Chapitre 109 : UN WEEKEND MOUVEMENTER

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  PDV de Cristiano :

Je suis chez moi, la semaine a été rude. Les journalistes n'ont pas arrêté de ne nous persécuter. On est la risée des médias. Le journal catalan s'en donne à cœur joie. Il dise que le vestiaire est divisé. L'inspecteur Morgan est à l'affut de mes moindres fait et gestes. Il attend juste que je fais un mauvais pas pour me tomber dessue. J'ai demandé à Jorge de me chercher un nouveau club. J'ai essayé de discuter calmement avec florentin mais il n'a pas voulu m'écouter. Il veut que je parte à la fin de la saison. Mon petit junior est reparti avec ma mère au Portugal. Leona est repartie vivre chez son père. Franchement je n'aurais pas pensé qu'elle aurait fait ça à Sergio. En plus sachant comment il est Pedro, Leona a vraiment dépassé les bornes. Sergio revient la semaine prochaine à l'entrainement le médecin lui a dit de se reposer. Pepe et Anna n'arrête pas de se disputer. Gonzalo est toujours en colère contre la direction du club. Il ne comprend pas pourquoi il veule le virer. Iker ne veut toujours pas nous adresser la parole. Marcelo après m'a fait la tête toute la semaine il ne veut plus me parler. Il dit que c'est à cause de Silvia s'il est dorénavant sur le banc. Ma mère n'arrête pas de m'harceler au téléphone pour me dire quelle m'avait prévue au sujet de Silvia. Je regarde par la fenêtre des flocons de neige commence à tomber. J'entendais la vois de clarisse qui m'appelait

Clarisse : tu m'as entendu Cristiano ?
Cris : non désolé tu disais quoi ?
Clarisse : es ce que Marcelo est chez lui ?
Cris ; je ne sais pas, je t'ai dit qu'il ne voulait pas me parler.
Clarisse ; ah oui j'avais complément oublier. Ce n'est qu'une histoire de gamin vous allez vous réconcilié
Cris : là je ne pense pas. Cette histoire est allée trop loin
Clarisse : ce n'est pas ta faute...
Cris : mais celle de Silvia...
Clarisse : je n'ai jamais dit que c'était sa faute. Elle n'est pas coupable c'est la victime dans cette histoire
Cris change de discussion : pourquoi tu ne l'appel pas
Clarisse : il croit qu'on est sur écoute
Cris : j'ai oublié qu'il était dans son délire
Clarisse : il commence vraiment à me souler (croise les bras)
Cris : tu sais comment il est Marcelo...
Clarisse : ce n'est pas une raison de faire l'abruti tous le temps. Je suis une femme j'ai besoin de tendresse et d'attention
Cris : dit lu
Clarisse : c'est ce que j'essaye de lui dire mais il me coupe chaque foi la parole. Il est convaincu qu'on l'espionne
Cris : qui l'espionnent ? (rire)
Clarisse : ça me fait pas rire Cristiano
Cris : c'est normal que je rigole avec vos histoires (rire). C'est rarissime
Clarisse ; il a intérêt de changer sinon...
Cris : tu vas lui faire quoi ?
Clarisse ; je prendrais les choses en mains
Cris : tu as raison dresse le (rire)
Clarisse : bon je vais aller voir Leona (met sa veste)
Cris : elle va bien ?
Clarisse : elle a le cœur brisé
Cris : ce n'est pas pour être méchant mais elle à bien chercher. J'aurais été à la place de Sergio j'aurais pété un câble depuis longtemps
Clarisse change de discussion : et toi tu vas faire quoi ?
Cris : je vais regarder un match à la télé
Clarisse : profite de ton weekend au lui de regarder un match. Sors un peu sa te fera du bien
Cris : pour aller où ?
Clarisse : je n'en sais rien. Va chez Sergio...
Cris : Sergio a besoin de repos
Clarisse : Gonzalo...
Cris : Gonzalo est avec Julio. Je ne veux pas lui gâcher son dernier weekend avec son fils
Clarisse : Pepe...
Cris : Pepe se dispute tous le temps avec Anna, je n'ai pas envie d'être mêlé à leur histoire
Clarisse : ok (part)

Pendant plusieurs minutes je fais les cent pas. Après avoir bien réfléchis je décide de sortir. Je prends ma voiture t je m'en vais en ville. Apres plusieurs minutes j'arrive enfin devant l'endroit qui me hante chaque nuit. Je ferme les yeux et prend mon courage à deux main. Je mets une casquette, des lunettes de soleil et je me dirige vers l'accueil

Secrétaire : bonsoir monsieur
Cris : bonsoir, pouvez-vous me donnez le numéro de la chambre de Silvia Cruz
Secrétaire : désolé monsieur il est tard. Les visites sont finit. Déplus madame Cruz ne peut pas encore recevoir des visites
Cris : s'il vous plaît
Secrétaire : désolé

Je vois que celle-ci décroche le téléphone je profite qu'elle tourne le dos pour voir dans quel chambre elle se trouve. Je pars vite prendre l'ascenseur. Arrivé l'Aba, je vois qu'il a aucune infirmière dans le couloir. Je rentre vite dans sa chambre. La lumière était éteinte, je l'allume et là je vois cette scène qui me brise le cœur en mille morceaux. Celle-ci était allongée dans un lit. Il lui on attacher les mains, elle dormait. Je regarde de tous les coté et je m'approche d'elle. Elle était d'une pâleur à faire peut. Je lui caresse délicatement son visage. Je ferme mes yeux pour ne pas pleurer. Je m'assois prêt d'elle

Cris : Silvia c'est moi. Je suis tellement désolé ce qui est arrivé. Je te jure sur la tête de junior que je ne suis pas l'auteur de ses lettres répugnantes les unes que l'autre que tu as reçus. Tu aurais dû m'en parler au lieu de tous garder pour toi. florentin veut que je quitte le club à la fin de la saison. Je pense retourne à Manchester ou peut être allé au Bayern Munich. Je n'ai pas encore choisit. Lundi il va avoir la cérémonie du ballon d'or, j'espère l'obtenir cette année. Si je l'ai-je te mettrais une autre perle dans le bracelet que je t'ai offert. Sergio et Leona ont rompu de nouveau ensemble. Qu'es que je dis, je suis la a te parler des autres alors que toi tu es allonger dans cette horrible pièce. Je vais te dire pourquoi je suis venu te voir. Je ne sais pas comment te le dire. Voilà j'ai pris une grande décision...ça nous concerne tous les deux...je...comment te dire...j'ai décidé de n'avoir plus de rapport avec toi. Sa sera la première et la dernière fois que je m'approche de toi. À ta sortie je l'espère que tu sortiras très bientôt, je ne veux pas que tu t'approches de moi nie de ma famille et sa sera de même pour moi... je dois redorer mon image auprès du journaliste et auprès des supporters...tu mérites un homme qui t'aime pour ce que tu es Silvia. Ton ex-mari ne te mérite pas...

J'entendais des infirmières parlait dans les couloirs. Je lui murmure une dernière fois quelque chose dans son oreille. Au moment où je relève ma tête je croise son regard. Je vois des larmes qui lui coulent sur les joues. Mon prénom mourut sur ses lèvres, j'allais partir quand celle-ci commencer à hurler. Je m'en vais en courant sans me retourner. A peine je sors de l'hôpital psychiatrie que je tomber nez à nez sur l'inspecteur Morgan

Derek : que c'est mignon le psychopathe retourne voir sa proie
Cris ; je ne suis pas un psychopathe (s'énerve)
Derek : c'est ce que vous êtes allé lui dire
Cris : ça ne vous regarde pas (s'énerve)
Derek : ça me regarde si vous lui faites du mal
Cris : je ne lui fais pas de mal (s'énerve)
Derek : de toute façon vous devrez être content (ironie)
Cris : content de quoi ? Que vous me bousiller ma vie, ma carrière (s'énerve)...
Derek : si vous voulez trouver un coupable regardez-vous dans un miroir
Cris : lâchez-moi (va pour partir)
Derek : comme si vous ne savez pas que Silvia à retirer sa plainte contre vous
Cris : surpris (se retourne)
Derek : arrêter de faire cette tête la
Cris : mais...
Derek : comme si vous ne le savez pas
Cris : je ne le savais pas
Derek : arrêter vos salades vous le savez très bien qu'elle a fait ça aujourd'hui et quelle a voulu se suicidé quand elle a appris que vous sortez de nouveau avec Irina shayk
Cris : choquer
Derek : vous savez pouvez jouer dans un film avec vos talents d'acteur
Cris : je n'étais pas au courant...
Derek : mais oui c'est cela mais c'est typique
Cris :...
Derek : la victime qui tombe amoureuse de son gourou

Je n'en reviens pas quelle est abandonné sa plainte et surtout quelle est tente de se suicider. J'allais partir quand celui-ci m'attrape par le col et me plaque contre ma voiture

Derek : peut-être qu'elle a abandonné les charges contre toi mais sois en sûr que je t'ai à l'œil

Il me relâche et part. Je monte dans ma voiture et je repars encore sous le choc de ses révélations...

PDV de Pepe :

Je suis entrain de préparer le diner. Je n'arrête pas de me disputer avec Anna concernant touria et notre couple

Anna : Pepe je ne supporte plus que tourie soit toujours entre nous. Je ne vais pas le supporte longtemps (pleure)
Pepe la prend dans ses bras : ne pleure pas
Anna se détache de lui : c'est plus facile à dire que à faire (essuye ses larmes)
Pepe : mes avocats vont tout faire pour que je récupère la garde exclusive d'Enzo
Anna : tu dis toujours ça mais ça n'avance pas
Pepe : ce n'est pas de ma faute
Anna ; si tu y mettais du tiens dans cette histoire sa serait déjà finit depuis longtemps
Pepe : peut-être que me tourne les pouces (s'énerve)
Anna ; tu ne fais rien pour que ça avance
Pepe : tu as oublié que j'ai des problèmes avec le club en ce moment (s'énerve)
Anna : et alors
Pepe : et alors quoi ? (s'énerve). Ma carrière est en train de prendre l'eau
Anna ; à cause de touria (s'énerve). Ouvre tes yeux cette fille il faut la tuer (s'énerve)
Pepe : si je le pouvais je le ferais pour être enfin débarrasser d'elle
Anna :..
Pepe : je commence en avoir marre quand se dispute
Anna : moi aussi (croise les bras). Je veux que tu me fasses un enfant Pepe
Pepe : Anna on a déjà parlé de ça
Anna ; je peux m'en occuper
Pepe : il ne s'agit pas de ça tu sais très bien que touria va bientôt accoucher je ne suis pas prêt à avoir un autre enfant
Anna : tu étais bien prêt quand tu as couché avec elle (s'énerve)
Pepe : je t'ai que j'étais désolé et que si j'avais la possibilité de remonter dans le temps j'effacerais tous
Anna : Pepe j'ai envie d'avoir un bébé à nous

Je m'approche d'elle et pose mes mains sur ses épaules

Tome 1 : Une nounou d'enferOù les histoires vivent. Découvrez maintenant