Chapitre 82 : LA RÉALITÉ EST DUR A ACCEPTER

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PDV de léona :

Je m'avance droit vers eux et je me mets à hauteur de leur table

Sergio : léona, tu fais quoi ici ? (surpris)
Léona : je ne te dérange pas (les yeux rougis)
Sergio : je...
Léona : tu vas me sortir quelle excuse
Pilar : je pense que je vais vous laisser
Léona : ou tu comptes aller miss planche de surf (s'énerve)
Sergio : léona ce n'est pas ce que tu crois
Léona : prend moi pour une bille surtout. Pendant que moi je pleure toi tu t'affiche avec cette pimbeche
Sergio : déjà je m'affiche pas avec elle c'est juste une amie. Ensuite j'ai essayé plusieurs foi de te parler mais tu ne veux pas ou sinon tu m'insulte (s'énerve). Alors tes crises de jalousie n'a pas lieu d'être
Pilar : sourit
Léona : je ne suis pas jalouse (ment) je constat et toi enlève ce sourire de ta bouche
Sergio : tu n'as qu'à constater (se lève)
Pilar : tu vas ou Sergio ?
Sergio : je vais au toilette je reviens (part)
Pilar : tu sais léona la jalousie et un vilain défaut
Léona : je ne suis pas jalouse
Pilar : tu le devrais avec la tête que tu as-tu fais vraiment pitié. Qu'es qu'n mec aussi sexy que Sergio peuvent trouver à une grosse comme toi
Léona : je ne suis pas grosse (s'énerve)
Pilar : ton poids on dits long faudrait arrêter les churros (éclate de rire)
Léona : tais-toi...
Pilar : j'ai touché un point sensible tu peux rentrer chez toi je vais bien m'occuper de Sergio
Léona : tais-toi...
Pilar : je lui ferais plein de chose que tu ne lui a jamais fait
Léona : FERME LA

A cet instant je vois tous les regards se tourné vers nous

Léona : TU TE PRENDS POUR QUI POUR ME PARLER COMME SA
Pilar ; baisse d'un ton tu nous fais remarquer
Léona : J'EN AI RIEN A FOUTRE QU'ON NOUS REMARQUE. LES FILLES COMME TOI NE DEVRAIENT PAS EXISTER. UNE ESPECE DE BIMBO ECERVELER QUI A PART MAIS DES MINI ROBE NE SAIT RIEN FAIRE D'AUTRE
Pila : peut-être sa te plais pas sa plais à Sergio en tout cas. Il aime les femmes svelte pas les dindons

A ces mots je lui mets une grosse claque une bagarre commence à éclater entre nous. Les gens nous regarder sans intervenir, je sens quelqu'un me retenir par la taille

Roberto : léona stop
Léona : non laisse-moi la frapper elle veut me voler Sergio (pleure)

Il réussit à m'arrêter Sergio arrive à cet instant. Mon père lui lance un regard noir
Sergio : il se passe quoi ?
Pilar : ta grosse qui te sert de copine m'a giflé
Sergio :...
Pilar : moi je me tire d'ici, franchement Sergio tu mérite mieux (part)
Roberto ; ne pleure plus ma chérie (la prend dans ses bras). On va rentrer à la maison
Sergio ; elle n'ira nulle part (s'énerve)
Roberto : je te demande pardon
Sergio ; je ne sais pas qui tu es mais je ne laisserais pas léona partir avec toi
Roberto :...
Sergio : ferme là je n'ai pas envie de te parler, léona tu t'ai assez fait remarquer comme on rentre à la maison
Roberto : déjà tu vas baisser d'un ton avec moi je ne suis pas ton pote
Sergio : non je sais vous êtes mon père (ironie), je n'aime pas les cougars enlève tes mains de ma copine ou sinon...
Roberto : ou sinon quoi ? (s'approche de lui). Tu vas me faire ton numéro de mec à gros bras (se fou de lui)
Léona : non arrêté (se met entre eux)
Sergio : bien sur je le ferais léona m'appartiens
Roberto : elle n'appartient à personne et surtout pas à une espèce d'abruti comme toi
Sergio : c'est dans les maisons de retraite que vous avez appris ce mot (se fou de lui)
Roberto : très amusant (rire amer), léona on rentre
Sergio : j'ai dit non
Roberto : dégage de mon chemin

Au lieu de nous laisser passer, Sergio met un coup de poing à mon père

Léona : MON DIEUX TU ES COMPLETMENT MALADE.
Sergio : bien sûr que je suis malade pas autant que toi. Aller je me suis assez fait remarquer comme ça. Bonne vie à toi et à ce vieux débris tu es tombé bien bas. Après tu oses me faire une scène. Efface mon numéro oublie moi une bonne fois pour toute

Je le vois qui part sans se retourner. Des larmes me ravagent de nouveau le visage

Roberto : aller viens on rentre

Mon père paye notre note et on part tous les deux à la maison. Sur le chemin de retour je ne parle pas. À peine on arrive que je cours immédiatement en haut dans ma chambre pour pleurer toute les larmes de mon corps

Roberto ; léona attend
Pedro : oh mon dieux qu'es qui s'est passé (regards son œil gonflé)
Roberto : j'ai une altercation avec Sergio
Pedro : je vais lui botter ses fesses à la rockstar (énerver)
Roberto : ça va aller t'inquiète. Je vais aller la voir
Pedro : ok

J'entends les pas de mon père qui montait les escaliers. Il rentre dans ma chambre et s'approche de moi

Roberto : ma chérie
Léona : pleure
Roberto : ne pleure plu. Il ne mérite pas que tu te mettes dans cet état-là.
Léona : il....il ne veut plus de moi (pleure)
Roberto : il a dit sa sur la colère il pensait que je sortais avec toi. Je ne pensais pas être encore séduisant à cet âge-là (rire)
Léona : essuye ses larmes
Roberto : ne pleure plus si Sergio ne veut plus de toi ça veut dire que ce n'est pas l'homme qui te faut
Léona : c'est à cause de moi (pleure) j'ai tout fichu en l'air
Roberto : mais non. Je lui parlerais demain
Léona : c'est trop tard il va parti aux USA pour la présaison. Il va voir d'autre plus mince et plus jolie que moi (pleure)
Roberto : tu es très jolie
Léona : non ce n'est pas vrai tout le monde le dit même Sergio le pense (pleure)
Roberto : n'écoute pas les gens tu es une très belle femme léona
Léona :..
Roberto : prend toi une bonne douche ça va te changer les idées. Je t'aime tu sais
Léona :...

Je le vois qui part je ma chambre, je n'ai pas la force de me doucher. Je continue à pleurer...

PDV de Cristiano :

Je prépare mon sac pour mon départ aux USA. Junior était déjà préparé il jouer avec un ballon

Junior : veut nana
Cris : je vais te déposer laba, je vais appeler clarisse pour lui dire
Junior : folle 'risse
Cris : sa tu la dit (sourit)

Je finis mon sac et je port junior. Je l'attache à l'arrière et je démarre ma voiture. Peu après on arrive devant la maison de léona. Junior court vit devant sa porte et toc

Cris : junior calme toi et attend moi (en arrivant)
Roberto en ouvrant : oui
Cris : euh j'ai dû me tromper d'adresse
Roberto : vous cherchez léona ?
Cris : oui et vous êtes (lève un sourcil)
Roberto : désole je me suis pas présente je m'appelle Roberto scavo je suis le père de léona. Pas besoin de vous présente je sais qui vous êtes
Cris : enchante de vous rencontrer (lui sert la main)
Roberto : et là c'est le petit junior
Junior : timide
Cris : junior dit bonjour au papa de léona
Roberto : il timide entrer je vous en prie

Je rentre et part m'installer au salon. Il me verse un café. Je vois qui dévisager beaucoup junior et qu'il a un œil au beurre noir

Roberto : excusez-moi de vous dire sa mais pourquoi êtes-vous venu ? J'ai appris de source sûre que vous devez aller aux USA pour la présaison
Cris : c'est exact mais je junior voulais voir léona...
Roberto : junior « voulait » ou c'est vous
Cris : je vous demande pardon ? (surpris)
Roberto : vous m'avez très bien entendu (boisson café). J'ai vu votre étonnement quand j'ai ouvert ma porte
Cris : je pensais voir Pedro
Roberto : Pedro est parti faire le marché mais nous n'égarons pas du sujet. J'irais droit au but. Je ne veux plus que votre fils s'approche de ma fille
Cris : je vous demande pardon ? (commence à s'énerve)
Roberto : léona est faible et malade. Elle a besoin de reprendre ses esprits. Votre fils est principalement la cause de son état
Cris : pour qui vous vous prenez (s'énerve)
Roberto : déjà tu vas baisser d'un ton avec moi ensuite je suis son père.
Cris : jamais je n'empêcherai junior de voir léona elle est comme...
Roberto : sa mère hors elle ne l'a pas. Je ne sais pas c'est qui le plus timbrer dans ce groupe. Léona n'ai et ne sera jamais la mère de junior. Tu m'as entendu. Au lieu de l'inciter dans cette mascarade tu devrais te conduire en père. Léona est sa nounou pas sa mère

Je n'ai même pas le temps de lui répondre que je vois léona arriver. Celle-ci avait une mine épouvantable. On dirait qu'elle n'a pas dormi depuis des siècles

Junior : nana (cours vers elle)
Léona : mon bébé (le prend dans ses bras).
Roberto : je vais me rendre à Barcelone j'ai des documents à récupère. S'il y a un problème tu m'appelle.
Léona : d'accord (petite voix) ton œil va mieux ?
Roberto : ne t'inquiète pas sava allé (va pour partir). Au faite Cristiano vous pensez gagner cette année le ballon d'or ? (enfile sa veste)
Cris : je pense que oui. Je le mérite
Roberto : vous savez il ne faut trop crier victoire avant l'heure. La saison va bientôt commencer. Que le meilleur gagne (clin d'œil et part)
Cris : souffle
Léona : sava aller Cristiano
Cris : oui ne t'inquiète pas et toi tu n'as l'air pas d'aller mieux
Léona : j'ai vu Sergio hier (fait des bisous à junior)

Mon portable se mit à sonner, je vois un numéro que je ne connais pas s'afficher. Je décroche

Cris : oui
Clarisse : c'est clarisse vous êtes ou ?
Cris : déjà je t'ai dit de ne pas me vouvoyer ensuite je suis chez léona.
Clarisse : donne-moi l'adresse je vais lui parler

Je lui donne l'adresse et je raccroche le téléphone

Léona : c'est qui ? (petite voix)
Cris : c'est la nouvelle nounou de junior elle va venir le récupérer
Léona : ok (petite voix)
Cris : tu me disais que tu as vu Sergio hier
Léona : oui, il était avec une fille (se retient de pleurer)

Je m'approche d'elle et je la prends dans mes bras. Je respire son parfum fleuri qui m'envahi les narines

Cris : tu sais léona, des fois il faut faire des choix (lui caresse les cheveux)
Léona : verse des larmes
Cris : tu mérites un homme qui te respecte et qu'il t'aime à en mourir
Junior : nana pleure pas (lui fait un bisou)
Léona : je t'aime junior
Cris : on t'aime tous les deux (les sers fortement contre lui)
Clarisse : hum hum je vous dérange

PDV de clarisse :

Non mais je suis en train de rêver là. Des que Cristiano m'a donner l'adresse de cette fameuse léona je suis parti comme une furie. La porte d'entrée était ouverte, je me suis permise de rentrer. Là je vois Cristiano qui enlacé cette léona je ne voyais pas trop son visage

Clarisse : désolé de vous déranger mes chères (ironie)
Léona : on ne t'a pas appris à frapper au porte (se détache de Cristiano)
Clarisse : oui mais ta porte d'entrée et grande ouverte
Cris : bon moi il faut que je m'en vais. Tu as mon numéro léona si tu as besoin de moi. Fait un bisou à papa junior
Jurnior : mouah
Cris : soit sage avec clarisse. A très bientôt (fait un bisou sur la joue de léona et part)
Clarisse : alors c'est toi la fameuse léona (la regarde de haute en bas)
Léona : oui (relève son mon menton)
Clarisse : tu vis seule dans cette immense maison ?
Léona : non je vis avec mon père et son mari (petite voix)
Clarisse : pardon ? (surpris)
Léona : je n'ai pas envie de me répéter
Clarisse : on venant chez Cristiano j'ai lu dans les journaux ce qui t'ai arrivé sa dû être horrible
Léona :...
Clarisse : même si tu as vécu cette horrible chose avant cela tu n'as pas fait ton travail
Léona : je ne vois pas de quoi tu parles
Clarisse : tu n'as pas respecté ton contrat de travail
Léona : bien sûr que je l'es respecter
Clarisse : non tu t'ai impliqué trop émotionnellement à ce petit garçon et dans la vie privé de monsieur Ronaldo
Léona : tais-toi...
Clarisse : laisse-moi finir, je sais que les mots seront durs à entendre, tu n'es et tu ne seras jamais la mère de junior. Il n'est pas son fils et tu n'aies pas sa mère. Il faut que tu l'admettes
Léona : tais-toi...
Clarisse : non je ne me tairais pas, tu es allé trop loin. Tu incite à t'appeler maman. Tu n'es plus maitre de toi-même. Je vais prendre junior et ne plus revenir
Léona : NON JAMAIS IL EST A MOI
Clarisse : ce n'est pas ton fils (s'énerve). Tu n'es plus dans l'incapacité d'exercer
Léona : tu me le prendras pas je te l'empêcherais
Clarisse : ça ne servira à rien de faire, j'ai parlé avec ton patron de l'agence Nino. Tu n'as plus le droit d'exercer
Léona : je te demande pardon ? (s'énerve)
Clarissse : hier soir j'ai envoyé un mail a ton patron pour lui explique la situation. Il a décidé de retirer de l'agence. Tu n'auras plus le droit d'exercer pour une durée indéterminé. Tu n'as pas respecté le contrat des nounous
Léona : TU N'AS PAS FAIT SA
Clarisse : oui je l'ai fait pour le bien de junior. Il est désorienter comme toi tu l'es. Ce qui t'ai arrivé ta encore plus perturber. Je pense que tu devrais aller consulter quelqu'un

Je la vois qui s'approche de moi et me pousse. Quel brute cette fille

Clarisse : tu vas te calmer (lui retient ses poignets)
Léona : POURQUOI TU AS FAIT SA TU VEUX ME DETRUIRE. JE SAIS QUE JE SUIS MOCHE ET GROSSE MAIS NE M'ENLEVE PAS JUNIOR IL EST TOUT POUR MOI
Clarisse : léona...
Léona : NON (pleure)
Junior : toi méchante (lui met un coup de pied)
Clarisse ; junior tu es puni. Tu es un méchant garçon.

A ce moment-là je vois un grand homme chauve arriver avec un panier

Pedro : il se passe quoi ici ?
Léona : elle veut me prendre junior (éclate en sanglot)
Pedro : d'où tu sors miss météo ?
Clarisse ; je m'appelle clarisse romaloti, je suis la nounou de junior
Pedro : moi je suis la maman de léona. Tu laisses mon petit-fils ici et tu te barres
Clarisse : je partirai mais avec le petit. Je pense qu'il n'y pas que léona qui devrais se faire soigner
Pedro : tu insinue quoi ?
Clarisse : au lieu de l'aider tu la pousse dans cette folie
Pedro : tu prends pour qui miss météo à venir faire tab belle sous mon toit (s'énerve)
Roberto en arrivant : il se passe quoi ici ?
Pedro : tu n'aies pas encore parti à Barcelone ?
Roberto : j'ai oublié un dossier
Léona : elle...elle veut me voler junior (pleure)
Roberto : bonjours je suis le père de léona (sert la main à clarisse)
Clarisse : je lui ait juste dit que je l'ai dénoncé à son patron pour non-respect de contrat. Et que dorénavant junior ne viendra plus ici. Elle s'est mise à hurler mais je...
Roberto : prenait junior et tacher à ça qu'il ne vient plus ici
Pedro : mais...
Léona : IL EST A MOI
Roberto : cette histoire va trop loin. Léona tu vas te taire maintenant
Clarisse : allé junior on rentre
Junior : non (croise les bras)

Je m'approche de lui et je le prends de force. Il commence à hurler et me donnes des coups de pieds mais je ne lâche pas. Le père de léona me raccompagne vers la sortie

Roberto : passer une bonne journée
Clarisse : vous aussi mais encore désole
Roberto : ce n'est pas grave j'avais l'intention de faire la même chose
Junior : NANA, NANA (pleure)
Roberto : j'espère que vous allez réussir à le calmer
Clarisse : ne vous inquiétez pas c'est mon travail....

PDV de Sara :

Je viens de finir mon travail. Je pars à la primaire récupéré Enzo. Il m'attendait à la sortie avec une maitresse

Sara : bonjour je suis venu récupérer Enzo
Institutrice : oui bonjours, je suis au courant son père nous la informer ce matin. Veuillez signer cette feuille pour les jours suivants
Sara : signe la feuille
Institutrice : à demain Enzo
Enzo : au revoir maitresse
Enzo me donne la main et on se dirige vers ma voiture. Je l'attache à l'arrière

Sara : sa c'est bien passer à l'école ?
Enzo : oui, on va aller voir maman ?
Sara : oui on va lui rendre une petite visite surprise
Enzo ; je lui ai fait un beau dessin
Sara ; garde le bien pour lui donner

Je démarre la voiture, et je m'en vais au journal ou touria travaille. Peu après, on la voit qui sort de l'établissement

Sara ; reste dans la voiture je vais la chercher
Enzo : d'accord (grand sourire)

Je sors de la voiture et je me dirige vers elle.

Sara : touria
Touria : Sara tu fais quoi ici ? (surpris)
Sara ; je suis venu te parler
Touria : ce n'est pas le moment j'ai des choses à faire (va pour partir)
Sara : je suis avec Enzo
Touria : se retourne
Sara : il est dans ma voiture. Il aimerait te voir. Tu lui manques énormément
Touria : je...je ne peux pas j'ai du travail (se retient de pleurer)
Sara : tu peux faire une pause
Touria : j'ai dit non (s'énerve)
Sara : pourquoi tu te fais du mal
Touria :...
Sara : tu sais qu'il pleure tous le temps et il te réclame. Tu veux qu'il soit triste toute sa vie
Touri : non
Sara : alors vient avec moi, ne t'inquiète pas Pepe est parti aux USA.

Après hésitation elle me suit, je pars détacher Enzo de la voiture. Il sort de a voiture et e jette dans ses bars

Enzo : maman
Touria : je suis désolé (pleure) tu m'as tellement manqué
Enzo : toi aussi tu m'as manqué (la prend dans ses bras)
Sara : vient il y une brasserie laba
Touria : ok (porte Enzo)

Peu après on s'installe dans une brasserie. Un serveur vient vers nous prendre notre commande

Touria : tu veux un sirop à la fraise mon ange ?
Enzo : oui (content)
Sara ; je voudrais un jus d'orange
Touria : pareil pour moi
Sara : avec trois pars de gâteaux au chocolat (sourit)
Serveur : c'est noter
Sara ; je vais aller droit au but, pourquoi tu ne viens plus voir ton fils
Touria : je ne veux pas lui faire du mal
Sara : c'est en se comportant ainsi que tu lui feras.
Touria : pepe a pris mon fils (pleure)
Sara ; vous vous partagez la garde. Tu lui as caché pendant 6 ans qu'il était père
Touria : je voulais protéger Enzo. Je n'ai jamais caché à Enzo que Pepe était son père. Je lui aie dit. Tu crois pourquoi je suis venu à Madrid. Il est venu le voir
Sara : alors pourquoi tu as créé un livre contre le real Madrid et moi-même
Touria : je voulais me venger de lui après tout le mal qu'il m'a fait. Il m'a abandonné alors que je l'aimais. Il a préfère écouter sa famille qui ne m'aimer pas. Je pense que notre amour était grand mais enfaite ce n'était qu'un feu de paille.
Sara : tu devrais discuter avec Pepe
Touria : non je ne veux plus le voir mais en tout cas Sara je tenais à m'excuser de mon comportement. Tu es une excellente journaliste et professionnelle
Sara : merci c'est gentille
Touria : je suis jalouse de ton couple que tu formes avec iker. Vous avez l'air tellement heureux ensemble
Sara : on l'ai....

PDV de nuria :

Je suis dans mon magasin comme chaque matin. J'attends que mes premiers clients arrivent je joues avec Julio dans la pièce que j'ai aménagé pour lui. Mon portable se mit à sonner, je vois qu'il y écrit Gonzalo, je décroche

Gonzalo : salut mon amour sava
Nuria : oui je vais très bien que me vaut cet appel matinal. Hier ça ne t'a pas suffi (rire)
Gonzalo : je ne suis pas rassasier (rire)
Nuria : il faut se concentrer sur tes matches maintenant (rire) au faite je viens de consultes mes mails je fais faire ma premier interview la semaine prochaine
Gonzalo : je suis très fier de toi
Nuria : merci (contente)
Gonzalo : Julio il est où ?
Nuria : avec moi comme toujours
Gonzalo : nuria...
Nuria ; oui...
Gonzalo : je...non oublie
Nuria : n'ai pas peur de me parler. Tu sais que tu peux tout me dire
Gonzalo : je voulais te dire que je t'aime
Nuria : moi aussi je t'aime...je dois te laisser il y a une cliente qui vient d'arriver. Tu m'appelle quand tu arrives laba
Gonzalo : je te le promets (raccroche)

Je pars voir la cliente qui vient d'arriver.

Nuria : bonjours puis je vous aider ?
Alyia : non sa ira je regarder juste vos vêtement. Les gens ont raison ils ne sont pas mal du tout
Nuria : merci (contente). Vous savez je vais passer la semaine prochaine dans une émission. Je suis trop contente. J'ai lu les critiques ils disent que je fais devancer la marque ZARA. Vous imaginez c'est un exploit
Alya : j'en ai entendu parler mais...vous connaissez léona ? (regarde une photo accrocher au mur)
Nuria : oui c'est l'une de mes meilleurs amis. Vous la connaissez ?
Alya : je m'appelle alya je suis sa demi-sœur
Nuria : ok (sourit) moi je m'appelle nuria j'ai un fils il s'appelle Julio. Mon petit ami c'est Gonzalo higuain
Alya : ok (regarde les vêtements). Vous avez vu que en face de votre magasin il y a des travaux
Nuria : oui j'ai vu à mon avis ils vont faire une supérette. Ils n'ont pas mis de pancarte
Alya : vous travailler seul ?
Nuria : oui malheureusement. J'avais une ami elle s'appelle kaly qui devait m'aider mes elle a beaucoup trop de cours
Alya : ok, et vous vous en sortez ?
Nuria : oui mais pourquoi vous me poser toute se questions ?
Alya : pour rien. J'étais ravi de te vous avoir rencontré
Nuria : tu peux me vouvoyer et moi aussi j'étais ravi de rencontre un membre de la famille de léona

Je la vois qui part avec un grand sourire...

PDV de Sergio :

Je suis dans l'avion avec mes coéquipiers. Mes matches de présaison vont commencer. Je repense à ce qu'il c'est passer hier au restaurant. On voyant léona dans cette état lamentable sa ma fait mal au cœur. Mais ce qui m'a encore plus tuer c'est le fait qu'elle sort avec ce vieux. Je suis encore en colère

Cris ; au faite j'ai vu le père de léona aujourd'hui
Marcelo : le vrai ou le faux ? (rire)
Cris : le vrai (rire).
Pepe : il est comment ?
Cris : il ressemble au coach
José : qui me ressemble ?
Marcelo : le père de léona (rire)
José : je suis unique (sourit)
Karim : il est comment physiquement ?
Cris : il a les mêmes cheveux que le coach (rire)
Tous : éclate de rire
José : très amusant
Macelo : on se moment c'est la mode des cheveux poivre et sel (rire)

En entendant ses paroles, je repense au mec avec qui elle était. Enfaite c'était son père

Iker : sava pas Sergio ?
Sergio : je viens de réaliser que j'ai mis un coup de poing au père de léona
Karim : tu es sérieux ?
Marcelo : franchement tu es grave (rire)
Cris : c'est pour ça qu'il avait un œil au beurre noir (rire)
Pepe : ta pu discuter avec lui
Cris : oui mais.
Marcelo : tu marques des points auprès de papa scavo (rire)
Pepe : on ne peut pas dire autant de toi Sergio (rire)
Iker : laisse le tranquille
Marcelo : c'est bon on rigole
Mesut : j'ai pu voir des photos de toi avec Pilar ? (sourit)
Cris : c'est bon tu n'es plus avec léona ?
Sergio : ça ne te regarde pas Cristiano (s'énerve)

Je sais que ce portugais attend le moment pour me la prendre. J'ai vu comment il a regardé

Cris : c'est bon calme toi
Sergio : tu commences à m'énerver avec ton interrogatoire. Va t'occuper de kaly
Cris : figurez-vous qu'elle a quitté la boutique de nuria car elle a beaucoup de devoir et aussi le fait qu'elle ne veut pas rester amie avec moi. Elle veut toujours plus
Marcelo : si tu veux je t'ai préparé des pepitos pour que tu lui donne (rire)
Karim : jamais de ma vie je ferais les sorties d'école
Pepe : pareil il ne faut pas abuser non plus. Ce que je n'aime pas aussi c'est le mensonge
Sergio : bienvenu au club
Gonzalo : oue (fait exprès)
Karim : franchement je préfère comme dise la vérité plutôt de l'apprendre par quelqu'un d'autre.
Cris : tu veux dire plutôt par la bouche de Marcelo et Pepe (rire)
Karim : voilà (rire)
Marcelo : ce n'est pas de notre faute si on découvre au hasard les choses
Sergio : oue mai vous découvrez tout le temps de choses ses bizarres (rire)
Pepe : qu'es que vous voulez qu'on vous dise
Iker : oh Gonzalo sava ? On dirait que tu as vu un fantôme
Gonzalo : non sava allé (ment)....

PDV d'Irina :

Je me sens responsable de ce qui s'est passé. Il faut que je le dise nuria. Je prends ma voiture peu après j'arrive devant son magasin. Je respire un grand coup et je rentre dans son magasin. Je vois que a boutique était bondé de monde

Nuria : salut ma belle sava (lui fait la bise)
Irina : pas trop
Nuria : tu t'es disputé avec Karim
Irina : non...
Nuria : au faite j'ai vu la demi-sœur de léona si elle me l'aurait pas dit je ne le penserai même pas. Elle ne se ressemble pas du tout
Irina : nuria il faut que je te parle
Nuria : je t'écoute (plis un jean)
Irina : voilà je ne sais pas comment te l'annoncer...
Nuria : oh la garce...
Irina : je te demande pardon

Je vois en face de nous une fille avec un café à la main dans une boutique qui est en plein travaux.

Nuria : je n'arrive pas à y croire elle m'a eu. Elle est venue m'espionner
Irina : tu la connais ?
Nuria : c'est la demi-sœur de léona. Elle est venu ouvrir sa boutique en face du miens pour la concurrence
Irina : non me dit pas que...
Nuria : c'est l'une des héritières de la marque ZARA

La boutique de la sœur de léona s'appelle « ALYIA ZARA ». Nuria est hors d'elle, elle sort de son magasin

Nuria : TU VEUX LA GUERRE TU L'AURAS...

PDV de léona :

Un mois est passé depuis que clarisse est partie avec junior. Mon père a interdit au groupe de venir me voir tant que je n'irais pas mieux. Je vais tous les jours voir un groupe d'écoute. Ces des personnes qui ont vécu les mêmes choses similaire que moi d'autre c'est encore pire. J'ai appris dans la presse que Sergio sortait avec Pilar. Quel prénom débile. Je vois mon père qui arrive

Roberto ; léona comment tu vas aujourd'hui
Léona : à toi de le deviner (s'énerver)
Roberto : tu es énerver et en colère il faut que tous sa évacue
Léona : tu veux me proposer quoi de faire du yoga (ironie)
Roberto : viens avec moi
Léona : je ne bougerais pas d'ici
Roberto : tu ne vas pas gâcher ta vie en restant ici. Peut-être que Sergio est entrain de pleurer la
Léona : ...
Roberto : viens avec moi (lui tend sa main)

Je donne la main à mon père. On part tous les deux en voiture. Peu après on arrive dans une salle de combat

Léona : pourquoi tu m'as amené ici ? (apeuré)
Roberto : il faut que tu affronte la réalité
Zac : bonsoir tu dois être léona (lui sert la main)
Léona : bonsoir
Zac : j'ai appris ce qui t'ai arrivé dans la presse c'est vraiment horrible
Léona : je...
Zac : ton père m'a aussi expliqué ta situation

Il me parler mais je n'écoute rien. Je voyais a coter une femme qui se battais avec un homme. Des souvenirs de l'agression me reviennent

Léona : je ne peux pas
Roberto : tu peux le faire
Zac : pourquoi tu n'y arriverais pas
Léona : non (va pour partir)
Zac : tu comptes rester toute ta vie enfermer chez toi pendant que l'homme que t'aime batifole avec une cougars
Léona : s'arrête
Zac : tu es faible léona d'après ce que m'a dit ton père tu es une femme à caractère. Moi ce que je vois c'est une fille qui n'a rien dans le ventre
Léona : non c'est faut (se retourne)
Zac ; alors montre-moi ce que tu as dans le ventre

Je donne mon sac à mon père et je monte sur le ring. J'enfile les gans de boxe

Zac : aller frappe moi
Léona : le frappe
Zac : c'est tout ce que tu sais faire, je sais que tu peux faire mieux
Léona : le frappe
Zac : tu frappes comme une fille
Léona : je suis une fille
Zac : la pousse c'est ce que tu as dit quand ils t'ont tabassé
Léona : TAIS-TOI (le frappe)

Je le frapper, je repenser a tout ce qu'il c'est passer dans ma vie. L'abandon de ma mère quand j'avais 10 ans et quelle m'avait balancé en pleine figure que j'étais moche. Les insulte que j'ai reçu quand j'étais u collège et au lycée on me surnommé « la vachette ». Ma premier rencontre avec Sergio, et les autres. Les insultent qui m'a balancer en pleine figure.

Zac : FRAPPE-MOI
Léona : TAI TOI

Je repense à l'humiliation que j'ai eue quand on m'a fait passer pour une transsexuelle. Toutes les insultes de la mère de Sergio. Je repense à mon agression. Ma vue se brouiller de larmes. Je le frapper mais je n'avais plus la force je m'effondre en larme. Mon père vient me prendre dans ses bras

Zac : tu as vu tu es arrivé. Demain à la même heure passe une bonne soirée
Roberto : ne pleur plus. On rentrer à la maison

On repart à la maison, je ne parle pas. Arriver laba, Pedro nous attendais

Pedro : je t'ai porté un plateau à l'étage...tu as pleuré ma chérie ?
Léona : sava allé. Je ne veux plus manger
Pedro : mais...
Léona : je vais manger avec vous au salon
Pedro : d'accord (grand sourire)

Le coach à raison il faut que je me reprenne en main. Je vais remonter la pente et redevenir la vrai léona. Sergio même si je l'aimerais toujours c'est du passer maintenant. Je dois aller de l'avant et changer mon destin. Cristiano a raison...

Tome 1 : Une nounou d'enferOù les histoires vivent. Découvrez maintenant