enceinte. Il est devenu fou furieux il a même proposé que j'avorte je lui ai dit non. Il m'a accusé de l'avoir piéger que j'ai fait exprès d'avoir un enfant alors que lui n'en voulait pas. Il devenait jaloux envers les hommes qui s'approcher de moi et surtout de mon petit junior. Je me suis séparé de mon bébé par amour pour lui (pleure) il me l'a enlevé.
Roberto :...
Léona : malgré notre dispute, je suis parti le soutenir pour la final. Dans les tribunes j'ai vu son ex aurélie...
Roberto : celle qui a dit que tu étais une transsexuelle
Léona : oui celle-là et la mère de Sergio me regarder et se moquer de moi. J'ai pris sur moi, pendant tout le long du match elle me montrait du doigt en ricanant. Quand l'arbitre a sifflé la fin du match, aurélie est parti le voir sur le terrain sans était trop pour moi alors je suis part dehors et...
Roberto : continue (pose sa main sur la sienne)
Léona : un groupe de supporter italien mon insulter de tous les noms et de transsexuelle. Ils ont commencé à me frapper j'essayer de protéger mon ventre j'hurlais pour qu'on m'aide mais personne et venu m'aider (pleure). En m'a laissé me faire tabasser sans lever le petit doigt (pleure). Tout ça c'est de sa faute il aurait dû être auprès de moi
Roberto : Sergio n'est pas fautif
Léona : pour moi il est (essuye ses larmes)
Roberto : j'ai engagé les meilleurs détectives privés pour retrouver les personnes qui t'ont fait ça. Ensuite parlant de junior, léona je te le dit et répété tu es trop attache à ce petit garçon
Léona : mais...
Roberto : laisse-moi finir tu ne le verras plus
Léona : non tu n'as pas le droit
Roberto : tu ne le verras que de temps en temps pour te remettre sur pied. Je sais que tu aimes ce petit mais il est entrain de te détruire toi et ton couple
Léona : mais...
Roberto : je sais que tu aimes Sergio, c'est juste la colère qui te fait dire ce genre de chose. Mais tu sais ma chérie au bout d'un moment Sergio va être lassé. Beau comme il est, en un claquement de doigt il aura toute les filles qui voudra fait très attention à ça.
Léona : ...
Roberto : maintenant que je suis avec toi je vais m'occuper de toi. Tu es contente que je sois venu
Léona : je suis très contente

Son téléphone mit à sonner

Léona : tu ne réponds pas ?
Roberto : non
Léona : décroche sa doit être Pedro je vais aller me rincer le visage
Roberto : ok

Je pars et je me rends au toiletter. Avant de me rincer au visage je vais au wc. J'entendais deux filles qui parler sur moi

Fille 1 : tu as vu qui est arrivé au restaurant l'ex de Sergio
Fille 2 : oue j'ai vu elle est horrible
Fille 1 : tu es dégelasse (éclate de rire)
Fille 2 : je dis la vérité comment Sergio peut-il avoir couché avec ce thon. La tête quelle a elle est horrible. Ta vue les grosses cuisses quelle la
Fille 1 : oue j'avoue elle est trop laide c'est abuser. Je comprends le choix d'Irina shayk
Fille 2 : il me semble que le mec qu'il accompagne c'est José mourinioh
Fille 1 ; ah bon je n'ai même pas fait attention (rire)
Fille 2 : les supporter italien ont eu raison de l'avoir tabasser. Tu imagines la gueule de leur enfant ils auraient tout pris de cette grosse vachette
Fille 1 : bon aller vient on y v
Fille 2 : j'arrive

Je sors des toilettes en étouffant des sanglots. Je me retiens de ne pas leur courir après et les frapper. Je me regarde dans le miroir, je ne ressemble à rien. Je prends mon courage à deux mains et je repars au restaurant. Une voix familière retient mon attention je tourne la tête et la je vois Sergio qui rigoler avec une femme. Grande mince, je la reconnais de suite c'était la journaliste qui lui faisait du charme sur le terrain pendant la final. Elle lui dit quelque chose dans son oreille celui rigole. Une douleur atroce m'envahit un mélange de rage, de jalousie et de colère. La s'en ai trop la bimbo veut s'en heure de gloire elle aura. Je me dirige droit vers eux...