Chapitre 92 : AMOUR, MATCH ET FOLIE...

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  PDV de léona :

Une semaine est passé depuis que caine c'est dénoncer. Je ne suis pas allé à la danse nie au self-défense. Je me suis occupé de Sergio. Comme vous pouvez vous l'imaginez ça ne le gêne pas au contraire monsieur veux que je le dorlote. Junior est parti au Portugal chez Dolores. Cristiano ne veut voir personne chez lui et encore moi son propre fils. Dolores m'a proposé de m'occuper du petit mais j'ai refusé. Je sais que je ne suis pas encore prête à m'occuper d'un enfant surtout de junior. Je soupçonne mon père de me cacher quelque chose. Il vient tous les jours me voir et commence à être gentille avec Sergio. Ça m'étonne de lui. Pedro travaille désormais avec nuria. Anna à pardonner a Pepe mais j'ai remarqué qu'Enzo à changer de comportement vis à vis d'Anna. Hier soir Gonzalo est venu dormir à la maison car nuria n'arrêtai pas de pleurer avec Sergio on se retenait de ne pas rire tellement leur situation est amusante. Marcelo n'a toujours pas digéré le fait que caine se soit moqué de lui pour la petite fille et la pire clarisse vie temporairement chez lui le temps que Cristiano retrouve toute sa tête. Je la soupçonne d'avoir un faible pour lui. Elle m'a dit que Irina veut reconquérir Cristiano elle n'a pas perdu de temps la russe. J'ai pris récupérer toute mes affaire au grand désespoir de Marcelo. Il m'a l'air encore plus fou qu'avant. Je n'ai pas revu ma demi-sœur mais d'après ce que me dit Sergio elle sortirait avec Karim. Et je n'ai pas revu cette psychologue, tant mieux. On a décidé avec Sergio d'avoir un chien, on est dans un refuge pour en choisir un

Sergio : tu le trouve pas mignon ce labrador ?
Léona : il est très mignon mais on peut regarder encore (sourire)
Sergio : oui ma jolie (l'embrasse)
Léona : regarde ce petit chihuahua il a l'air tellement triste
Sergio : peut-être qu'il est triste mais je ne veux pas ressemble à paris Hilton avec ce genre de chien (rire)
Léona : sava encore tu n'as plus les cheveux longs (rire)
Sergio : très drôle (se touche les cheveux)
Léona : je te préfère avec cette coupe de cheveux tu es encore plus sexy (petit clin d'œil)
Sergio : ça veut dire que avant je l'étais déjà (met ses bras autour de sa taille)
Léona : oui tu avais ce petit air sauvage que je trouvais sexy mais la tu me fais fondre
Sergio : quelle belle déclaration il faut me dire souvent ses choses-là. Ça fait du bien pour le morale (sourit)
Léona : ne pousse pas le bouchon trop loin quand même (rire)
Sergio : c'est pour rire que je te dis ça. Toi par contre tu as beaucoup minci
Léona : pourquoi ça ne te plais pas ? (se retourne et lève un sourcil) je suis encore grosse
Sergio : ou es ce que tu vas chercher ce genre de chose. Tu es sublime, j'aime tes formes je peux au moins toucher des choses (lui touches les fesses)
Léona : tu es malade (lui enlève sa main). Ne fait pas ce genre de chose en public
Sergio oui je suis fou de toi. Je vais faire comme les chiens et marquer mon territoire (rire)
Léona : il n'y a que toi pour dire des choses insensé (rire). Au regarde comment il est beau ce chien
Sergio : tu rigole là j'espère
Léona : le pauvre il a dû avoir un accident
Sergio : il est surtout handicapé tu ne vois pas que ses pattes arrière et sur un mini fauteuil
Léona : c'est lui que je veux
Sergio : tu es sérieuse
Léona : oui, je m'occuperais de lui
Sergio : tu ne veux pas plutôt prendre le chihuahua ?
Léona : non je préfère lui...s'il te plaît
Sergio : je le prends juste parce que je t'aime
Vendeur en arrivant : vous avez choisi ? (grand sourire)
Sergio : oui ma femme veut celui la

Je lui fais un grand sourire. J'ai remarqué depuis un petit moment qu'il utilise le mot "femme" au lieu de "petite amie" ou "copine". Je dis sa je dis rien

Vendeur : très bon choix
Sergio : mais oui c'est cela (ironie)

Je porte ce petit chien et on repart tous les trois ensembles. Apres plusieurs minutes en voiture on arrive devant notre maison. On rentre tous les trois

Sergio : au faite, tu vas venir me voir jouer ce soir contre Manchester city ?
Léona : je ne crois pas être encore capable d'aller dans un stade
Sergio : je te comprends (la prend dans ses bras)
Léona : il faut que je te laisse
Sergio : tu dois aller où ? Je n'ai pas encore fini de te parler (sourit)
Léona : monsieur Ramos vous êtes un petit obsédé (rire)
Sergio : moi pas du tout (fais exprès d'être choquer) c'est plutôt la petite furie. Tu es devenu une vraie nymphomane (rire)
Léona : hey ne te moque pas de moi (le pince)
Sergio : mais non je rigole (croise ses doigt derrière son dos)
Léona : montre-moi tes doigts petits coquins (rire et l'embrasse)
Sergio : il faut que je te dise un secret (embrasse son cou)
Léona : Sergio arrête tu n'as pas le droit de faire ça le jour d'un match (rire)
Sergio : personne ne sera rien
Léona : tu vas être fatigué
Sergio : jamais au contraire sa me stimule (rire)
Léona : mais oui c'est cela. Plus sérieusement je dois aller voir nuria. Elle va me montrer sa collection et son projet
Sergio ! Ok, par contre ne te bas pas avec Irina (rire)
Léona : pourquoi tu veux que me bat avec elle ?
Sergio : entre mannequin on ne se fait pas de cadeau (rire)
Léona : je ne suis pas une mannequin
Sergio : au que si tu l'ai. Tu pourrais mettre au tapis toutes les anges de Victoria Secret et même Irina
Léona : quand même pas (sourit)
Sergio : tu vas l'appeler comment ce moitie chien
Léona : Sergio c'est un chien
Sergio : à moitié c'est la première fois que je vois un chien comme sa (rire)
Léona : très drôle, je vais l'appeler slappy comme le nom que j'avais donné à mon chien
Sergio : tu avais un chien tu ne m'a rien dit ? (surpris)
Léona : quand j'étais petite j'en avais un
Sergio : tu ne m'as pas dit que tu avais un chien
Léona : ce n'est qu'un chien Sergio
Sergio : certes mais moi je te dis tout. Tu connais ma vie de A à Z. Tu sais le prénom de mes cochons dindes que ma mère m'avait offert pour mes 8 ans, tu sais le prénom de ma première petite copine et même l'âge ou j'ai eu pour la première foi des relations sexuelles.
Léona : Sergio calme toi ce n'est qu'un prénom pour un chien
Sergio : certes mais j'aimerais que tu me parles plus de ta vie quand tu étais petite. Enfaite si je réfléchis je ne connais pas grand-chose de ton enfance
Léona ; il se fait tard je dois aller (change de discussion)
Sergio : tu as repris un rendez-vous avec la psychologue ?
Léona : non je ne vois pas l'utilité
Sergio : moi au contraire je pense que tu dois suivre quelque séance
Léona : pour le petit garçon on sait que c'était une blague
Sergio : je te parle pas de sa mais plutôt de ton passé. Tu devrais en discuté avec elle si tu n'aies pas prête à parler avec moi
Léona :...
Sergio : j'ai remarqué qu'à chaque fois que je te parle de ton enfance tu changes de discussion
Léona : mais non (ment)
Sergio : ça ne sert à rien de me mentir, promets-moi quand tu seras prête tu me le diras
Léona : ...je te le promets...
Sergio : vas-y tu vas être en retard. Par contre je veux que tu me fasses un gros câlin parce qu'on ne va pas se voir de toute la journée. Je vais revenir tard dans la soirée (sourit)

Je le prends dans mes bras et je l'embrasse tendrement. Il me porte et me plaque contre le mur

Sergio : je t'aime (embrasse son cou)
Léona : je t'aime aussi
José par la fenêtre ; moi aussi je t'aime Sergio, tu vas maintenant de décoller de ce mur et te dépêcher pour venir à l'entrainement au lieu de batifolé (énervé et part)
Léona : au purée la honte (toute rouge et remet sa robe en place). Tous sa c'est de ta faute
Sergio : j'ai le droit de faire ce que je veux chez moi, il se prend pour qui celui-là.
Léona :...
Sergio : Leona déstresse c'est bon (la prend dans ses bras). Par contre ma catalane vu que tu as choisi ce chien et que je ne serai pas là tu vas le prendre avec toi
Léona : elle va accepter nuria ?
Sergio : beh oui dit lui juste que Gonzalo nous a dit quelle ronfler pour quelle accepte et pleure

Il éclate de rire et il s'en va. Je remets mes cheveux en place. Je porte slapy et je me rends à la boutique de nuria. Arriver laba, il y avait beaucoup de client Anna et Pedro s'occuper d'eux

Pedro : mon dieux c'est à qui ce chien ?
Léona : il est à moi
Pedro : Sergio lui est tombé dessus (rire)
Léona : très drôle, je l'ai pris dans un refuge
Anna : il s'appelle comment ?
Léona : slappy
Pedro : comme le nom de ton chien que tu avais avant
Léona : oui (sourit)
Nuria en arrivant : Pedro et léona venait dans mon bureau...qu'es que ce chien fait ici ?
Léona : je ne sais pas où le mettre
Pedro : avec son mini fauteuil il fera de mal à personne (rire)
Julio : le caresse

On part dans son bureau elle met Julio dans un coin avec slappy. A ce moment la Irina arrive

Nuria : il était temps que tu arrives
Irina : désolé du retard ...
Nuria : tu peux garder tes désolé la réunion a commencé depuis 20 minutes
Irina : arrête de mentir nuria léona n'a même pas enlever sa veste
Nuria : tais-toi et assied toi. Si aujourd'hui je fais cette réunion car ce weekend il va avoir le défilé de ma nouvelle collection.
Irina : oue (contente)
Nuria : avec Pedro on a décidé que léona tu es la nouvelle égérie
Léona ; surpris
Irina : quoi c'est moi l'égérie (énerver)
Nuria : c'était avant que tu t'envoies en l'air avec Gonzalo. En plus on cherche une femme que le public peut s'identifier
Irina : peut-être que je ne le suis pas
Pedro : non tu ne l'ai pas tu es superficielle on cherche une beauté pure
Irina : sans me vanter je me trouve plus jolie que léona
Pedro : et moi sans me vanter tu ne vaux pas un orteil de mon bébé que ça soit physiquement ou intellectuellement (petit sourire)
Léona : je ne sais pas défile ou encore poser
Nuria : c'est comme le vélo je te montrerais
Irina : moi je ferais quoi
Pedro : tu arroseras les plantes
Irina : mais bien sûr, j'ai un contrat (s'énerve)
Nuria : tu poseras en lingerie vu que tu ne sais faire que ça. Tu ne défileras pas je n'aime pas ta démarche
Léona : je ne peux pas porter tous les vêtements
Nuria : ne t'inquiète pas, il y aura Sara, Anna, touria et Irina pour te seconder
Léona : ok (pas trop rassurer)
Nuria : chacune d'entre vous porteras, une tenue classe, une robe de soirée et une lingerie
Irina : ça veut dire que je porterais aussi une robe de soirée et une tenue classe
Nuria : oui malheureusement si sa tenais que a moi tu ne défilerais pas. Il faudrait que je réfléchisse à deux fois avant de signer un contrat
Léona : je...je ne peux pas porter des sous vêtement, je n'aime pas montrer mon corps
Irina ; je peux le faire moi
Nuria ; oue c'est ça. Léona tu es une belle femme et tu as un beau corps
Pedro ; tu porteras aussi la robe de mariée
Léona : quoi ? (surpris)
Irina : tu as créé une robe de mariée
Nuria : oui Irina je ne dors pas comme toi.
Léona : mais...je
Pedro : tu veux la voir ? (excité)
Irina : oui

On se lève et on part dans une autre pièce, elle nous montre les robes de soirées, les lingeries et la fameuse robe de mariée.

Irina : elle est sublime
Léona ; tu l'as très bien faite
Nuria : j'en suis fier (sourit)
Irina : tu n'as pas créé une autre robe de mariée ?
Nuria : non il n'y a que celle-ci pour l'instant.
Irina : dommage (déçu)
Nuria : si tu veux tant une robe de mariée il y a les accessoire laba
Irina ; très drôle ce n'est que des bout de tissus
Nuria : maintenant assez discuté on va passer à l'essayage
Pedro : léona il faut que je te parle
Léona : tu veux me dire quoi ?
Pedro : tu sais que Roberto et moi on t'aime de tous mon cœur
Léona : oui...
Pedro : ne l'oublie pas (la prend dans ses bras)

C'est la première fois que je vois Pedro comme sa et émut. Je me demande ce qu'il me cache...

PDV de clarisse :

Je vis depuis une semaine avec Marcelo j'essaye de lui plaire mais celui-ci ne voit rien. Il me reproche toujours ce que caine a fait. Aujourd'hui il va retourner sur les terrains sa blessure et guérit. Je l'entendais ce doucher je décide d'aller dans la salle de bain. Marcelo chantais

Marcelo: oh nana what's my name...
Clarisse : coucou Marcelo
Marcelo : sort de cette salle de bain
Clarisse : je suis en retard
Marcelo met une serviette : ici ce n'est pas la foire à la saucisse, tu ne rentres pas comme sa quand je suis dans la salle de bain
Clarisse : excuse-moi
Marcelo : tu peux garder tes excuse tu es comme ton frère
Clarisse : ce n'est pas de ma faute
Marcelo : mais bien sûr à mon avis tu as été dans le coup. Ça te fait marrer de faire peur aux gens franchement tu es pathétique tu m'étonnes que personne ne veut de toi
Clarisse : vexer
Marcelo : tu peux rester dans la salle de bain je vais aller. J'allais oublier je t'interdis de venir me voir jouer ce soir au match

Il s'en va sans se retourner je décide de le suivre dans sa chambre

Marcelo : clarisse je dois m'habiller
Clarisse : pas avant que je t'ai parlé
Marcelo : tu veux me dire quoi je te donne deux minutes
Clarisse : je m'excuse encore de ce que mon imbécile de frère a fait mais ce n'est pas de ma faute crois moi
Marcelo :...
Clarisse : je voulais te dire aussi que...que...
Marcelo ; que quoi ?
Clarisse : je...j'ai...enfaite je...
Marcelo : je n'ai pas le temps pour les devinettes, tu peux me laisser m'habiller
Clarisse : oui (déçu)

Je m'en vais de sa chambre. Celui-ci arrive peu après j'ai préparé le petit déjeuner

Clarisse ; vient déjeuner
Marcelo : je n'ai pas le temps
Clarisse : tu m'as l'air stressé
Marcelo ; c'est le match de ce soir
Clarisse : on dirait c'est quelque chose d'autre qui te tracasse
Marcelo : enfaite. Non oublie
Clarisse : parle-moi (pause la main sur la sienne)
Marcelo : ok mais tu vas me prendre pour un fou
Clarisse : je suis folle tu l'as oublié (rire)
Marcelo ; voilà depuis mon weekend à la ferme
Clarisse : oui
Marcelo : je n'arrête pas de voir...
Pepe en arrivant : tu te dépêche Marcelo on va être en retard
Marcelo retire sa main : j'arrive

Celui-ci part sans ce retourné. J'aurais aimé qu'il me parle mais cet abruti de Pepe qui se croit chez lui nous a gâchés notre moment. Je ne perds pas espoir, j'ai une idée...

PDV de Sergio :

J'arrive à l'entrainement. Il y avait toute l'équipe à part Cristiano et Gonzalo

José : il était temps que tu arrives
Pepe : tu faisais quoi ? (rire)
Sergio : il y a eu les embouteillages
José : mais bien sûr, va t'étirer avant que je m'énerve
Karim : pourquoi vous vous énervez il était dans les embouteillages
José : si tu veux tous savoir Karim, j'ai pris en flagrant délit ton ami Sergio dans une position pas du tout chrétienne
Sergio : je n'ai rien fait de mal
José : ah bon, si je serais arrivé 5 minutes plus tard, je t'aurais retrouvé le pantalon baissé et la jupe de léona remonter (énerver)
Tous : OHOHOH (éclate de rire)
Sergio : j'ai le droit de faire ce que je veux chez moi (rire)
José : ça ne me fait pas rire Sergio, si j'apprends que l'un d'entre vous s'envoie en l'air que ça soit la veille où le jour d'un match je vous promets que vous passerez le reste de la saison sur le banc
Karim : on ne s'appelle pas tous Sergio (rire)
José : il me semble que l'année dernière ta copine Chelsea soit venu te voir en petite tenu dans les vestiaires
Iker : je m'en souviens (rire)
Marcelo : mon lapin (rire)
Pepe : on dirait que sa faite une éternité (rire)
José : mais regarder qui arrive
Gonzalo : je suis désolé coach du retard (essoufflé)
José : depuis une semaine tu viens en retard (énerver)
Gonzalo : ce n'est pas de ma faute
José : c'est la mienne peut être (énervé)
Sergio : tu as de ses cernes Gonzalo, c'est nuria qui ne te laisse pas dormir (rire)
Gonzalo : es ce que y'aurait une personne qui peut me donner une corde pour que je me pends.
Karim : à ce point (rire)
Gonzalo : je commence en avoir marre, elle me laisse plus dormir. Elle pleure tous le temps le pire c'est que Julio commence à faire pareille. Je sens que je ne vais pas tenir
Tous : le pauvre (éclate de rire)
Gonzalo : ce n'est pas amusant, vous serez à ma place vous l'aurez déjà tué
Iker : les hormones (rire)
José : éclate de rire
Gonzalo : qu'es qui vous fait rire coach mon malheur vous fait autant plaisir que ça
José : je vais te raconter une histoire avant qu'on commence l'entrainement. Ma femme quand elle était enceinte de José jr elle n'arrêtait pas de pleurer. Au bout d'un moment j'ai cru que j'allais la tuer. J'étais toujours à ces cotés et auprès de ma petite fille. Par la suite lorsqu'elle a accouché tu sais ce qu'elle m'a dit
Gonzalo : non
José : quelle voulais s'excuser car lorsqu'elle était enceinte elle faisait exprès de beaucoup pleurer pour que je m'occupe d'elle. Le football me prend tous mon énergie quand je rentre chez moi je n'ai plus la capacité de m'occuper de ma femme
Gonzalo : vous êtes en train de me dire que nuria fait exprès de pleurer ? (lève un sourcil)
Marcelo : en gros vomito te roule dans la farine (éclate de rire)
Gonzalo : je m'occupe d'elle. Elle croit quoi celle la
Iker : es ce que tu te rends compte de la façon dont tu lui parle (rire)
Pepe : je me demande comment elle fait pour te supporter (rire)
Marcelo : c'est plutôt pour Leona que je me pose cette question (rire). Sergio je t'aurais déjà jeté au requin (rire)
Sergio : je suis gentille moi (croise les bras)
Marcelo : tu rigoles j'espère (rire)
Iker : il faut avouer que tu t'as calmé, tu te rappel au début comment tu l'insulter. Je ne sais pas comment elle a fait pour tenir
Karim : je lui tire mon chapeau (rire)
Sergio : très amusant
Gonzalo : revenons à mon problème, ce soir elle va m'entendre nuria
Marcelo : ne te dispute pas avec elle sinon elle va vomir (rire)
Gonzalo : Julio prend exemple sur elle et ce n'est pas bien
José : aller la tortue arrive enfin (ironie)
Cris : excusez-moi du retard
José : j'en ai ma claque de vos excuses. Je vais pas passer par quatre chemin avec toi Cristiano je ne sais pas ce que tu as en ce moment mais tu as intérêt de vite te relever (énerver)
Cris:...
José : tu as entendu
Cris : oui
José : ce soir on a un match de ligue des champions, vous avez intérêt de marquer des buts. A cause de certain on a perdu des points contre Barcelone
Sergio : pourquoi vous nous regarder ?
José : parce que c'est à cause de votre petit groupe
Sergio ; n'importe quoi
José : Sergio je trouve que tu es souvent contre mes ordre tu vas vite te calmer. Marcelo fait attention ce soir tu vas jouer ne te blesse pas
Marcelo : je vais faire attention...oh non ce n'est pas vrai
Pepe : il t'arrive quoi
Karim ; je vois que Marcelo tu as une admiratrice (rire)
Sergio : il ne me semblait pas qu'au football on avait droit au pompon girl (rire)

On voie clarisse arriver avec le maillot de Marcelo et tenant dans ses mains deux pompons

Clarisse : ALLER MARCELO LE PLUS FORT OUE OUE
Tous : éclate de rire
Marcelo : j'espère que ce soir il y aura la sécurité, au purée non (regarde les photographes)
Gonzalo : eh beh si (rire)
Sergio : prépare-toi à ce que la presse te fasse chier (rire)
Clarisse : TOUS AVEC MARCELO
Sergio : aller Marcelo (danse)
Karim: hey, hey, hey (danse)
Gonzalo et Pepe : tape des mains (rire)
Marcelo : vos gueules
José : clarisse on n'est pas dans un cirque sort de ce terrain
Clarisse : ah je (rougis)
Pepe : que c'est mignon elle rougit (rire)
Marcelo : très drôle

On voie la sécurité venir la chercher, elle commence à courir et eux lui court après. On éclate de rire. La journée commence bien...

PDV de nuria :

Je commence à être épuiser de la journée. Irina n'arrêtais pas de faire sa diva et léona avait honte de porter la lingerie

Léona : vous êtes sur que ce n'est pas trop oser
Pedro : tu es parfaite
Irina : mais oui (ironie)
Nuria : tu es jalouse Irina
Irina ; alors la-il pas du tout (ment)
Nuria : ton nez vient de s'allonger (se fou d'elle)
Pedro : il parait que tu veux jouer de nouveau à greys anatomi avec cristiano
Léona ; je pensais que tu aimas Karim
Irina ; il me semble qui profite bien de sa vie avec ta demi sœur
Pedro : alya et toi vous êtes pareil
Irina ; me compare pas à elle

Alors qu'elle se chamailler, je regarde une revu de mariage. Chacun a ses rêves, le mien c'est que je me marie à Gonzalo. J'ai créé cette robe en pensant à mon propre mariage

Pedro : nuria tu m'entends
Nuria : oui (referme le magazine)
Clarisse en arrivant : coucou
Nuria : qu'es que tu fais ici clarisse tu n'as pas le droit de rentrer
Clarisse ; c'est bon la...mon dieux comment elle est belle la robe de mariée
Irina ; arrête de crier, tu m'énerves
Nuria : clarisse tu fais quelque chose le weekend prochain ?
Clarisse : non je n'ai rien de prévu pourquoi ?
Nuria ; es ce que tu peux me rendre un service
Clarisse ; tous ce que tu voudras
Nuria : tu pourrais défiler pour moi
Clarisse ; tu es sérieuse
Irina : c'est une blague
Nuria ; alors ?
Clarisse : oh que oui (contente)
Nuria ; je voulais défiler mais je n'avais pas pensé qu'un client important va venir es ce que tu pourrais prendre ma place
Clarisse ; avec grand plaisir (sourit)
Irina ; ah non
Clarisse : ne soit pas jalouse (petit sourire)
Irina ; pff
Léona : je ne peux pas porter cette robe de mariée
Nuria ; mais si tu peux pour être prête je vais te donner un modèle que j'ai acheté dans un magazine pas chère. Tu l'essayeras chez toi pour être à l'aise
Léona ; et si Sergio me voyait comme ça il va me prendre pour une folle
Clarisse : tu t'en fiche, tu en a une autre nuria
Nuria : euh oui pourquoi ?
Clarisse ; je peux te l'emprunter je la rendrais (pense à Marcelo)
Nuria ; ok, tenez toute les deux par contre vous me les ramenez cette semaine
Irina ; pourquoi tu as ses robes ?
Nuria ; ça ne te regarde pas...

PDV de Cristiano :

La nuit tombe vite à Madrid. Alors que mes coéquipiers attendais dans le couloir notre entré sur le terrain moi j'avais la tête ailleurs. Je ne pense qu'à caitlin. Irina à tenter plusieurs foi de m'embrasser mais je la repousser à chaque fois. Je n'ai pas la force de m'occuper de junior nie l'envie de jouer ce match contre Manchester city

Iker : Cristiano tu m'as entendu
Cris : oui
Mario en arrivant : mais regarder qui est là les fillettes de Madrid (se fou d'eux)
Gonzalo : ne nous cherche pas trop Mario
Mario : au faite Gonzalo ma copine rafaella aimerait savoir si ta copine recrute des mannequins
Gonzalo : tu t'ai cru ce n'est pas le moment de parle de sa
Mario : elle n'est pas venue ta bombe Sergio ?
Sergio : non elle est fatiguée
Mario : c'est normal je suis partie la voir
Sergio : commence pas (s'énerve)
Karim : reste dans ta file balloteli et lâche nous
Mario : tu sais prononcer mon nom de famille (se fou de lui)
Tevez : Cristiano tu m'as pas l'air dans ton assiette (se fou de lui)
Pepe : laisse le tranquille (s'énerve)
Nasri : que c'est touchant il le protège (se fou de lui)
Sergio : fermez-la un peu
Nasri : mais enfaite Sergio ta copine est un transsexuelle ou pas ?
Sergio :...
Iker : Sergio ne rentre pas dans sa provocation
Nasri : san iker toi il faudrais t'inventer (ironie)
Marcelo : ferme là un peu avant que je m'énerve pour de bon
Nasri : j'espère que tu ne te blesseras pas ce soir de nouveau sinon je pense que ta saison sera fichu vu qu'il me semble tu reviens à peine de blessure (ironie)
Marcelo : c'est une menace ? (s'énerve)
Nasri : c'est toi qui le dit (se fou de lui)

On nous fait signe de rentrer sur le terrain. J'avance sur la pelouse mon corps est ici mais mon âmes est ailleurs. La musique de la ligue des champions retentit. L'arbitre siffle et le match commence. La première mi-temps passe mais aucune des deux équipes ne marque. La deuxième mi-temps reprend, City marque un but à la 68 eme minute quand Marcelo égalise. Je n'ai pas compris ce qui s'est passé en marquant le but il a été choqué de voir une personne dans les tribunes à regarder ces yeux qui sort de leur orbite à mon avis il doit s'agir de clarisse. Samir Nasri on a profité pour lui faire un tacle dangereux il est à terre. Il sort du terrain, Karim le remplace. A la 85 minute, city marque de nouveau. Je voyais Sergio s'énerver contre moi

Sergio : mais regarde Cristiano (s'énerve)
Mesut : tu n'es pas dans ton match

A la 87eme minute Karim marque un but on se retrouve à égalité. A cet instant je m'arrête de courir, je vois certain supporter et mes coéquipier qui ne comprenne pas. Je me mets à genoux

José : CRISTIANO COURS

Des souvenirs de caitlin me reviennent en mémoire.

Tome 1 : Une nounou d'enferOù les histoires vivent. Découvrez maintenant