Tome 1 : Une nounou d'enfer

Chapitre 68 : UNE NOUNOU SEXY

PDV de Leona :

Junior dormait profondément à côté de moi. Je le porte et je le mets dans son lit. Je repars au salon regarder mon film quand je vois arrivé Cristiano avec des yeux rouges

Léona : Cristiano

Cris : comment peut-elle me faire sa

Léona : de quoi tu parles ? Ça ne sait mal passé avec lolita

Cris ce n'est pas de-elle que je parle en plus elle n'est pas venu. Je parle de Paola

Léona : elle a fait quoi ?

Cris : elle m'a envoyé un sms pour nous inviter à son mariage samedi comme sa elle nous présentera son fils

Léona : elle ne manque pas de culot cette peste

Cris : je pensais l'avoir oublié mais je me suis tromper. La douleur est encore très présente...

Léona : ne te rend pas malade pour ce genre de fille,

Cris : c'est l'une des filles que j'ai aimé

Léona : oh Cristiano

Je m'approche de lui et je le prends dans mes bras

Léona : tu sais quoi on lui redonner la monnaie de sa pièce a Paola

Cris : comment ça ?

Léona : on va aller à son mariage juste pour l'embêter je vais dire à mon beau père de venir

Cris : à mon avis Antonio va péter un câble (sourit)

Léona : c'est le but (rire)

Cris : je ne pense pas allé

Léona : à mon avis tu devrais aller comme sa tu tourneras une bonne fois pour toute la page

Cris : tu penses

Léona : oui...sinon lolita n'ai pas venu ?

Cris non, je l'ai attendu pendant une heure. J'ai croisé kaly prêt de la boite

Léona : elle faisait quoi laba ?

Cris : aucune idée je m'en fiche

Léona : tu devrais aller dormir

Cris : léona...

Léona : oui

Cris : merci

Léona : de rien...par hasard tu n'aurais pas vu Sergio ?

Cris : non

Léona : ok (déçu)

Il part en haut j'éteins la télé et je pars me coucher en enfilant le t-shirt préféré de Sergio

PDV de Sergio :

Le soleil c'est lever je me réveil petit par petit. Je pose mon bras à côté du lit en sentant la place qui été vide. Je me demande ce qu'elle doit faire léona en ce moment surement entrain de donner à manger à junior. Je me lève et part me doucher. Je pars en bas ma mère lisait tranquillement un magazine de mode

Paqui : coucou mon chéri sava (grand sourire)

Sergio : oui...léona a appelé ?