Chapitre 93 : LE DEFILE (partie 1)

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  PDV de léona :

Je n'arrive même plus à parler tellement j'ai honte dans cet accoutrement ridicule

Paqui : vous comptez nous laisser sur le palier
Léona : euh...non...je...entrer
René : merci (sourit)
Paqui : René n'oublie pas la valise

En entendant ce mot je savais très bien que ça aller recommencer et quel aller vivre ici. Je ferme la porte et je l'es suit dans le salon. Clarisse rouge comme une pivoine leur fait un sourire

Clarisse : bonsoir je m'appelle clarisse romaloti je suis la nounou de junior (leur sert la main)
René : moi je suis René le frère de Sergio et voici ma mère paqui
Clarisse : bonsoir (lui tend sa main)
Paqui : c'est la soirée des mariés (ironie)
Clarisse : pas du tout madame (rire). Enfaite nous nous entrainons a porté une robe de mariée car on va bientôt faire un défilé
Paqui : voyez-vous ça (pas convaincu)
Léona : oui...euh...je...
Paqui : il vous arrive quoi léona à bégayer
Léona : je ne bégaye pas (baisse la tête)
Clarisse : bon moi je vais aller il se fait tard (regarde son poignet)
Paqui : vous n'avez pas de montre à votre poignet pour savoir l'heure qui l'est
Clarisse : j'ai le sens des horloges

Mon dieu qu'es quelle raconte. Je voyais le frère de Sergio nous dévisager, il se retenait de ne pas éclater de rire.

Léona : je vais te raccompagner clarisse
Paqui : vous comptez repartir comme ça ? (la prend pour une folle)
Clarisse : oui, comme sa j'illuminerais Madrid
René : éclate de rire
Léona : aller vient clarisse
Clarisse dans son oreille : bon chance avec la mère dragon (part)
Léona : je vais me changer et je reviens
Paqui : vous êtes retourné avec mon fils ?
Léona : oui
Paqui : après tous ce qui s'est passé vous êtes revenu
Léona : je l'aime
Paqui : mais oui (ironie), je me demande ce que vous avez de plus que Pilar qui est une femme magnifique est très connu dans mon pays comparé à vous
Léona : j'ai un cerveau comparé à elle
René : rire
Paqui : je vois que vous n'avez toujours pas changer de comportement. Vous êtes toujours agressif quand vous parlez. Vous vous croyez encore une adolescente en pleine crise de rébellion
Léona : je ne vous ais pas manquer de respect
Paqui : dont la façon dont vous me parlez sa se voit que vous ne m'aimez pas. Sachez quelque chose la nounou d'enfer je vais m'installer pendant quelque temps avec vous et je vous aurez bien à l'œil...mais attendez une seconde vous avez beaucoup minci.
René : maman c'est bon arrête (regarde léona de haute en bas et se mord les lèvres)
Paqui : j'ai raison avant c'était un thon je me demande quelle pilule d'amaigrissement vous avez pris pour perdre autant de poids. Tu l'aurais vu avant René tu ne la regarderais pas comme tu le fait maintenant. Elle était d'une laideur incroyable, quand on restera que entre nous tu me diras le chirurgien qui ta fait changer de visage
Léona : se retient de pleurer
René : arrête c'est bon
Paqui : il lui est arrivé quoi a ce pauvre chien ? (change de discussion et regarde slappy)
Léona : aucune idée (se retient de pleurer)
Paqui : Sergio ne m'a pas dit qu'il avait un chien
Léona : on la acheter aujourd'hui
Paqui : avec les sous de Sergio (ironie)
Léona : bon je reviens aller vous servir au frigo si vous avez envie de boire quelque chose
Paqui : ce n'est pas plutôt ton travail

Je pars vite en courant à l'étage m'enfermer dans ma chambre. Ne rentre pas dans son jeux, je commence à pleurer, je ne suis pas grosse et moche. Je n'ai pas envie que ça recommence et quelle veut me séparer de mon Sergio

PDV de Sergio :

J'arrive enfin chez moi complètement épuisé. Je vois que la lumière du salon est toujours allumée, léona doit surement m'attendre

Sergio en arrivant : chérie, je suis épuiser j'aurai besoin que tu me fasses un bon massa...maman, René vous faite quoi ici ? (surpris)
Paqui : bonsoir à toi aussi mon fils
Sergio : désolé mais sa ma surprise de vous voir là. Pourquoi vous ne m'avez pas appelé, j'aurais dit à léona, elle serait venue vous chercher
Paqui : en parlant de la mariée (ironie) elle n'est toujours pas descendue. Tu ne m'as pas dit que tu étais ressorti avec elle
Sergio ; je l'ai dit que à papa, René et Myriam
Paqui : en gros toute la famille à part moi (vexer)
Sergio : je sais très bien que tu ne l'aimes pas c'est pour ça que je t'ai rien dit. Et pourquoi tu as dit en parlant de la mariée ? (ne comprend pas)
Paqui : figure toi que ta chère et tendre nous a accueilli avec une fille aussi folle que elle en robe de mariée.
René : alors petit frère tu nous dis pas que tu vas te mariée avec ce petit trésor catalan ? (sourire)
Sergio : il vous manque une case je ne vais pas me mariée avec elle
Paqui : il semblerait que la nounou pense le contraire
Sergio : je reviens

Je pars en haut chercher léona, je l'entendais sangloter et parler toute seule, elle disait "je ne suis pas grosse et moche Sergio m'aime comme je suis". J'ouvre la porte de la chambre je la vois en boule dans le lit une robe de marié poser sur la chaise. Je pars m'allonger à ses coté et je la prends dans mes bras

Sergio : léona ma jolie pourquoi tu pleures ?
Léona : pleure
Sergio : parle-moi
Léona : elle a dit que j'étais moche et que j'ai fait de la chirurgie esthétique (bégaye et pleure)
Sergio ; qui ta dit sa (prend son visage entre ses mains)
Léona : ta mère (pleure). Je ne veux pas que ça recommence et quelle veut que tu me quitte pour aurélie ou Pilar (pleure)
Sergio : je ne te quitterais jamais je te le promets. Viens on va descendre je vais avoir une discussion avec ma mère
Léona : je n'ai pas envie de la voir (pleure)
Sergio : ne t'inquiète pas je suis la

Elle essuye ses larmes et en descend en bas tous les deux. Je voyais ma mère qui était extasié devant la télé. Il parlait du prochain défilé que nuria va organiser pour sa nouvelle collection

Paqui : mon dieux qu'es que j'aimerais assister à son défilé. La mère d'iker m'a dit que cette fille crée des vêtements pour tous les âges...
Rêne : c'est la copine de Gonzalo...
Paqui je vais demander à Sergio s'il peut m'emmener
Sergio : maman il faut qu'on parle
Paqui : après Sergio laisse-moi regarder cette interview
Sergio ; non maintenant (éteint la télé)
Paqui : tu as quoi ?...ah vous êtes enfin descendu
Sergio : écoute moi bien je ne vais pas passer par quatre chemin avec toi. Ne t'avise plus d'insulter ma femme que ça soit sur son poids ou son physique sinon je te promets que je coupe les ponts avec toi.
Paqui :...
Sergio : je pensais que ce qui lui est arrivé ta fait changer son opinion sur elle. Je te préviens qu'à la moindre remarque tu dégage de chez moi. Tu m'as bien compris
Paqui : oui
Sergio : maintenant je veux que tu lui présente des excuses
Paqui : tu n'aies pas sérieux ?
Sergio : es ce que j'ai l'air de rire. Présente des excuses à ma femme
Paqui : je te signale que ce n'est pas ta femme
Sergio : pour moi si, alors ou présente tes excuses ou tu pars
Paqui :...
Sergio : maman
Paqui : je m'excuse Leona
Léona : j'accepte vos excuses

Je la sers dans mes bras pour la réconforter, je sentais le regard de ma mère sur moi. Maintenant, je ne laisserais plus personnes s'immiscer entre elle est moi. Je remets la télé

Sergio : regarde chérie vomito est devenu une vraie femme d'affaire. Après elle fait la pleurnicheuse
Paqui : mais du son Sergio (croise les bas)
Journaliste : qui va défiler pour vous ?
Nuria : les deux journalistes Sara carbonero et touria adam, deux amis Anna Smith et clarisse romalotti et pour finir comme vous vous en doutez Irina shayk. Et aussi léona scavo
Journaliste : léona scavo, la petite amie de Sergio Ramos ?
Nuria : oui celle-ci il y en a qu'une. Elle est la nouvelle égérie de ma marque
Journaliste : ce n'est plus Irina shayk ?
Nuria : je voulais une femme que toute les adolescentes s'identifie. Léona est une beauté pure que ça soit intérieurement que à l'extérieure. Je la côtoie tous les jours et je la considère comme ma sœur même c'est une femme dont je prends exemple. Elle a vécu un grand traumatisme durant l'euro elle remonte petit par petit la pente
Journaliste : un dernier mot d'après des sources vous attendez un deuxième enfant du joueur du real Madrid Gonzalo higuain
Nuria ; c'est exacte (pose sa main sur son ventre)
Journaliste toute mes félicitation
Nuria : merci
Journaliste : c'était Juan Alvarez en direct de Madrid
Paqui : vous allez défiler léona ? (lève un sourcil)
Léona : oui...je n'aurais jamais pensé que nuria penser sa de moi
Sergio : tu es une femme remarquable ne doute pas de sa
René : mais oui léona tu es magnifique (regarde ses fesses)
Sergio : tu veux que je t'aide (regard noir) va plutôt faire la chambre pour maman avant que je m'énerve
René : déstresse petit frère (clin d'œil)

Je sers léona plus fortement contre moi. Je le vois venir celui-là...

PDV de Marcelo :

Je suis dans mon salon avec une bière dans la main. Je suis encore sous le choc de ce qui vient de se passer. Mon dieu je commence à perdre la boule. Je regarde sur le canapé en face d moi et je vois caitlin qui me regardait

Marcelo : bon caitlin est ce que je deviens fou, tu n'es pas réel
Caitlin : sourit
Marcelo ; ça commence à me souler dégage je ne veux pas te voir sors de chez moi (s'énerve). J'en ai marre va hanter une autre personne (s'énerve)
Caitlin : sourit
Marcelo : DEGAGE (jette la télécommande sur elle)
Clarisse en arrivant : qu'es qui fait froid

Je me retourne caitlin n'étais plus là. Je regarde clarisse qui était vêtu en robe de mariée. Elle est complétement givré

Marcelo : j'ai trop bu d'alcool ou tu es en robe de mariée (frotte ses yeux)
Clarisse : je suis bien en robe de mariée... mais tu t'ai encore blessé (inquiète)
Marcelo : oui comme d'habitude mais qu'es que tu fou en robe de mariée. Tu es encore plus folle que je ne le pensais. Tu sais quoi ne me répond pas parce que je sens déjà l'embrouille sur sa (se lève)
Clarisse : tu veux que je t'aide ?
Marcelo ; non merci la meringue (se fou d'elle), je me demande s'il te manque pas une case
Clarisse : vexé

Je monte à l'étage difficilement. Ce petit crétin de nasri ne m'a pas raté. Je pars me doucher et je vais dans ma chambre. Je m'allonge sur le lit, j'allais éteindre ma lampe de chambre quand je vois la carte de visite de "Silvia Cruz, la psychologue". Cette carte commence à me souler. Je la déchire en mille morceaux et je m'en dors. La semaine passe très vite et j'ai eu que des histoires en étant blesser. Tout d'abord cette Silvia Cruz a mis ses menaces à exécution. Florentino m'a convoquer je me suis jamais senti honteux. Il a dit que j'étais un gamin qui n'a pas d'éducation. J'ai rien demandé à personne voilà ce que je récolte. Ensuite, clarisse à changer de comportement elle s'habille différemment à mon avis elle a trouvé un type aussi taré qu'elle. Je plains ce type. Elle m'a soulé avec ce défiler, elle veut absolument que je vienne la voir pour que je la filme avec sa vidéo. Le barjot veut envoyer la vidéo à sa famille. Et pour terminer, le fantôme de caitlin est dans ma maison elle s'assoit à côté de moi tous les jours. Je vois des cartes de visite de "Silvia Cruz, la psychologue" dans toute ma maison. Cette bombe m'aura fait chier jusqu'a la nuit des temps. Je suis dans la salle de bain en train de me brosser les dents, au moment de me les laver, je vois dans l'évier la carte de visite de Silvia. Je fini de me rincer les dents. J'allais partir quand je vois caitlin prêt de la porte

Marcelo ; il faut que tu me parles caitlin
Caitlin ; sourit
Marcelo : arrête de sourire je vais m'énerver
Caitlin : par en courant
Marcelo ; attend moi

Je descends avec les béquilles, je vois que celle-ci s'installe a cote du siège passager. J'allais refermer la porte quand elle se met devant moi et me tend la main

Marcelo : ok j'ai compris tu veux que je te suis
Caitlin : sourit

Je monte dans ma voiture et on part tous les deux. Pendant le trajet je lui parle mais elle ne me répond pas. Quand je me suis arrête a un feu rouge la voiture d'a côté ma pris pour un fou. Peut-être que je le suis mais j'ai l'impression que je suis le seul à la voir mais je ne sais pas pourquoi. Je me tourne du coté passager caitlin n'était plus. Je me retrouve dans une petite maison. Caitlin était près de la porte. Je descends de la voiture et je me dirige vers la maison, la porte était ouverte. Je décide de rentrer, j'avance et je me retrouve dans le salon .Je me tourne une femme hurle elle était en sous-vêtements.Je regarde qui est cette personne non ce n'est pas possible

Tome 1 : Une nounou d'enferOù les histoires vivent. Découvrez maintenant