Chapitre 100 : UNE NUIT DE TOUS LES TENSIONS (partie 2)

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  PDV de léona :

Je vois Pilar et Miriam qui rigole sur moi. Je pars vite me laver les mains

Miriam : porcinet on t'attend dans le salon. Papa vient (rire et part)
Pilar : pouf de rire et part

Tous les trois part au salon. Je me retiens de ne pas pleurer. Je prends mon courage à deux mains et je vais au salon. Je vois Miriam dire quelque chose dans l'oreille de Vanina celle-ci me regarde et éclate de rire

Sergio : il vous arrive quoi à rigoler toutes les trois ?
José : tu ne dis pas bonjour à ton vieux père ?
Sergio se lève : excuse-moi papa je ne t'avais pas vu. (lui fait la bise)
José : oui oui (ironie)
Roberto ; bonsoir je suis le père de léona. Roberto
José : bonsoir (lui sert la main)
Roberto : je suis heureux de vous rencontrer. Vous avez vu ma fille Leona ?
José : déjà vous pouvez me tutoyer ensuite oui je l'ai vu. Elle est où ta mère Sergio ?
Paqui en arrivant : je suis là. Pedro je te présente mon mari
Pedro : bonsoir paqui m'a parlé beaucoup de vous
José : oui oui (lui sert la main). On va manger
Paqui : oui, il n'est pas là ton mari et ta fille Miriam ?
Miriam : non ils ont préféré aller au cinéma
Sergio : c'est gentille de leur part (ironie)
Miriam : oh mais c'est bon.
Paqui : allé venez manger

Ils partent tous dans le salon. Moi je ne bouge pas. Je sens que son père ne m'aime pas. Je vois Sergio venir vers moi

Sergio : ma chérie tu viens
Léona : euh oui

Il me donne la main et on part dans le salon s'assoir. Je me mets à coté de Sergio

Paqui : bon appétit
Tous : merci
Miriam : tu as toujours faim Leona (petit rire)
Léona :...
Sergio : qu'es que tu as à rigoler depuis toute à l'heure
Miriam : figure-toi quand à trouver la tête de léona dans la marmite (rire)
Pilar et Vanina : éclate de rire
Sergio : qu'es que tu rigoles Pilar et en plus qu'es que tu fou chez moi ? (s'énerve)
Miriam : je l'ai invité
Sergio : pff, léona laisse le
Miriam : la prochaine fois utilise des fourchettes
Sergio ; la ferme Miriam (s'énerve)
Miriam : quoi j'ai raison ce n'est pas de ma faute si elle n'a aucune éducation
Pedro : pour qui tu te prends petite pétassé pour insulter ma fille (s'énerve)
José : tu parles autrement à ma fille (s'énerve). Ce n'est pas un gay qui va faire sa loi dans ma maison
Roberto : vous avez un problème contre les gays ? (s'énerve)
José : je ne comprendrais jamais deux hommes qui sortent ensemble
Sergio : papa
Pedro : vous êtes homophobes (s'énerve)
José : je ne vais pas passer par quatre chemin je n'accepte pas ta relation avec cette fille Sergio
Sergio : papa...
José : non tu vas m'écouter cette fille n'est pas fait pour toi
Leona : vous ne m'enlèverez jamais Sergio (s'énerve)
Miriam : baisse d'un ton avec mon père (s'énerve)
Léona : toi la ferme tu ne m'aimes pas et c'est réciproque. Jamais vous ne me séparerez de lui. Il est à moi et à mes bébés (commence à pleurer)
Miriam : hey voilà qu'elle se met à chialer (ironie)

Je prends le saladier et je lui verse sur sa tète

Miriam : tu es malade (s'énerve)
Paqui : calmez-vous
José : demande-lui d'avorter avant qu'il ne soit trop tard
Paqui : JOSE
José : j'ai raison comment il veut élever un enfant avec des grand parent gay et une femme complètement déluré
Pedro : VOUS DEVREZ AVOIR HONTE DE PARLER COMME SA. JE ME TIRE D'ICI AVANT QUE JE VOUS CASSE LA CABOCHE (part)
Roberto : heureusement qu'il n'y as pas des gens comme vous. Jamais ma fille n'avortera (s'énerve). Aller au diable (part)
Léona : JAMAIS J'AVORTERAIS JE PREFERE MOURIR QUE DE LES PERDRES
Miriam : eh beh meurt...
Paqui : TU ES COMPLTEMENT MALADE DE LUI DIRE SA
Léona : Sergio...
Sergio :...
Miriam ; il a rien à foutre de toi tu n'as pas compris. Rien quand il te voit il a envie de vomir.
Léona : pleure
Paqui : Miriam arrête
Miriam : tu sais que pleurer pauvre grosse. Tout le monde se fou de ta gueule tu n'as pas compris encore. Tu ne seras jamais une Ramos.

Je m'en vais en courant en pleurant...

PDV de Karim :

Je reprends mes esprits et je cours vers elle. J'attrape son bras

Karim : attend alya
Alya ; tu me veux quoi ? J'ai compris le message
Karim : je...
Alya ; tu quoi ?
Karim : je...
Alya :...

Les mots ne veulent pas sortir de ma bouche. Ce mot est petit mais veut tout dire

Alya ; Karim je n'ai pas assez l'âge pour les énigmes du professeur Leighton

Elle se détache de moi et s'en va

Karim : je t'aime alya
Alya : se retourne
Karim : il m'a fallu du temps pour comprendre et surtout pour l'accepter mais je t'aime
Alya :...
Karim : je ne pensais jamais retrouver l'amour après ma rupture avec Chelsea.
Alya :...
Karim : je pensais l'avoir trouvé avec Irina mais je sais à présent pour elle c'était juste un flirt
Alya :...
Karim : mais toi c'est de l'amour sincère. A tes coté j'ai pu retrouver le sourire que j'avais perdu. Chaque fois que je ferme les yeux je vois ton visage. Tu es encré en moi. La première fois que j'ai croisé ton regard je ne pensais pas que ce regard si beau aller me transpercer le cœur.
Alya ; tu as fini la ton poème
Karim : hein (ne comprend pas)
Alya : embrasse-moi crétin au lieu de parler

Je souris et je m'approche d'elle pour l'embrasser tendrement. Elle se blotti cotre moi
Alya : je savais que tu m'aimais (rire)
Karim : sourit
Alya : personne ne résiste à alya ZARA (l'embrasse)
Karim : petite prétentieuse (rire)
Alya : mais (se détache de lui)
Karim : mais quoi ?
Alya ; je vais repartir vivre à Barcelone toi tu seras à Madrid. On ne se verra pas souvent. Je n'aime pas trop les relations à longue distance
Karim : qui te dit ça (petit sourire)
Alya ; c'est quoi ce petit sourire

Je lui dis quelque chose dans son oreille celle-ci me saute au cou et m'embrasse.

Karim ; je dois te laisser on se voit très bientôt
Alya : ok mon amour je t'aime
Karim : moi aussi je t'aime

Je repars chez moi en courant. Le quartier est bien calme pour un weekend sa m'étonne un peu. Je pars chez moi et j'appelle une personne

Karim: monsieur Rosell c'est karim benzema
Rosell : ah Karim j'allais justement t'appeler
Karim ; je vous appelé au sujet de ce que vous m'avez proposé
Rosell : quel est votre réponse ?
Karim ; j'accepte de signe pour le mercato d'hiver pour votre club
Rosell : je suis très content que vous ayez accepté notre proposition. Vous verrez vous aller vous sentir comme chez vous à Barcelone
Karim : oui (pense à alya)
Rosell : j'appelle dès ce soir ton président pour le prévenir je prépare de mon côté le contrat.
Karim: ok
Rosell : a très bientôt Karim
Karim : oui

Je raccroche le téléphone avec un sourire aux lèvres. Maintenant le plus difficile c'est de l'annoncer à mes coéquipiers mais je pense qu'ils vont accepter mon choix d'avoir signer à Barcelone. Toutes les bonnes choses ont une fin. Il faut voir des nouveaux horizons...

PDV de Gonzalo :

Je vois nuria s'assoir sur le canapé. Pendant plusieurs minutes elle ne parle pas. Je décide de briser le silence

Gonzalo ; alors nuria tu m'as toujours pas répondu
Nuria : ....
Gonzalo : tu m'as choisi ou tu as choisis ta carrière ?
Nuria ; je...

Je pars m'assoir à côté d'elle et je prends sa main dans la mienne

Gonzalo : mon amour je sais que ça été difficile ton choix mais sache que ça me touche énormément. Tu as fait un énorme sacrifie en abandonnant ta carrière de styliste...
Nuria ; retire sa main
Gonzalo : je suis désolé si c'est dur
Nuria : Gonzalo...
Gonzalo ; oui
Nuria : je...
Gonzalo : tu ?...
Nuria : j'ai choisis ma carrière

La phrase qu'elle vient de me lancer en pleine figure et comme une bombe qui explose mon cœur

Gonzalo : tu quoi ?
Nuria : je choisis ma carrière
Gonzalo : tu rigoles là j'espère ?
Nuria : je suis très sérieuse

Je me retiens de ne pas tous casser. Comment ose-t-elle

Nuria : je suis désolé
Gonzalo ; tu peux garder tes désolé (s'énerve).
Nuria : comprend-moi si sa aurait été l'inverse
Gonzalo ; ne change pas de sujet (s'énerve)
Nuria : si moi je t'aurais dit de choisir entre ta carrière de footballeur et moi tu aurais choisis quoi ?
Gonzalo :...
Nuria : ton silence on dit long. Être styliste est mon rêve de gosse. Je n'aurais jamais pensé que mes créations aurait beaucoup du succès et quelle franchirai les frontière espagnole. Les plus grandes stars veule que je sois leur styliste
Gonzalo : ce n'est que du strass et paillète ce n'est pas la vraie vie (s'énerve)
Nuria : c'est mon mode à moi comme le monde du foot est le tiens
Gonzalo : ce n'est pas pareil
Nuria : bien sûr que ça l'est
Gonzalo : alors tu comptes faire quoi ? Tu vas accepter l'offre d'Alejandro
Nuria : oui
Gonzalo ; tu vas donc vivre à new york (voix brisé)
Nuria ; oui
Gonzalo : arrête de dire "oui" et dit moi des choses concrètes (s'énerve)
Nuria ;...
Gonzalo : je n'aurais jamais pensé une seule seconde que tu choisiras ta carrière à moi (s'énerve)
Nuria : comprend moi
Gonzalo : non je ne te comprends pas (s'énerve). Sa fait que 3 semaines qu'on ait marié que tu veux foutre tous sa en l'air pour une marque de fringue (s'énerve)
Nuria :...
Gonzalo : tu as pensé à Julio (s'énerve)
Nuria : ne t'inquiète pas j'ai pensé pour lui
Gonzalo : ah oui (ironie)
Nuria : il va venir vivre avec moi à new york
Gonzalo : non jamais tu me priveras de mon fils...
Nuria : je suis désolé mais je n'ai pas le choix

Elle sort de son sac une feuille et me la donne. Je la regarde il s'agit d'un papier du divorce

Gonzalo : tu veux divorcer (se retient de pleurer)
Nuria : oui...je suis désolé...je t'aime...
Gonzalo : STOP AU MENSONGE...J'HALLUCINE TU AS DEJA SIGNER
Nuria :...

Je regarde une autre feuille ou il y est écrit que j'aurais les enfants justes pendant les vacances

Gonzalo : ne me fait pas sa nuria, ne me prive pas de mes enfants je t'en supplie (voix brisé)
Nuria ; je n'ai pas le choix
Gonzalo ; tu as tous manigancé depuis le début (s'énerve)
Nuria : je n'ai rien manigancé...
Gonzalo : LA FERME TU MENS
Nuria :...
Gonzalo : tu as fait exprès de tomber enceinte de Julio
Nuria : n'importe quoi
Gonzalo : bien sûr que j'ai raison tu savais très bien que j'étais la proie idéale
Nuria : ou es ce que tu vas chercher sa
Gonzalo : tu m'as fait croire que au début tu manipuler Cristiano mais enfaite c'est moi que tu manipule depuis le début de notre rencontre
Nuria :...
Gonzalo : tu savais que Leona étais la fille de la femme du créateur de Zara.
Nuria ;...
Gonzalo : tu as fait exprès de la prendre pour tes photos cars tu savais très bien que le clan ZARA aller riposter et te faire de la publicité en l'insultant car elle ne s'entend pas avec sa mère
Nuria ;...
Gonzalo : tu t'ai rapproché de Pedro car le père de Leona est riche et connais beaucoup de monde dans ce milieu
Nuria :...
Gonzalo : tu as fait exprès de tomber enceinte pour faire semblant
Nuria : tu délires complétement
Gonzalo : non je dis la vérité
Nuria :...
Gonzalo : TU MA MENER EN BATEAU DEPUIS LE DEBUT. TU ne M'AS JAMAIS AIMÉ
Nuria : bien sûr que je t'aime et j'aime nos enfants
Gonzalo :...
Nuria : j'avoue que pour léona tu as eu raison. Je l'ai utilisé et j'ai utilisé Pedro. Tu crois vraiment que je voulais d'une grosse d'une grande folle en amie tu m'as pris pour qui franchement.
Gonzalo : TU N'ES QU'UNE GARCE
Nuria : toi je t'aime et je t'aimerais toujours même si je dois te sacrifier. J'ai réussi je suis enfin reconnu
De tous
Gonzalo :...
Nuria : je t'ai proposé de venir avec moi tu as refusé. Tu préfères rester avec ce groupe de cas sociaux qui te servent d'ami
Gonzalo : je t'interdis d'insulter mes amis (s'énerve)
Nuria : quel sacré que tu as (ironie). Alors chérie tu rentres avec moi à new york ?
Gonzalo : plutôt mourir
Nuria : alors signe le papier.
Gonzalo signe le papier : DEGAGE DE CHEZ MOI
Nuria : je vais récupérer Julio.
Gonzalo : LAISSE MON FILS

Je la vois qui part à l'étage non je ne peux pas y croire elle m'a eu depuis le début. Elle redescend en bas Julio dormait contre elle

Nuria : tu le reverras pour les vacances de noël
Gonzalo : JE TE DETESTE TU ES COMME PAOLA. VOUS ETES LES REINES DE LA MANIPULATION
Nuria : non Paola n'a jamais aimer Cristiano alors que moi oui
Gonzalo : DEGAGE TU MENS
Nuria : je t'aime moi aussi mon amour
Gonzalo :...
Nuria ; j'allais oublier de te dire, tu diras à la nounou d'enfer d'aller se faire une chirurgie elle est affreuse
Gonzalo : tu ne lui arrive même pas à la cheville
Nuria : ne me compara pas à elle c'est une insulte (petit clin d'œil)

Celle-ci part de chez moi. Je me force à garder mes larmes mais je me reteints plus. J'éclate en sanglot, elle m'a eu depuis le début. Mes amis m'avait prévenu a son sujet mais j'ai été tellement aveuglé par l'amour que je lui portai que je n'ai rien vu venir. Elle m'a pris mes deux fils que je ne verrais plus. La loi américaine oblige. Je regarde les documents. Elle s'est assuré ses arrières. Tous les mois je dois lui verser une pension alimentaire. Je ne me remets pas, je viens de découvrir que je suis le dindon de la farce...

PDV de nuria :

Certains d'entre vous vont me détestez et ne pas comprendre mais j'ai réussi mon objectif ; devenir célébré. L'amour que je porte à Gonzalo est sincère et pour mes enfants également mais ma carrière passe avant tout. Vous avez cru vraiment que je considérai cette vachette de léona comme ma sœur et ce fou de Pedro comme ma mère ? Franchement on peut vous faire gober n'importe quoi. Léona était un plan essentiel dans mon projet c'est une partie grâce à elle que je me suis fait connaitre. Avec un père aussi riche et qui connait du monde c'est normal. Je suis un peu déçu de divorce de Gonzalo mais je n'ai pas le choix. Je lui ai proposé de venir avec moi à new york il a refusé. On ne refuse rien à nuria lopez. Apres plusieurs minutes de voiture j'arrive enfin à l'aéroport un jet m'attendais. Je pause Julio dans une chambre et je pars m'installer. Paola et Antonio m'attendait

Paola : alors il a va venir ?
Nuria : non je lui ai donc donné le certificat de divorce comme tu me l'as dit Antonio (sourit)
Antonio : vous été de vrai peste toute le deux (rire)
Paola : chérie je suis gentille moi (l'embrasse)
Antonio : mais oui c'est cela (rire)
Paola prête pour une aventure new yorkaise ? (sors le champagne)
Nuria : plus que prêtre (rire). Ils sont où vos enfants ?
Antonio : chez ma sœur
Nuria : ok (sourit)
Antonio : mais qu'es que tu vas dire à Julio quand il se réveillera et qu'il ne trouvera pas son papa ?
Nuria : je lui dirais que son père nous aime plus et qu'il est parti
Paola : oh la garce (rire)
Nuria : moi pas du tout (rire).
Antonio : tu leur as fait un tour de magie sans qu'ils sans rende compte (rire)
Nuria : c'était tous des lapins à part Gonzalo
Paola : il ne va pas te manquer ?
Nuria : oui beaucoup mais c'est la vie. Il fera toujours partie de mon cœur
Antonio : oh que c'est mignon (rire)
Nuria : ne rigole pas de moi Antonio (rire)
Paola : je lève un toast à la reine des manipulations (rire)
Antonio : tchin (rire)
Paola : comment tu as fait pour tenir aussi longtemps avec eux ? (rire)
Nuria : j'ai priez tous les soirs (rire)
Antonio : méchante (rire). J'ai appris que léona était enceinte de jumeaux
Nuria ; oui ce gros thon est enceinte. Je me demande ce que Sergio lui trouve elle est horrible
Paola : elle est quand même jolie léona
Nuria : tu rigole les grosses cuisses quelle a et je ne parle même pas de son cul
Antonior : entre filles vous êtes des chacals (rire)
Nuria : Sergio c'est une bombe à côté d'elle. Pilar et Lara sont plus jolies qu'elle
Paola : la plus laide c'est Irina. Elle veut se la jouer Angelina jolie. Tête quelle a (rire)
Nuria : tu n'as pas vu la tête de la psychologue de Cristiano. Elle fait trop sa belle avec ses gros seins (rire). Cristiano la remballer deux fois
Paola : rire
Nuria : vous savez que Marcelo sort avec une fille
Antonio : ce n'est pas vrais (rire). Une fille a voulu de cette horreur (rire)
Nuria : oue elle s'appelle clarisse. Un cas sociaux comme eux (rire)
Paola : ils font bien la paire (rire)

C'est sur cette note que je vous laisse. Comme dirais Sabrina ce méfier de ce que vous pouvez lire sa peut être qu'un tissu de mensonge. La preuve je vous ai tous embobiné...

PDV de Cristiano ;

Celle-ci me fait un sourire et pars s'assoir sur le canapé.

Cris : tu veux boire quelque chose ?
Irina : non sa ira (sourit)
Cris : ok
Irina ; j'ai croisé sur la route Silvia qui était en pleure. Je me demande ce qui lui arrive à cette bimbo écervelé
Cris : aucune idée (ment)
Irina : tu aurais dû voir sa tête mon dieux (éclate de rire)
Cris : Irina si je t'appeler ce n'est pas pour parler de Silvia
Irina : ok désolé c'était plus fort que moi (redevient sérieuse)

Par ou je vais commencer. Bon aller je me lance

Cris : voilà c'est au sujet de nous
Irina : nous ? (sourit)
Cris : il m'a fallu du temps pour comprendre mais je sais que tu as des forts sentiments pour moi
Irina :...
Cris : quand tu me parlais de ce fameux gars je pensais que tu parlais de Karim
Irina:...
Cris : mais j'ai compris peu après que c'était de moi que tu parlais
Irina:...
Cris : tu sais Irina on a vécu deux merveilleuses années ensemble
Irina :...
Cris : on s'est séparé quand caitlin est entré dans ma vie
Irina :...
Cris : on s'est remis ensemble après sa mort...
Irina :...
Cris : d'un côté c'est grâce à toi que j'ai pu surmonter cette terrible épreuve même si peu après je suis retombé dans la folie
Irina :...
Cris : je voudrais déjà te remercier d'avoir été auprès de moi dans cette terrible épreuve
Irina : de rien (émut)

Je la regarde droit dans les yeux et je pose ma main sur la sienne

Cris : clarisse m'a fait ouvrir les yeux sur quelque chose
Irina ; sur quoi ? (pose la main sur la sienne)
Cris : elle m'a dit d'aller de l'avant et que je dois ouvrir mon cœur de nouveau
Irina ;...
Cris : elle m'a dit de tenter ma chance avec toi et Silvia
Irina ; Silvia ? (pointe de jalousie)
Cris : avec Silvia sa été juste du sexe. Elle m'a pris pour un sextoys humain. Je ne veux pas avoir à faire à ce genre de personne et encore moins quelle s'approche de mon fils
Irina ; se retient de sourire
Cris ; Silvia n'est pas faite pour moi. C'est qu'une fille facile

Je repense quand elle est venu chez moi à moitié débrailler, les cheveux en pétard elle n'a pas manqué de culot celle-là. Qu'es qui m'a pris d'avoir couché avec ce genre de fille

Irina : ça se voit
Cris : bref revenons à nous
Irina : je t'écoute
Cris : même si on a passé deux années merveilleuses on n'est pas fait pour être ensemble
Irina : mais (se retient de pleurer)
Cris : on a essayé plusieurs fois mais en revient toujours au même point de départ
Irina ; verse une larme
Cris : ne pleure pas (essuye une larme avec ses doigt)
Irina :...
Cris : on n'a pas encore trouvé notre âme sœur à tous les deux
Irina : verse une larme
Cris : tu es une fille belle et adorable. Tu trouveras l'homme qui te conviendra
Irina : c'est toi que je veux (pleure)
Cris : malheureusement sa peut être cruel de ma part mais moi pas.
Irina :...
Cris ; je te considère comme une amie rien de plus
Irina :...
Cris ; ne pleure pas Irina

Je la prends dans mes bras celle-ci s'effondre en larme. Je sais que ça peut paraitre cruel de ma part mais je préfère lui dire que de lui laisse ce faire des films

Cris : au début ça va être dur mais après tu te sentiras mieux
Irina : essuye ses larmes
Cris : j'aimerais quand reste ami tous les deux. Je t'apprécie beaucoup je ne veux pas que notre amitié soit gâcher à cause de sa
Irina : essuye ses larmes
Cris : la porte de chez moi sera toujours ouverte pour toi. Si tu as besoin de quoi que ce soit dit moi le
Iirna :...
Cris : si c'est trop douloureux pour toi je comprendrais que tu ne veux pas qu'en reste ami
Irina : non
Cris : non quoi ?
Irina ; je veux qu'on reste ami quand même (essuye ses larmes)
Cris : tu en es sur ?
Irina : oui comme tu as dit avec le temps je vais m'y faire. Regarde je suis tombé amoureuse de Karim qui l'aurait cru
Cris : oui sa tu la dit (petit rire)
Irina : je vais rentrer
Cris : reste si tu veux je vais regarder un film
Irina : non sa ira
Cris ; en toute amitié. Je t'offre les popcorns
Irina : c'est d'accord (petit sourire)
Cris : je préfère mieux quand tu souris. Installe toi je reviens

Je pars dans la cuisine prendre des popcorns. Je n'ai choisis aucune des deux, je pense que je n'ai pas encore trouvé mon âme sœur. Alors que les popcorns crépitent dans le microonde. Je vois des policiers étrangers encercler la maison de Pepe. C'est quoi ce délire. Le minuteur du microonde sonne. Je prends le paquet et je le verse dans un saladier. Je sors des boissons du frigo et je referme la porte. Là je vois la carte de visite de Silvia accrocher sur mon frigo. Je le prends et la déchire. Je pars au salon

Cris en arrivant : j'ai pris des boissons...Irina pourquoi tu pleures ?
Irina : pleure
Cris : c'est encore douloureux ? Je suis navré
Irina : non ce n'est pas pour ça que je pleure (pleure)
Cris : alors c'est pourquoi ? (ne comprend pas)
Irina : regarde

Elle montre du doigt la télé. Il y avait un flash spécial.

Journaliste : comme nous vous l'avons dit depuis ce début de ce flash spécial. La journaliste sara carbonero femme du gardien de la roja et du real madrid a été hospitalisée d'urgences. Celle-ci se trouver entre la vie et la mort. Nos confrères sont devant les urgences. Natalia avez-vous eu des nouvelles ?
Natalia : écoutez comme vous le voyez sur ses images nous sommes des centaines de journalistes à attendre. D'après des pompiers qui l'ont transportée-elles aurait fait un arrêt cardiaque et aurait perdu beaucoup de sang
Journaliste : comment va iker ?
Natalia : la sécurité à bloquer l'accès au journaliste. Nous savons que iker est à l'intérieure

J'éteins la télé, une larme coule sur mes joues. Irina vient me prendre dans ses bras. Non ça ne va pas recommencer.

Irina : on va aller la voir
Cris : j'ai junior qui dort (essuye ses larmes)
Irina ; va y je vais rester ici. Appelle moi des que tu as des nouvelles. Je vais prévenir les autres
Cris ; ok
Irina : j'espère quelle ne va pas mourir (pleure)
Cris : je l'espère aussi

Je m'en vais aux urgences en priant pour Sara...

PDV de Pepe :

J'ouvre la porte et je vois Anna qui me regarder les yeux en larmes

Anna ; je vois que tu t'ai vite consoler
Pepe : hein de quoi tu parles ? (ne comprend pas)
Anna : j'ai croisé Silvia à moitié dévêtu les cheveux en bataille qui aller chez Cristiano. Elle a tiré son coup ici et après elle aller faire pareil avec Cristiano (s'énerve)
Pepe : n'importe quoi je n'ai pas couché avec elle (commence à s'énerver)
Anna : tout dit le contraire
Pepe : je te répète que je n'ai pas couché avec elle
Anna ; qu'es quelle faisait ici ? (s'énerve)
Pepe : j'avais besoin de lui parler et en plus je n'ai pas de compte à te rendre Anna. Qu'es que tu fiche chez moi ?
Anna : je voulais te parler
Pepe : me parler de quoi ?
Anna : de nous deux
Pepe : Anna...
Anna : je peux rentrer
Pepe : oui

Je la laisse entre celle-ci part s'assoir sur le canapé.

Pepe : tu voulais me dire quoi ?
Anna : Pepe tu me manque tellement
Pepe :...
Anna : je regret tellement ce qui s'est passé avec Cristiano
Pepe :...
Anna : je n'aurais jamais pu penser qu'il aller péter un câble comme sa
Pepe :...
Anna ; je t'aime tellement. Tu es la personne qui compte le plus...
Pepe : si je comptais tellement pour toi tu ne m'aurais pas dupé
Anna ; je ne pensais pas tomber amoureuse c'est pour ça que je ne t'ai rien dit
Pepe : Cristiano n'à rien avoir dans la mort de caitlin. C'est un chauffeur ivre qui la renverser
Anna : je sais...
Pepe : alors si tu sais pourquoi tu lui as retourné le cerveau
Anna : je lui en voulais tellement je pensais que c'était lui qui a tuer ma meilleure amie
Pepe : il ne l'a pas fait
Anna ; je sais...
Pepe : je voudrais que tu sortes de chez moi
Anna : attend, je t'aime (commence à pleurer)
Pepe :...
Anna : je sais que tu m'aimes aussi.
Pepe :...
Anna ; le soir tu as du mal à dormir
Pepe : je dors très bien (ment)
Anna : tes cernes disent le contraire
Pepe :...
Anna : pourquoi tu me pardonne pas ?
Pepe : ce que tu as fait est impardonnable
Anna : et le fait que tu m'as fait un enfant dans le dos avec touria sa ce n'était pas impardonnable
Pepe :...
Anna : tu m'as trompé et tu as eu un autre enfant. Je t'ai pardonné pour cette trahison
Pepe :...
Anna : si tu m'aimes vraiment tu peux me pardonner pour sa

Qu'es que j'ai à répondre à sa. Je la vois qui s'approche de moi et m'embrasse tendrement. J'encercle mes bras autour de sa taille pour prolonger notre baiser

Anna : je t'aime
Pepe : je t'aime aussi
Anna ; tu me pardonnes ?
Pepe : oui...
Anna : contente
Pepe : mais il me faudra du temps pour avoir de nouveau confiance en toi

Au moment où elle aller me répondre, je vois des policiers défoncer ma porte. Anna sursaute et viens ce mettre derrière moi. Il y avait trois policiers mais qui ne porte pas l'uniforme d'un policier espagnol

Pepe : qu'es qui se passe
Enzo en arrivant : papa
Pepe : n'ai pas peur Enzo
Policier : vous êtes Képler Laveran Lima Ferreira dit Pepe ?

En les regardant de plus près je m'aperçois que c'est des policiers hindous.
Pepe : oui c'est moi^
Policier 1 : nous avons un mandat d'arrêt
Pepe : hein (ne comprend pas)
Policier : lever les mains en l'aire
Pepe : je vous demande pardon ?
Policier : je vous ai demandé de lever les mains en l'air tout doucement
Pepe lève les mains en l'air : dite moi ce qui se passe
Policier : je vous arrête pour menace d'enlèvement d'enfant
Pepe : c'est une blague j'espère

Le policier me plaque contre le mur et me passe les menottes

Policier : vous avez le droit à un avocat...
Anna ; mais vous faite une erreur
Enzo : papa (pleure)
Pepe : lâchez-moi
Policier : si vous n'avez pas les moyens de vous payer un avocat un avocat d'office vous représentera
Pepe : vous faite erreur je n'ai jamais menacé d'enlever un enfant
Touria en arrivant : mais bien sûr que oui

Je me retourne et je vois touria les poings sur les hanches qui me lançait des éclairs avec ses yeux

Touria : tu m'as menacé de prendre ma fille à ma naissance et de me prendre Enzo
Pepe : touria ne fait pas sa
Touria : je t'ai dit qu'il ne fallait pas me chercher. Dans mon pays les types comme toi on les jette en prison
Anna : elle ment laisse le tranquille
Touria : tu veux toi aussi faire un tour en prison en inde ? (lève un sourcil)
Anna : tu es complétement cinglé
Touria : non je ne suis pas cinglé je protège mes enfants de vous deux
Enzo cours vers touria : maman
Touria : coucou mon grand je t'ai dit que maman aller revenir te chercher
Enzo : oui (pause sa tête contre son ventre)
Touria : tu seras très apprécié dans les prisons en inde
Pepe : touria arrête tes conneries (hurle)
Touria : tu as semé ce que tu as récolté jamais je te laisserais mes enfants et encore moins que cette blondasse élève mes bout chou
Marcelo en arrivant : Pepe qu'es qui se passe ?
Touria : toujours la celui la
Clarisse en arrivant ; au mon dieux
Anna en pleure : lâchez-le
Marcelo : il se passe quoi ?
Pepe : Marcelo appelle mon avocat
Marcelo : mais lâchez le (pousse un policier)

Deux policiers attrapent Marcelo et le menotte. Il essaye de se débattre mais il le retienne ferment

Touria : tu vois Marcelo tes conneries ou sa t'emmener
Clarisse ; lâche le (s'énerve)
Marcelo : laisser moi tranquille
Policier 3 : embarque les dans le camion. Il y a le jet de l'armée qui les attend pour les rapatrier en inde
Clarisse : Marcelo (commence à pleurer)
Marcelo ; clarisse appelle mon avocat
Clarisse ; lâchez le (pleure)
Touria : tu vas t'amuser Marcelo en prison
Pepe : JE TE JURE QUE TU VAS LE REGRETTER
Touria : encore des menaces ? (petit rire)
Pepe : JE VAI TE TUER LAISSE MARCELO TRANQUILLE. IL N'A RIEN À VOIR DANS NOTRE HISTOIRE
Touria : il a voulu faire le cowboy avec les policier a lui seul d'en payer les conséquences. Aller Enzo en rentre à la maison
Enzo : papa aussi ?
Touria : non papa il sera au trou pendant de longue année (part)
Pepe : RAMENE MOI MON FILS PETITE GARCE

Les policiers m'embarquent. Je vois Anna et clarisse entrain de pleurer. On me fait monter à l'arrière du camion avec Marcelo.

Marcelo ; je ne veux pas aller en prison en inde (se retient de pleurer)
Pepe : je suis désolé (voix brisé)

Le camion part et se dirige vers l'aéroport. Après plusieurs minutes on voiture. On monte dans l'avion prêtait par l'armée indienne. Main et pied menotté avec Marcelo en monte tête baisser. Je n'aurais jamais pensé finir ma vie comme sa surtout en brisant celle de mon meilleur ami...

PDV d'iker :

Je suis dans la salle d'attente en train de tourner en rond comme un lion en cage. Personne ne veut me dire si Sara va bien. Je vois Silvia qui vient d'arriver elle avait les yeux tout rouge. Elle part de l'autre côté du bloc sans faire attention à moi. À cet instant je vois Cristiano arriver

Cris en arrivant ; je suis arrivé dès que j'ai sus. Comment va-t-elle ?
Iker ; je ne sais pas j'ai tellement peur pour elle (pleure)
Cris : chut ça va aller c'est une battante (le prend dans ses bras)
Iker : je ne veux pas qu'elle meurt (pleure)
Cris ; elle ne va pas mourir. Accroche-toi
Iker : pleure
Cris : Irina est de tout cœur avec toi elle est restée à la maison avec junior. J'ai essayé de prévenir Gonzalo mais il ne répond à aucun de mes appels pareils pour Marcelo et Pepe.
Iker : ok (essuye ses larmes).
Cris ; léona je ne l'ai pas prévenu
Iker : ne la préviens pas je n'ai pas envie quelle s'inquiète elle est enceinte
Cris : ok. Les médecins ton dit quoi ?
Iker ; personne ne veut me dire si elle va mieux
Cris : je vais aller leur parler
Iker : ça ne sert à rien ils ne vont rien te dire
Cris : mais c'est quoi ce délire ? Pourquoi ils ne veulent rien te dire ?
Iker : je ne sais pas. J'ai vu Silvia qui est allé au bloc
Cris : Silvia est ici ? (surpris)
Iker : oui je pense qu'elle doit être au courant elle avait les yeux tous rouge quand elle est venu. Mais ça m'a étonné de sa part de pleurer pour Sara alors qu'elle ne la connaît pas
Cris : à mon avis c'est pour autre chose tu sais les filles comment elles sont (ment)
Iker : en parlant d'elle, elle vient vers nous

On voie celle-ci arrive en blouse blanche. Elle voit Cristiano et s'arrête de marcher. Apres plusieurs secondes à le regarder de travers elle vient me voir

Silvia : iker il faut que je te parle
Cris : tu peux parler devant moi
Silvia : j'ai dit iker je n'ai pas prononcé ton prénom (ton ferme)
Iker : c'est bon tu peux parler devant lui. Comment va Sara ?
Silvia : vient dans mon bureau j'ai à te parler
Iker : non parle maintenant
Silvia :...
Iker : OU EST MA FEMME
Silvia :...
Iker : REPOND MOI
Silvia : iker s'il te plaît vient dans mon bureau
Iker : JE N'IRAIS PAS DANS TON BUREAU TON QUE TU M'AURAS PAS DIT SI SARA VA BIEN. OU EST LE MEDECIN
Silvia :...
Cris : Silvia...
Silvia : Sara a perdu beaucoup de sang...
Iker :...
Cris :...
Silvia : elle a perdu votre bébé...
Iker :...
Cris :...
Iker ; je veux la voir (pleure)
Silvia : je n'ai pas fini
Iker :...
Cris : continue (voix briser)
Silvia :...
Cris : Silvia...
Silvia : elle a encore fait un arrêt cardiaque
Iker :....
Cris :...
Silvia : je suis désolé iker, Sara est décédé
Iker : NON TU MENS
Silvia : je suis navré de te l'annoncer (voix brisé)

Je la saisis violemment par les épaules et je la secoue

Iker : NON TU MENS OU EST MA FEMME (pleure)
Cris : iker lâche la (pleure)
Silvia : elle est morte

Je m'effondre en larme dans ses bras non je ne peux pas y croire qu'elle soit morte. Je vois Silvia me sert fortement contre elle

Silvia : je suis désolé iker
Iker : pleure
Silvia : vient lui dire au revoir une dernière foi
Iker : non je ne peux pas (pleure)
Silvia : il le faut iker.
Iker : pleure
Silvia : il faut que tu la voies une dernière fois (voix brisé)

Elle me donne la main et m'amené dans la chambre de Sara. Là je la vois sur le lit inerte et blanc. Je pars m'approche du lit et je m'effondre en larme

Iker : Sara reviens moi je t'en supplie ne me laisse pas je t'aime tant (embrasse son front et pleure). Sert ma main si tu m'entends
Silvia : iker...
Iker : chut je ne vais pas l'entendre parler sinon. Sara sert ma main si tu m'entends (pleure)
Silvia : iker (pause sa main sur son épaule.) elle ne peut pas t'entendre
Iker ; pourquoi (pleure) je veux qu'elle revienne (pleure)
Silvia : je serais la pour toi si tu as besoin de parler
Iker :...
Silvia : ma secrétaire t'appellera pour te donner un rendez vous
Iker :...
Silvia : je te laisse lui dire adieux

Celle-ci part, je n'arrête pas de pleurer. Peu après deux médecins arrivent

Médecin : monsieur casillas
Iker : non laisse-moi avec ma femme (pleure)
Médecin 2 : il faut quand l'amène à la morgue
Iker : non...
Médecin : monsieur casillas je sais que c'est difficile
Iker : non vous ne savez rien (pleure), je viens de perdre mon bébé et ma femme par ma faute (pleure)
Médecin 2 : ce n'est pas votre faute, Sara avait une grossesse risquée
Iker : pleure
Médecin : je pense que vous devrez aller voir mon ami a psychologue Silvia Cruz elle va vous aider
Iker : aller vous-même consulter

Je pars en courant des urgences par la porte de derrière. Je n'ai pas la force d'être face aux journalistes. Je prends ma voiture et je roule comme un dingue vers la sortie de Madrid. Je roule et j'arrive près des falaises. Je sors de la voiture en pleurant. Je ne peux pas vivre sans elle. Ma vie n'a plus aucun sens sans elle. Elle est ma moitié celle que je voulais pour l'éternité. Une seule solution résoudra tous mes problèmes. Je respire un grand coup et j'avance droit vers le ravin. Je vais retrouver ma bien aimée...

PDV de Silvia :

Je me retiens de ne pas pleurer. Dans mon milieu ce genre de chose ne doit pas nous atteindre mais c'est plus fort que moi.

Médecin : Silvia es ce que tu peux aller l'annoncer aux journalistes
Silvia : pourquoi tu ne le fais pas toi-même (essuye une larme)
Médecin : parce que je ne suis pas à l'aise devant les journalistes
Silvia : ok

Je prends une grande respiration et je sors dehors. Une ode de journaliste vient vers moi

Journaliste : comment va Sara carbonero ?
Silvia : la journaliste Sara carbonero arevalo est décédé cette nuit à 21h15...elle a été victime d'une crise cardiaque, les médecins n'ont pas réussi à la sauver. Nos pensé va a sa famille et à son mari iker casillas
Journaliste : ou se trouve iker en ce moment ?
Silvia : je ne réponds plus à aucune de vos questions

Je m'en vais et je pars au parking pour prendre ma voiture. Je vois Cristiano qui été en pleure dans sa voiture. Je ne m'arrête pas et je vais directement à ma voiture. A peine je sors les clés de mon sac que je sens une main se poser sur mon bras. Je me retourne et je vois que c'est Cristiano

Silvia ; laisse moi
Cris : pourquoi Sara est morte (pleure)
Silvia : les médecins ne pouvaient rien faire pour elle.
Cris ; essuye ses larmes
Silvia : maintenant laisse-moi tranquille
Cris : je n'arrive pas à y croire que Sara soit morte
Silvia : moi non plus mais c'est la vie il faut aller de l'avant
Cris : comment aller de l'avant quand l'amour de ta vie et morte ?
Silvia ; il lui faudra du temps à iker pour se remettre de cette tragédie mais il va réussir. Maintenant lâche mon bras
Cris : Silvia...
Silvia : quoi (sèchement)

Il s'approche de moi et m'embrasse en pleine bouche

Silvia le pousse ; non
Cris : aide moi a oublié (défait sa ceinture)
Silvia : non je ne veux pas (le pousse de nouveau)
Cris : je sais que tu en a envie
Silvia : je ne suis pas une prostitué (le gifle)

Je pensais quand le giflant il aller se calmer mais au contraire il s'approche de nouveau de moi et me plaque contre ma voiture. Il défait ma veste

Silvia : ne me touche pas
Cris : je suis désolé de t'avoir insulté toute à l'heure
Silvia : je n'accepte pas tes excuses tu n'aies qu'un monstre (lui met une gifle)
Cris ; soulève la jambe de Silvia
Silvia ; ne me touche pas (le pousse). Tu crois que je suis une prostitué
Cris : de luxe
Silvia le gifle : je t'interdis de me parler sur comme sa
Cris : tu le mérites
Silvia : DEGAGE
Cris : tu croyais peut être que j'allais rester avec toi. Je n'aime pas passer après un autre
Silvia ; tu es méchant (commence à pleurer)
Cris : je ne suis pas méchant mais réaliste
Silvia ; alors pourquoi tu voulais coucher avec moi (pleure)
Cris : c'était sur le coup avec le choc de la mort de Sara. Les claques que tu m'as donnés mon fait remit les idées en place
Silvia ; pleure

Il va dans sa voiture et part. Je prends une pierre et je la balance sur sa voiture.

Silvia : VA EN ENFER CRISTIANO...

PDV de Sergio :

Léona c'est enfuis. Je vois Miriam, Pilar et Vanina trinquer. Je me lève et je donne une grosse gifle à ma sœur

Sergio : POUR QUI TU TE PRENDS D'INSULTEZ MA FEMME. TU ME DEGOUTES. VOUS ME DEGOUTEZ TOUS. VOUS CROYEZ QUE JE VAIS L'ABANDONNER UNIQUEMENT PARCEQUE SES PARENTS SON GAY OU PARCEQU'ELLE EST CINGLES OU GROSSE. COMMENT POUVEZ-VOUS JUGER LES GENS SANS LES CONAITRE. ET TOI PAPA TU ME DEGOUTE JE N'AURAIS JAMAIS PENSER QUE TU PUISSES PENSER QUELLE ALLER AVORTER. A PRESENT JE NE SUIS PLUS TON FILS ET VOUS N'ETES PLUS MA FAMILLE
Paqui : Sergio (se met à pleurer)
Sergio : maman ma maison sera toujours grande ouverte pour toi mais eux jamais
Paqui : Sergio ou tu vas ? (pleure)
Sergio : je vais retrouver ma future femme

Je m'en sans leur laisser le temps de répondre. Apre plusieurs minutes on voiture j'arrive enfin à l'aéroport. Le jet de Roberto aller partir j'arrive attend et grimpe vite à l'intérieure. Je vois léona en pleure dans les bras de Roberto

Pedro : SORT D'ICI PETIT MISERABLE
Sergio : je veux parler à léona
Pedro : ELLE NE VEUT PAS TE PARLER
Roberto : Pedro vient on va les laisser

Ils partent tous les deux et me laisse seul avec léona. Je m'approche d'elle mais celle-ci se lève

Léona ; NE T'APPROCHE PAS DE MOI
Sergio ; léona...
Léona : POURQUOI TU N'AS PAS PRIS MA DEFENCE
Sergio : léona...
Léona : je ne veux plus te voir (pleure)

Je m'approche d'elle et je l'embrasse

Sergio : je me fiche de ce que ma famille pense je t'aime
Léona :...
Sergio : j'aime nos bébés (pose sa main sur son ventre)
Léona : essuye ses larmes
Sergio : je voulais attendre mais je pense que c'est le bon moment
Léona ; de quoi tu parles ?
Sergio : tiens je veux que tu lises cette lettre que je t'ai écrite pour toi à haute voix
Léona : mais...
Sergio : fait-le
Léona : ok

Je prends une grande respiration. Celle-ci déplie la feuille et commence à lire

Léona : "J'ai tant de chose à te dire dans une si petite lettre, je ne voudrais pas faire un roman pourtant tu es le livre de ma vie. Chaque matin lorsque je me réveille je m'étonne de te trouver dans mes bras. Avoir trouvé une femme si douce, si souriante, si attentive était un rêve que j'ai pu réaliser. Tu partages mes peines et mes joies depuis déjà 2 ans .Et chaque jour je m'émerveille de ta gentillesse et de ta compréhension malgré le fait que je peux être lourd. J'aime la maniéré que tu as de m'ouvrir tes bras dès que ça ne va pas, j'aime la couleur de tes yeux qui pétille, j'aime ton sourire lorsque je te dis "je t'aime". J'aime cette façon que tu as de dire "non" alors que tes yeux disent " oui», j'aime la façon que tu as de prendre soin de moi ou le fait que tu me surnomme la rockstar (pleure)
Sergio : continue.
Léona : je t'aime toi, tous simplement .Nous avons eu des épreuves, nous avons surmonté beaucoup de choses ensemble sans jamais faillir. Aujourd'hui je te le demande avec la pointe d'un stylo mais du fond de mon cœur. Veux-tu devenir ma famille ? Veux-tu être ma femme?" (pleure)
Sergio : je sais que c'est vraiment bidon de faire une demande en mariage par lettre mais je n'arrivais pas à te le dire en face
Léona : pleure
Sergio : si tu ne veux pas m'épouser je comprendrais mais sache que je t'aime
Léona : c'est tellement beau ce que tu as écris (pleure). Je ne savais pas que tu avais un talent d'écriture (pleure). Je t'aime tellement ma rockstar je veux devenir ta femme (l'embrasse)

Je n'ai jamais été aussi heureux. Enfaite j'ai réalisé quelque chose. Le physique ne compte pas seul l'amour triomphe. J'ai trouvé ma moitie et personne au monde ne me séparera de ma nouveau d'enfer...  


Tome 1 : Une nounou d'enferOù les histoires vivent. Découvrez maintenant