Chapitre 94 : LE DEFILE (partie 2)

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PDV de Gonzalo :

Je courais après nuria avec Julio. Je la vois qui s'assoit sur un banc en pleurant. Je pars m'assoir à côté d'elle

Nuria ; éloigne-toi de moi et rend mon Julio (pleure)
Gonzalo : nuria...
Nuria : quoi ? Tu vas me redire que je suis moche et bête. Qu'es que je t'ai fait pour mériter tant de haine. Je t'ai pardonné alors que tu m'as trompé avec Irina. Je m'occupe de Julio alors que toi il n'y a que le foot qui t'intéresse
Gonzalo ; j'aime Julio...
Nuria : certes tu l'aimes peut être c'est lequel de nous deux qui réorganise à chaque fois son planning pour s'occuper de Julio c'est peut être toi
Gonzalo :...
Nuria : c'est lequel de nous deux qui va accoucher c'est peut être toi.
Gonzalo :...
Nuria : je pensais que tu m'aimais mais je me suis tromper. Tu restes avec moi uniquement pour les enfants mais tu ne m'aimes pas (pleure). J'avoue que j'ai fait des erreurs dans le passé mais comparé à toi j'ai appris de mes erreurs. Je t'ai tout donné alors que toi tu me donnes rien. Ah oui je sais à part des insultes
Gonzalo :...
Nuria : tu sais quoi toi et moi c'est fini. J'en ai marre de ton comportement de gamin. Je pense que je mérite mieux. Tu sais pour la collection que j'ai réalisé je me suis inspirer de notre relation. J'allais te dédier la dernière tenue pour toi mais monsieur à penser que j'ai fait exprès de l'oublier
Gonzalo:..
Nuria : tu es comme tous les autres footballeurs. (se lève). Aller Julio vient avec maman on va renter
Gonzalo ; non nuria attend (tiens son bras)
Nuria : attendre quoi ? Que tu m'insultes de nouveau
Gonzalo ; non, je ne voulais pas t'insulter c'était sur la colère. Je pensais que tu as fait exprès de ne pas dédier ta collection pour moi
Nuria : tu crois trop de choses. Il faut réfléchir avant
Gonzalo : je sais je suis encore désolé. C'est dernier temps j'étais au bout du rouleau. Tu n'arrêtais pas de pleurer et Julio faisait exprès de faire comme toi pour attirer mes faveurs
Nuria :...
Gonzalo : José m'a dit que sa femme lorsqu'elle était enceinte faisait exprès de pleurer pour qu'il s'occupe d'elle. Je pensais que toi aussi tu me faisais ce coup là mais je sais que à présent ce n'étais pas du cinéma. Je suis désolé encore une foi d'avoir douté de toi
Nuria : il a raison José
Gonzalo : comment ça ? (lève un sourcil)
Nuria : je faisais exprès de pleurer car c'est juste comme ça que tu t'occuper de moi sinon tu t'en foutais
Gonzalo : non mais je n'y crois pas (commence à s'énerver). Tu es devenu folle j'ai fallu me suicider tellement j'en avais marre
Nuria : tu peux garder tes hurlement pour toi, sa t'apprendra tu t'occupes pas de moi
Gonzalo : bien sûr que je m'occupe bien de toi
Nuria : ah oui et c'est quand la dernière foi ou tu m'as dit des mots gentilles ou tu m'as offerts des bouquets de fleurs
Gonzalo : on a dépassé ce stade la
Nuria : non non non, on n'a pas dépassé, tu as dépassé ce stade-là. Chaque jour j'essaye de te faire plaisir. Je te prépare tes repas préférés, j'ai demandé à ta mère des recettes argentines. Je ne me laisse pas aller au contraire toute les nuits quand passe ensemble j'achet des lingeries pour te faire plaisir. Mais tu ne remarques rien du tout. Tu n'as même pas remarqué que je me suis couper les cheveux
Gonzalo : tu n'as pas coupé tes cheveux ils sont toujours à la même taille
Nuria : faux, je me suis couper les pointes car elle était abimer
Gonzalo : mais ou es ce que tu vas chercher des choses loufoques c'est Pedro qui t'a demander de rendre fou ?
Nuria : je pense que Pedro a plus de choses dans la tête que toi
Gonzalo : c'est bon tu as fini
Nuria : non je n'ai pas fini, peut être que je suis moche mais au moins je me sens bien dans ma peau. On m'aimera telle que je suis. Je vais aller voir la fin de ma collection. Tu peux partir Gonzalo va retrouver les prostitue de Madrid elles t'attendent

Je m'approche d'elle et je l'embrasse pour quelle arrête de parler. Je me recule d'elle et je mets à genou

Nuria : qu'es que tu fais ? Relève-toi
Gonzalo : ce n'était pas dans ses conditions-là que j'aurais aimé de te dire mais tu ne me laisses pas le choix
Nuria : de quoi tu parles ? (ne comprend pas)
Gonzalo : Depuis le jour de notre rencontre, j'ai l'impression de vivre un rêve éveillé. Tout semble nouveau, différent, la vie a une nouvelle saveur pour moi, j'irai même plus loin, ma vie a enfin un sens. Dans tes yeux, j'ai découvert l'Amour, moi le solitaire, j'ai appris à aimer. Aucun mot de me vient à l'esprit pour te remercier de m'avoir montré le monde avec des yeux différents...
Nuria : les larmes aux yeux
Gonzalo : je n'ai plus qu'un rêve, c'est de passer le reste de ma vie â tes côtés, ne plus être loin de toi une seule journée et d'être un bon père pour Julio et notre futur bébé. Parce que nous n'avions pas encore osé en parler, par pudeur, ou par prudence, maintenant je te le demande : épouse-moi et passons le reste de notre vie ensemble.
Nuria ;...
Gonzalo : nuria tu acceptes de devenir ma femme ?
Nuria ; si tu savais à quel point j'attendais ce moment-là que tu me demandes de t'épouser.
Gonzalo : je voulais te faire ma demande ce soir après le défilé mais je ne pensais pas que sa aller mal tourner. Tu es la plus belle femme que j'ai jamais rencontrée. J'avoue que je ne suis pas un homme qui est dans la délicatesse mais je te promets que mes sentiments pour toi sans réel. Je n'ai jamais aimé une autre femme que toi. Si j'avais la possibilité d'effacer tous ce qui s'est passé je le ferais. C'est toi que je veux pour l'éternité pas une autre. Je vais te reposer la question es ce que tu veux m'épouser ? Si tu ne le veux pas je comprendrais
Nuria : oui je veux t'épouser
Julio : oue (content)
Gonzalo se lève et la prend dans ses bras ; je t'aime
Nuria : moi aussi je t'aime
Gonzalo : maintenant on n'arrête nos enfantillages
Nuria : tu veux dire que tu arrêtes tes enfantillages (sourit). Au fait elle est où ma bague ?
Gonzalo : j'allais complétement oublier, Julio donne à papa ce que ta dans ta poche
Julio : lui donne la petite boite noire
Gonzalo : donne-moi ta main (ouvre la boite)
Nuria : elle est splendide c'est la bague de mes rêves (contente)
Gonzalo ; je le sais, j'ai vu à la boutique que tu avais caché une publicité en écrivant "ma bague de mes rêves) (rire)
Nuria : hey ne te moque pas
Gonzalo ; on a plus le droit de rigoler maintenant
Julio ; rire
Nuria ; Gonzalo je ne suis pas grosse et moche ?
Gonzalo ; mais non tu es superbe pas vrais Julio ?µ
Julio : oui (content)
Nuria : ça fait un petit moment qu'on est dehors, le défilé va bientôt finir. J'ai hâte de l'annoncer à tout le monde qu'on va se marier
Gonzalo : cela ne m'étonne pas de toi (lui donne la main)
Nuria porte Julio : tu as vu comment la bague de maman est belle ?
Julio : oui (sourit)

On repart tous les trois au défilé, à peine on rentre quand entend un énorme brouhaha et on voit sur scène le visage d'une femme en sang. C'est quoi ce délire....

PDV d'alya :

Je viens d'arriver à la soirée ridicule de nuria. Je suis venu voir les horreurs quelle a créé. A cet instant, j'aperçois sur scène Pedro qui met un coup de poing à ma mère. Je pousse tout le monde et j'arrive comme une furie sur scène

Alya : OH PEDRO
Pedro : se retourner
Alya lui met un coup de poing ; VIENS FRAPPER LES GENS DE TON NIVEAU
Pedro : aie espèce de petite garce (sort un foulard de sa poche et le met autour de son crane). Venez-vous battre bande de vielle. Ça vous fait plaisir de faire du mal à mon bébé
Maria : ESPECE DE GAY TU FAIS PITIER
Pedro : LE GAY AU MOIN SE TAPE TON MARI
Maria : TU VOULAIS DIRE SE TAPER VU QU'IL TA JETER COMME UN VIEUX PRESERVATIF USAGER (se fou de lui)
Alya : tu as oublié maman de dire qu'il a trompée avec le zack. Non malheureusement pour toi ce n'est pas Zac Efron mais juste ton frère de peau (ironie)
Maria : qui a prend à la vachette de léona de se défendre (se fou de lui)
Nuria en arrivant sur scène : SORTEZ D'ICI
Alya : j'ai le droit comme tout le monde de voir cette petite horreur que tu as créé (rire)
Nuria : tais-toi espèce de folle vous me faite honte
Alya ; pauvre folle tu fais peine à voir. Tu penses être une femme d'affaire alors qu'en privé tu n'aies même pas forte. A part vomir et pleurer tu ne sais rien faire d'autre. Même ton chère et tendre Gonzalo ta tromper avec Irina shayk. Et oui mes chère journaliste, votre « vomito » national vous cache bien de choses. Alors venez tous chez ZARA si vous voulez plus d'information et admirez notre collection qui n'a rien à voir avec ces vieux torchons (ironie)
Karim en arrivant : sort de cette scène alya (s'énerve)
Alya : oh baisse d'un ton avec moi (s'énerve)
Maria : ma fille a du caractère, tu as confondu avec les filles de ton pays (ironie)
Karim : vous avez de la chance d'être une femme sinon...
Alya : sinon quoi (l'attrape par le bras), tu veux frapper ma mère comme ce grand chauve à fait (s'énerve)
Karim : tu es comme ta mère mais tu n'auras jamais la classe de léona...
Alya : c'est bon les masques tu es amoureux de Leona (s'énerve)
Karim : toi et moi c'est fini au moins sa te fera encore plus de buzz. Tu me dégoutes (part)...
Alya : c'est ça va retrouver ta chère léona...
Maria : je te l'ai dit ma chérie que cette vachette de léona était pire que la peste...
Alya ; JE TE DETESTE KARIM
Maria : comme vous avez pu le voir de vous-même il n'y a que des animaux dans ce défilé. Un homme qui frappe une femme et j'en passe. C'est ça que vous voulez montrer à vos enfants. Venez dans notre boutique
Sergio en arrivant : ET VOUS PARLER DE RESPECT ALORS QUE VOUS INSULTEZ VOTRE PROPRE FILLE. VOUS N'ETES QU'UNE MERE INDIGNE
Maria : mais oui c'est cela
Paqui : Sergio aller vient on rentre (regarde maria de travers)
Sergio : non laisse-moi maman je n'ai pas fini avec cette vielle garce
René : Sergio aller vient
Nuria : DEGAGER TOUS D'ICI
Journaliste : choquer
Nuria : SORTEZ DE MA BOUTIQUE

Tout le monde part, j'aide ma mère à descendre de la scène et je m'en vais le cœur lourd en repensant aux paroles de Karim...

PDV de nuria :

Je n'arrive pas à y croire que ma collection était un fiasco. Je me retiens de ne pas pleurer. Tous le travail que j'ai réalisé a était gâcher. Je vois Pedro qui s'approche de moi

Pedro : nuria je suis désolé...
Nuria : tu peux garder ta pitié (s'énerve). Tu n'aies pas professionnel du tout. Je te vire...
Pedro : mais je...
Nuria : DEGAGE
Pedro : part en pleurant
Iker ; nuria ce n'est pas de sa faute c'est à cause de maria...
Nuria : tu m'as pas entendu iker je vous ai dit de tous dégager. A cause de vos conneries je vais être la risée de Madrid. Cette peste d'alya à balancer à la presse que Gonzalo m'a trompé avec Irina...
Marcelo : on est...
Nuria : SORTEZ D'ICI JE VOUS DETESTE TOUS.ELOIGNE VOUS DE MOI ET MA FAMILLE...

PDV de Pepe :

Je suis dans les loges entrain de réconforte Anna de l'humiliation quelle a subit. J'entendais nuria hurler de l'autre côté. Enzo était en face de moi entrain de croiser les bras

Pepe : TU ES DEVENU COMPLTEMENT FOU ENZO
Enzo : JE M'EN FOU
Pepe : NE ME REPOND PAS
Enzo : TU N'AI PAS MON PAPA
Pepe : ARRETE DE ME PARLER SUR CE TON AVANT QUE JE M'ENERVE
Touria en arrivant : il se passe quoi ici ?
Anna : comme si tu ne savais pas (essuye ses larmes)
Touria : de quoi tu parles blondasse (s'énerve)
Pepe : tu es allé trop loin touria je n'aurais jamais pu penser que tu étais capable de faire sa
Touria : qu'es que tu raconte
Anna se lève : ne fait pas l'innocente je sais très bien que c'est toi qui a envoyer Enzo sur scène pour m'humilier
Touria : n'importe quoi
Anna : arrête de mentir (la pousse)
Enzo : ne frappe pas maman sale conasse (lui met un coup de pied)
Pepe : ENZO STOP
Enzo : dégage toi aussi

A ces mots là je lui mets une grosse gifle, il commence à pleurer. Je n'en reviens pas de ce que je viens de faire

Touria : je t'interdis de lever la main sur mon fils (le pousse). Enzo sava
Enzo pleure : je veux rentrer à la maison
Pepe : je suis désolé...
Touria : garde tes désolé et éloigne toi de lui

Elle s'en va en portant Enzo qui pleurait toujours. Je vois clarisse débouler sur moi

Clarisse : je vois que les portugais sont aussi con que les brésilien
Pepe : lâche moi clarisse
Clarisse : tais-toi et va plutôt manger un bonbon car tu as mauvais haleine. Tu devrais avoir honte de toi
Anna : occupe-toi de tes affaires...
Clarisse : et toi retourne dans ton pays au lieu de nous emmerder. Je pensais que touria était méchante mais la vérité c'est que c'est toi qui joue hypocrite.
Anna : n'importe quoi
Clarisse : oh que oui j'ai raison. Je me demander pourquoi Cristiano était dans cet état la...
Anna : je ne vois pas le rapport avec moi
Clarisse : oh que si ma chère à un moment de lucidité il me la dit
Pepe : de quoi tu parles clarisse ? (ne comprend pas)
Anna : ne l'écoute pas. Tu ne vois pas quelle est dingue
Clarisse : mais oui je suis folle. Aller moi je me tire d'ici (part)
Anna : Pepe je ne veux pas rester ici (va dans ses bras)
Pepe : on va parti (perplexe)...

PDV de Cristiano :

Au moment où j'allais sauter, j'entendais une voix de femme qui me disait de ne pas le faire. Je me retourne et je la regarde

Cris : laissez-moi mourir
Silvia : non ça ne sert à rien de faire ça.
Cris : laissez-moi et partez
Silvia : non je ne partirais pas. Ne fait pas ça monsieur Ronaldo
Cris : vous êtes une journaliste ?
Silvia : pas du tout, je m'appelle Silvia Cruz et je suis psychologue. Le suicide ne résoudra pas vos problèmes. Ce que vous avez besoin c'est de l'aide
Cris : je n'ai pas besoin d'aide
Silvia : descendez de ce muret et on va discuter
Cris : non je ne veux pas
Silvia s'approche : écoutez...
Cris : n'approchez pas
Silvia : vous avez un fils qui a besoin de vous
Cris: ...
Silvia : votre famille vous aime et votre copine aussi (pense à Irina)
Cris l je n'ai pas de copine. Celle que j'aime est morte à cause de moi
Silvia : c'est donc ça, vous pensez être responsable de la mort de votre petite amie
Cris : c'est à cause de moi qu'elle est morte...

A cet instant, je m'aperçois autour de son cou un collier qui m'était familier. C'est le collier que j'ai offert à caitlin. Je descends du muret et je m'approche de cette femme en lui arrachant le collier

Cris : ou vous avez eu ce collier ? (s'énerve)
Silvia : oh ça ne va pas rendez-moi mon collier
Cris : c'est le mien (s'énerve). Répondez-moi ou vous avez eu ce collier (s'énerve)
Silvia : ça ne vous regarde pas maintenant rendez-moi ce collier

Je la saisir par les épaules pour la secouer. Je me demande ou es ce qu'elle a eu ce collier

Silvia ; lâche-moi vous me fait mal
Cris : ce n'est encore rien à ce que j'ai l'intention de te faire (s'énerve)
Silvia : je suis désolé, je n'ai pas le choix

Je la vois qui sort une seringue et la met dans mon cou. Je recule d'elle et commence à voir trouble avant de m'effondrer...Je commence à me réveiller petit par petit, je vois que dehors il fait encore nuit. J'ouvre grand les yeux et je me rends compte que je ne suis pas chez moi mais dans une maison. Je me mémorise ce qui s'est passé, c'est bon je m'en souviens. Je me rappel d'une femme qui était avec moi sur le toit et qui portait le collier de caitlin et puis plus rien. Cet endroit me fait penser à une maison que je connais. Je la reconnais de suite même si il y a plus les meubles comme avant : c'est la maison de caitlin. Je me lève en vitesse de ce lit. J'entendais l'eau de la salle de bain qui coulait-elle doit surement m'attendre sous la douche. Je n'arrive pas à y croire quelle n'est pas morte. J'enlevé vite mes habit et je pars dans la salle de bain. J'entendais l'eau qui ne couler plus puis elle sort

Silvia : mon dieux qu'es que foutez à poil (attrape vite une serviette)
Cris : caitlin
Silvia : je ne suis pas caitlin, sortez de cette salle de bain on va parler
Cris ; non tu es caitlin (lui enlève sa serviette)

Je m'approche d'elle pour l'embrasser mais elle essaye de me pousser je la retins fortement contre moi. Sa bonne odeur de noix coco m'a tellement manqué et ses petit yeux de chat aussi. Caitlin essayer de me repousser mais je la plaque contre le mur et je lui soulève une jambe. J'embrasse son cou et je caresse sa poitrine. Il me semblait quelle n'avait pas autant une poitrine pulpeuse avant mais j'en ai rien à faire elle est de nouveau à moi.

Cris : tu m'as tellement manqué ma chérie, je t'aime tellement
Silvia : LAISSEZ MOI (essaye de le poussez)
Cris : plus personne ne nous séparera (embrasse son cou)
Silvia : non
Cris ; tu aimes ce que je suis en train de te faire (lui mord le lobe de l'oreille)
Silvia ; gémit
Cris : bien sûr que tu aimes mon chaton

Au moment où j'allais entrer en elle, celle-ci me met un énorme coup de tête et s'enlevé de moi. Je me demande pourquoi elle m'a fait ça. Je me tourne vers elle et je la regarde. A cet instant, je voyais que la fille n'était pas caitlin

Silvia : ne vous approchez pas (prend un sèche-cheveux en guise d'arme)
Cris : je...
Silvia : je vais appeler la police (court au salon)
Cris court après elle : attendez (attrape son bras)
Silvia : ne me touchez pas sale porc (le pousse)
Cris : ou est caitlin ?
Silvia : il n'y a pas de caitlin
Cris : arrêtez de mentir c'est sa maison
Silvia : non, je vis ici toute seule
Cris : comment avait vous eut ce collier ?
Silvia : ils vous arrivent quoi à être obsédés par ce collier. Bon maintenant aller vous habiller je vais vous ramenez chez vous. Sa était une très mauvaise idée de vous ramener chez moi...Attendez une seconde (réfléchit), je me souviens de quelque chose. Il y a un an la presse parlé de la mort d'une ancienne journaliste caitlin donovan dans un accident de la route. C'était elle votre petite amie
Cris ;...
Silvia : je pense que j'en ai assez entendu pour aujourd'hui. Je n'appellerais pas la police, la prochaine fois que vous essayez de refaire ce qui c'est passé dans la salle de bain je vous jure que je vous envoi en prison. Je vais vous appelez un taxi, la piqure que je vous ai fait d'après ce que je vois ne vous a pas aidé à dormir.
Cris :..
Silvia : maintenant aller vous habillez, on s'ait assez vu tout nu pour aujourd'hui. Je vais vous donner un conseil monsieur Ronaldo vous devez aller consulter un psychologue pour parler de vos problème sa vous fera du grand bien. Je vais vous donner le nom d'un de mes confrères. Vous verrez c'est le meilleur de Madrid. La moitié des stars espagnoles vont le voir
Cris :...
Silvia : tenez (se tourne) vous n'êtes toujours pas habiller
Cris :...
Silvia : arrêtez de me dévisager de la sorte (met vite un peignoir)
Cris :...
Silvia : si vous me dévisagez encore comme sa je vous promets que j'appelle la police
Cris :...
Silvia : bon vous l'aurez cherchez

Je la vois qui compose un numéro, je m'approche d'elle et je tombe à genoux devant elle. A cet instant je viens de réaliser que caitlin est vraiment morte et que j'allais abuser d'une jeune femme sans défense. Je commence à pleurer

Cris : aider moi je vous en supplie (pleure)
Silvia raccroche son téléphone et met une couverture pour couvrir Cristiano : mon confrère...
Cris ; non je veux que ça soit vous (pleure). Je suis tellement désolé de mettre comporter de cette horrible façon. J'ai besoin d'aide je vous en supplie (pleure)
Silvia : je vais vous aider (le prend dans ses bras), chut ne pleurais plus
Cris : je suis tellement désolé (pleure)
Silvia : ce n'est rien j'ai vu déjà pire pour mes patients. Maintenant habiller et vous, je vais vous ramener chez vous
Cris : non je ne veux pas retourner laba
Silvia : si j'ai compris cette maison appartenait à votre ex qui est décédé. Je ne pense pas que c'est une bonne idée de rester ici
Cris : je veux rester ici avec vous (pleure)
Silvia : mes patients ne dorme pas chez moi
Cris ; mais vous m'avez amené ici
Silvia ; oui parce que vous allez vous suicidez. Je vous ai fait une piqure que vous dormez. J'allais appeler monsieur Ramos pour qu'il vienne vous récupéré
Cris ; comment vous avez fait pour me porter jusqu'à chez vous (essuye ses larmes)
Silvia : j'ai des muscles (sourit). Il se fait tard je vais vous ramener chez vous
Cris : non s'il vous plaît je n'ai pas envie de rester laba nie voir Irina
Silvia : juste pour cette nuit après demain vous rentrez chez vous
Cris : c'est d'accord
Silvia : j'ai des vêtements d'homme dans mon placard si vous voulez vous mettre à l'aise. La chambre d'ami ce trouve à gauche
Cris : vous allez m'aider ?
Silvia ; oui je vous le promets
Cris : vous pouvez appeler mon ami Marcelo (lui donne son numéro), pour lui dire de ne pas s'inquiétez
Silvia : sa sera fait maintenant aller vous reposez
Cris ; je suis encore désolé de vous avoir agressé.
Silvia : c'est oublier
Cris : je vous promets que ça ne se reproduira plus

Je pars mettre un caleçon et dormir dans une chambre d'ami. Il est temps que je me reprenne en main. Je dois aller de l'avant et laisser le passé derrière moi. Sa sera dur mais je vais y arriver...

PDV de Marcelo :

Je repars en voiture avec clarisse, celle-ci faisait la tête. Mon dieux quelle horrible soirée. Si je n'avais pas les béquilles j'aurais achevé la mère de Leona. Je me demande ou est passé Cristiano. On arrive enfin chez moi. Clarisse part de la voiture sans m'attendre. Elle ne manque pas de culot celle-là. Je descends de la voiture et je pars dans ma maison m'assoir sur mon canapé.

Marcelo ; quel soirée de merde, tu sais clarisse ce qui m'a tuer c'est quand les petits son monter sur scène (éclate de rire). Es ce que tu peux me donner une bière...oh tète à claque...
Clarisse revient avec une valise : tu n'as qu'à te le chercher
Marcelo : tu fais quoi avec ta valise ?
Clarisse : ah tu vois que je fais ma valise (ironie)
Marcelo : je te pause juste une question pas besoin de le prendre mal
Clarisse : je m'en vais Marcelo
Marcelo : ok...
Clarisse : ah oue je te dis que je m'en vais et ta seule réponse est « ok » (s'énerve)
Marcelo : beh oui qu'es que tu as
Clarisse : non là c'est trop. Tu es vraiment aveugle ou tu le fais exprès (s'énerve)
Marcelo : arrête de crier j'ai mal à la tête
Clarisse : je n'en ai rien à faire que tu as mal à la tête...
Marcelo : explique-moi ce que tu as au lieu de crier. Si c'est ta un problème avec ton petit ami ce n'est pas de ma faute
Clarisse : je n'ai pas de petit ami (s'énerve)
Marcelo : mais tu m'as dit...
Clarisse : je t'ai mentit...
Marcelo : mais pourquoi ? (ne comprend pas)
Clarisse : réfléchit bien monsieur le frisé, tu ne vois pas que j'essaye de me faire remarquer pour que tu me regardes mais toi tu n'as rien à foutre
Marcelo : tu es sérieuse ? (éclate de rire)
Clarisse : tu es vraiment qu'un gamin, je te dis que tu me plais et toi tu te moque de moi. Bon là j'en ai assez que tu me prennes pour une débile. Comme on dit un de perdu 10 de retrouver. Reste bien enfermer dans ta bulle avec le sois disant fantôme de caitlin. Aller du balai petit imbécile. Comment j'ai pu tomber bien bas

Je la vois qui s'en va en claquant la porte. Elle se prend pour qui cette gamine. Oh purée que j'ai les nerfs. Qu'es que je m'en fou d'elle, elle croyait que j'allais la demander en mariage. Non mais j'hallucine, d'un côté son fait un peu plaisir à mon égo sachant qu'une jolie fille s'intéresser à moi. J'ai juste dit « jolie » n'allait pas imaginer autre chose. Bon vent, de toute façon je préfère rester seule. Je vais dans la cuisine boire une bière et je m'en vais à l'étage avec difficulté. Je pars me doucher et je vais me coucher. Au moment où j'allais dormir je vois caitlin assis à côté de moi

Marcelo : PUREE TU M'AS FAIT PEUR
Caitlin : sourit
Marcelo : caitlin même si je t'apprécie beaucoup, tu vas encore me hanter longtemps ? Non pas que ça me gêne mais les gens commence dire que je suis fou
Caitlin : sourit
Marcelo : ok bon ça n'avance pas. Je vais aller dormir j'espère que tu ne ronfle pas
Caitlin : merci
Marcelo : qu'es que tu viens de dire ? (choquer)
Caitlin : merci
Marcelo : mais de...je...
Caitlin : grâce à toi il va aller mieux...
Marcelo : mais qui ? Mon dieu tu es vivante ?
Caitlin : non je ne suis pas vivante
Marcelo : mais tu es quoi alors ?
Caitlin : aucune importance, je te remercie encore et prend soin de lui
Marcelo : mais je ne comprends pas
Caitlin : tu sais la vie est courte. Profite de chaque instant de ta vie avec les personnes que tu aimes et surtout la personne que tu n'aimes pas (petit clin d'œil)
Marcelo : hein...tu parles de clarisse
Caitlin : il est temps pour moi de partir
Marcelo ; mais partir ou ?...
Catilin : dans un monde que tu ne connais pas encore...
Marcelo : mais Cristiano sera ravie de te revoir
Caitlin ; sourit
Marcelo : mais je...

A cet instant j'entends un gros orage dehors, je me retourne caitlin avait disparu. Mon dieux je lui ai parlé il faut que je le dise à Cristiano. J'allais l'appeler quand je vois que j'ai reçu un message vocal d'un numéro que je ne connaissais pas. Je l'écoute

Tome 1 : Une nounou d'enferOù les histoires vivent. Découvrez maintenant