Chapitre 112 : UNE NUIT INFERNAL (partie 1)

868 50 3
                                    

PDV de Leona :

Je le vois en caleçon dans ma chambre. Qu'es qui fiche ici celui la

Léona ; tu ne m'as pas répondu. Qu'es que tu fiches ici ? (commence à s'énerve)
Sergio : je...
Leona : tu es venu m'espionner dans quelle tenue la grosse Leona dort pour te moquer de moi avec ta copine (s'énerve)
Sergio : Leona...
Leona ; non laisse-moi finir je ne suis pas grosse mais enceinte (se retient de pleurer). J'en ai marre que tu m'insultes chaque fois sur mon poids ou la façon comment je mange (commence à pleurer)
Sergio ; chut ne pleure pas (s'assoit a ses coté)
Léona : ne t'approche pas de moi (pleure)
Sergio :...
Léona : pourquoi on est arrivé la Sergio ? (pleure).
Sergio :...
Léona : pourquoi on ne peut pas être heureux et sans histoire comme tous les couple normal (pleure).
Sergio :..
Léona : je commence en avoir marre. Moi aussi je veux le bonheur et un homme qui m'aime comme je suis (pleure)

Je commence à éclate en sanglot. Je le vois qui s'approche de moi et qui veut essayer de me prendre dans ses bras mais je le pousse. Au bout de quelque minute je décide de me blottir dans ses bras en pleurant. Son parfum m'a tellement manqué

Sergio : je suis désolé de t'avoir fait du mal
Léona : tu es méchant (pleure)
Sergio ; je suis même une pourriture.
Léona :...
Sergio : je t'ai insulté sur ton poids parce que je sais que c'est ton point faible
Léona :...
Sergio : ça m'a fait beaucoup de mal que tu as essayé de me rendre fou
Leona : je t'ai dit que j'étais désolé (pleure). Je m'en veux terriblement. Si je pouvais remonter le temps je le ferais.
Sergio : je le sais (lui fait un bisou sur le front)
Leona : malgré tous le mal que tu me fais je t'aime toujours et sa devient effrayant. C'est comme si une femme battue reste avec son mari malgré qui la bat (pleure)
Sergio prend son visage entre ses mains : jamais je ne te frapperais
Leona : oui mais c'est comme si tu le faisais à chaque fois que tu m'insultes (pleure)
Sergio ; je suis désolé
Leona : tu devrais aller Kim doit surement t'attendre
Sergio : je ne sors pas avec Kim
Leona : arrête de mentir
Sergio : c'est la vérité. Je fais exprès de te rendre jalouse en l'embrassant devant toi mais ce n'est jamais allé loin
Leona : elle sort tous les matins de chez toi
Sergio : elle fait exprès pour que ça soit plus crédible
Leona : comment ose tu jouer avec ma santé
Sergio : Leona...
Leona : tu as oublié que je suis enceinte et que tout stresse n'ai pas bon pour les bébés (s'énerve)
Sergio : je suis désolé
Leona : là ce genre de chose ça ne passe pas (se levé)
Sergio :...
Leona : pendant plusieurs moi j'ai pleuré car je pensais que tu m'avais oublié...
Sergio : je ne t'ai jamais oublié tu es la seule que j'aime
Leona :...
Sergio : c'est la vérité. Crois-tu vraiment que je t'aurais présenté à mes parents si je ne t'aimais pas
Léona ; tu m'as dit...
Sergio : c'était sur le coup de la colère je pensais que tu sortais avec iker
Léona : je ne sors pas avec iker je te l'ai déjà dit
Sergio : je sais mais chaque fois que je fermais les yeux je repensais quand tu l'as embrassé
Léona : déjà ce n'est pas moi mais c'est lui qui m'a embrassé. Ensuite il me considère comme sa sœur
Sergio ; il a une drôle de façon de montrer que tu es sa sœur (ironie)

Il commence à me souler celui-là. Je m'avance et je pars regarder par la fenêtre quand je sens ses deux bras encercler ma taille. Il pose colle sa joue contre la mienne

Sergio : je veux être un bon père pour nos jumeaux (poses sa main sur son ventre)
Leona :...
Sergio ; je t'aime Leona
Leona : tu as une drôle façon de me le montrer
Sergio ; tu sais comment je suis
Leona : certes mais maintenant il faut que tu sois mature et romantique
Sergio : mature oui mais pour l'autre
Leona : lui pince la main
Sergio : aie je rigole (lui fait un bisou dans le cou)
Leona : pourquoi on ne peut pas parler sans se disputer
Sergio : c'est ça qui fait le charme de notre couple
Leona ; moi je n'aime pas quand on se dispute
Sergio touche sa poitrine : c'est ce qui m'est du piquant dans une relation
Leona : il y a des limites quand même et arrête de me toucher
Sergio : ils ont bien grossi depuis la dernière foi
Leona : il ne fallait pas me quitter si tu voulais voir le changement (se retourne ver lui)
Sergio : pardonne-moi Leona
Leona :...
Sergio : donne-moi une toute dernière chance
Leona :....
Sergio ; laisse-moi te montrer quel père et petit ami formidable que je ferais
Leona :...
Sergio : je suis rien a sans toi
Leona :...
Sergio ; je t'aime
Leona : je t'aime aussi
Sergio ; sourit
Leona : par contre que les choses soit claire on va reprendre notre relation petit par petit. Un seul faut pas je te jure que sa sera finit pour de bon
Sergio ; je te promets que tu ne le regretterais pas
Leona : il y a intérêt parce que sa sera la dernier que je me remets avec toi
Sergio ; es ce que je peux t'embrasser ou tu vas me frapper ? (petit sourire)
Leona ; le gifle
Sergio ; aie
Léona : sa c'est pour m'avoir fait croire que tu sortais avec Kim (lui remet une gifle)
Sergio ; aie ça fait mal (se touche la joue)
Léona : sa c'est pour m'avoir insulté de grosse (l'embrasse)
Sergio : je préfère mieux que tu m'embrasses que tu me frappes
Léona : tu la mérité Sergio que je te fais la tête au carré
Sergio : on peut jouer ou pas ? (se mord les lèvres)
Leona : sa par contre tu peux rêver
Sergio : mais on est ensemble maintenant
Leona : certes mais maintenant plus de sexe tant que tu n'auras pas changé
Sergio : tu rigole las
Leona ; je suis très sérieuse
Sergio ; Leona ça fait trois moi déjà...
Leona : utilise ta main droite pour te calmer si tu veux mais je ne coucherais que lorsque j'aurais décide
Sergio : souffle
Leona ; tu as raison de souffler parce que tu n'as rien encore vu
Sergio : par contre ne soit pas trop dur avec moi je suis fragile
Leona : éclate de rire
Sergio : juste cette nuit après tu fais ce que tu veux
Leona : j'ai dit non
Sergio ; s'il te plait Leona j'en ai trop envie (s'approche d'elle)
Leona ; euh.........non
Sergio : tu es sadique (part remettre son pantalon)
Leona : monsieur
Sergio : ce n'est qu'une partie remise mon cœur. Je vais t'attraper là où tu t'y attends le moins
Leona : oula j'ai peur (rire)
Pedro essaye d'ouvrir la porte ; léona ouvre la porte
Sergio ; ne l'ouvre pas tant que je ne suis pas partie
Léona part ouvrir ; qu'es qui se passe ?
Pedro : je t'ai entendu pleurer (regarde Sergio). Tu es encore la toi (ironie). Toujours en train de courir après mon bébé. Tu n'as pas marre de lui faire du mal
Sergio : on s'est remis ensemble
Pedro : tu rigole Leona ?
Léona :...
Pedro : ne vient pas pleurer si cet abruti te fait encore souffrir
Sergio : je ne suis pas un abruti (s'énerve)
Léona ; calmez vous

J'entends mon téléphone sonner je pars regarder c'est Anna

Anna : léona (en pleure)
Léona : tu t'ai encore disputé avec Pepe ?
Anna : non ce n'est pas ça (pleure)
Léona : qu'es qui se passe ? (inquiète)
Anna : Gonzalo a eu un accident avec Julio
Léona : quoi ? Ou ça ? Ils sont ou ?
Anna ; on est sur la route avec Pepe. Ils sont à l'hôpital. On est dans les embouteillages. Préviens les autres...
Léona : raccroche le téléphone
Sergio : il se passe quoi ?
Léona : verse des larmes
Sergio : léona
Léona : Gonzalo et Julio ont eu un accident
Pedro : oh mon dieu mon petit Julio (commence à pleurer)
Sergio : habiller vous je vous emmène...

PDV de Marcelo :

Je n'arrête plus de rigoler je sais que c'est dégelasse mais c'est plus fort que moi. Je ne m'attendais pas du tout à ça. Son père c'est un nain il a fallu que sa tombe sur moi. J'entendais Misha rigoler sa me faisait encore plus rire

Peter : qu'es qu'il y a de si amusant ? (lève un sourcil)
Clarisse : vient papa
Peter ; pourquoi ton petit ami il rigole ? Il se moque de moi
Marcelo et Misha : éclate de rire
Clarisse : Marcelo (lui lance un regard noir)
Marcelo redevient sérieux : excusez-moi, bonsoir
Peter : bonsoir, vous ne me faite pas la bise ?
Marcelo : euh...je dois me baisser
Misha : ah non j'en peu plus (rire)
Peter ; là c'est bon, clarisse je m'en vais
Clarisse : papa attend
Peter : non je n'attendrais pas. Ce type-là est comme les autres que tu m'as déjà présente
Marcelo : monsieur...
Peter : la ferme toi avant que je te la coupe (s'énerve)
Misha : oh le nain parle bien à mon frère (commence à s'énerver)
Marcelo : Misha reste en dehors de ça se passe entre lui et moi
Peter : venez les gars on à pas notre place ici. J'ai oublié que monsieur est footballeur et se croit tout permis (part)

Je le vois qui part avec ses copains. Je lui dis de rester mais il n'a pas voulu. J'allais ouvrir ma bouche quand je vois clarisse débouler sur moi

Marcelo : clarisse
Clarisse : LA FERME COMMENT OSE TU TE FOUTRE DE LA GEULE DE MON PERE. TU N'AS PAS HONTE
Marcelo : excuse-moi mais...
Clarisse : TU N'AI QU'UN PAUVRE GAMIN
Misha : tu vas loin quand même dans tes propos
Clarisse : NE TE MELE PAS DE SA TOI. TU ES ENCORE PLUS PIRE QUE LUI
Misha : c'est bon tu ne vas pas faire toute une histoire
Marcelo : Misha laisse nous je dois lui parler
Misha : ok (part dans sa chambre)
Clarisse : pas la peine je n'ai plus rien à te dire (s'énerve)
Marcelo : clarisse...
Clarisse : il n'y a plus de clarisse qui tienne. J'en ai ma claque de ton comportement enfantin. Tu as 25 ans bordel arrête de faire le gamin (s'énerve).
Marcelo : baisse d'un ton avec moi (s'énerve)
Clarisse : non je ne baisserais pas d'un ton. Tu t'ai moqué de mon père (s'énerve)
Marcelo : pourquoi tu ne m'as pas prévenu que c'était un nain. J'aurais réagis autrement déjà (s'énerve)
Clarisse : déjà on ne dit pas nain mais personne de petite ne taille. Ensuite je pensais que tu étais assez mure pour ne pas rire sur le physique des gens mais je me suis tromper (s'énerve)
Marcelo : je suis désolé c'était plus fort que moi
Clarisse : garde tes désolé (met sa veste)
Marcelo : tu vas ou ? On n'a pas fini de parler (s'énerve)
Clarisse : je ne veux plus te voir nie te parler...tu sais je vais te dire quelque chose espèce d'enfoiré
Marcelo : ne m'insulte pas (s'énerve)
Clarisse : tu mérites toutes les insultes que je m'apprête à te balancer (s'énerve)
Marcelo : mais va y je t'en prie fait toi plaisir (s'énerve)
Clarisse : ce soir tu m'as brisé. J'ai fait la démarche de te présenter ma famille en pensant que c'était bien pour notre relation mais je me suis tromper. Et encore je me demande si c'était bien une relation. Je me suis sorti occuper d'un gros enfant
Marcelo : je ne suis pas un enfant (s'énerve)
Clarisse : j'en ai rien à faire de toi (va pour partir)...ma plus belle erreur c'est de t'avoir dit je t'aime et de t'avoir croisé. Je mérite mieux qu'une espèce de petite éraflure comme toi. Tu n'es qu'un minable comme on dit 1 de perdu 10 de retrouver. Bon vent.

Tome 1 : Une nounou d'enferOù les histoires vivent. Découvrez maintenant