Chapitre 91 : UN DIMANCHE MOUVEMENTER

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  PDV de Sergio :

Je suis dans la cuisine et je prépare le petit déjeuner pour l'apporter à léona. Celle-ci n'a pas arrêté de pleurer cette nuit. Je n'ai pas fermé l'œil de la nuit. J'ai essayé de la réconforte en lui disant des mots doux mais elle persiste en me disant qu'elle a vu notre fils. Ma psychologue ne m'a pas rappelé. Mon téléphone se mit à sonner, je réponds

Silvia : monsieur Ramos, c'est Silvia Cruz, j'ai bien reçu votre message. Je peux venir dans l'après midi
Sergio : merci beaucoup (voix brisé)
Silvia : respirer un grand coup Sergio tout va bien se passer.
Léona : SERGIO
Sergio ; je dois vous laisser

Je raccroche le téléphone et je cour en haut. Je l'entendais hurler mon prénom. Arrivé laba, je la vois qui pleurer. Je me précipite vers elle pour la prendre dans mes bras

Sergio : chut ne pleure plus. Je suis la (la sert contre lui)
Léona : pleure
Sergio : viens on va prendre notre petit déjeuner
Léona : je ne veux pas manger (pleure). Je veux voir mon fils (pleure)
Sergio : léona (prend son visage entre ses mains) notre fils est mort
Léona : non, il est vivant. Je l'ai vu dans cette ferme
Sergio : ton imagination ta jouer des tours
Léona : je t'ai dit que je l'ai vu (pleure)
Sergio : aller vient

Je la porte et l'amène dans la salle de bain. Je lui enlevé ses vêtement et je la mets sous la douche avec moi. Je lui savonne son corps et lui met du shampoing. Je voyais des larmes qui couler toujours sur ses joues. Apres nous être doucher, je l'enveloppe dans une serviette blanche et je l'essuye. Celle-ci ne protesta pas.

Sergio : tu veux que je te laisse t'habiller ou tu as besoin de moi ?
Léona :...
Sergio ; répond moi ma jolie
Léona :...
Sergio : tu vas rester en peignoir

Je lui mets un peignoir blanc et je la porte pour descendre en bas. Je la pause sur le canapé et je pars chercher son plateau.

Sergio : ouvre ta bouche et bois ce jus d'orange
Léona :...
Sergio : léona je t'en supplie (à bout)
Léona : il était réel
Sergio : mais il n'est pas (lassé)

On entend la sonnette retentir à mon avis sa doit être ma psychologue. Je pars ouvrir à ma grande surprise c'est clarisse et junior. Celle-ci portait un panier.

Sergio : tu fou quoi ici ?
Clarisse : c'est comme sa quand accueil les gens et en plus dans cette tenue (le regarde de haute en bas)
Sergio : tu n'as jamais vu d'homme en caleçon ?
Clarisse : oh que oui j'en ai déjà vu (petit sourire)
Sergio : arrête de me regarder comme sa et dit moi pourquoi ai tu venu ici ?
Junior ; nana
Clarisse : on est venu la voir. Je lui apporte des muffins (lui tend le panier)
Sergio : merci pour les muffins mais non je ne peux pas te laisser entrer. Léona ne va pas bien
Clarisse : elle croit qu'elle a vu votre enfant ?
Sergio : oui (voix briser), je lui ai dit que ses son imagination mais elle veut rien entendre
Clarisse : si tu veux je vais aller lui parler
Sergio : c'est gentille mais c'est à moi de m'occuper de son problème
Clarisse : il n'y a pas que léona qui ne va pas bien. Hier soir, j'ai vu Cristiano qui regarder des vidéo de caitlin. C'est la première fois que je le vois dans cet état
Sergio : il devrait aller consulter
Clarisse : c'est ce que je me suis dit
Sergio : attend deux seconde je reviens...tiens (lui donne une carte)
Clarisse : c'est qui Silvia Cruz ?
Sergio : c'est une psychologue elle est très bien et discrète personne ne sera rien. Donne le à Cristiano pour qui l'appel
Clarisse : je ne pense pas qui va l'accepter (met la carte dans sa poche)
Sergio : essaye de le convaincre. Au faite tu la laisser seul ?
Clarisse : non. Figure-toi que ce matin, Irina c'est pointé comme une fleur à la maison. Elle était toute pimpante.
Sergio : je vois que sa rupture avec Karim na la pas abattue
Clarisse : oui, bon aller vient junior on va laisser léona et Sergio
Junior : voir nana moi
Sergio : pas pour aujourd'hui
Junior : méchant (lui tire la langue)
Clarisse : junior tu es un vilain garçon. Il ne faut pas faire ça. Excuse-moi Sergio
Sergio : non t'inquiète j'ai l'habitude

Ils repartent tous les deux. Je repars au salon léona n'avait pas bougé d'un cil. Je décide d'appeler Pedro. Au bout de la troisième foi celui-ci décroche

Pedro : vous ne pouvez pas me laisser m'épiler tranquillement le maillot
Sergio : euh Pedro c'est moi (écœuré)
Pedro : qui toi ?
Sergio : c'est Sergio
Pedro : ah oui la rock star qui sort avec une cougar (éclate de rire)
Sergio : redevient sérieux qu'une minute, si je t'appel c'est au sujet de léona
Pedro : maintenant que tu vu la bombe quelle est revenu tu veux retourner avec et tu as besoin de mon aide. Ma réponse et...euh non (éclate de rire). Je veux cristiano comme gendre il me fera plein de petit latino que grand-mère Pedro va s'occuper le weekend
Sergio : écoute-moi, je suis retourné avec Leona
Pedro : c'est un canular
Sergio : très drôle, elle ne va pas bien
Pedro : qu'es que tu lui as fait ? (s'énerve)
Sergio : je ne lui ai rien fait.
Pedro : mais bien sur j'arrive tout de suite
Sergio ; tu peux appeler Roberto pour le prévenir
Pedro : je vais le prévenir

Il me raccroche le téléphone au nez. Je n'ai même pas le temps de reprendre mon souffle quand sonne à nouveau à ma porte. Je pars ouvrir c'est Roberto. Il a bien fait vite

Roberto : ou est léona ? (le pousse et entre)
Sergio : elle est...
Roberto : léona regarde-moi c'est papa
Léona :...
Roberto : TU LUI AS FAIT QUOI
Sergio : je n'ai rien fait (s'énerve)
Roberto : Pedro m'a dit dans son message que tu es retourné avec ma fille. Je ne veux plus que tu l'approche du ma bien compris espèce de petit con (s'énerve)
Sergio : je l'aime et je ne la laisserais pas tomber parce que vous n'acceptez pas notre relation. Il me semble que vous même vous l'avez coupé les vivres par rapport à ce qui s'est passé avec Pedro
Roberto : LA FERME
Sergio : au lieu de me sortir vos discours vous devrez mieux vous regarder avant (s'énerve)
Roberto : et toi tu devrais mieux enfiler un pantalon si tu ne veux pas que je te la coupe
Sergio : mais viens beau-papa je t'attends (s'énerve)
Roberto : ne fait pas trop le malin avec moi parce que ça va mal se passer (s'énerve)

A cet instant Pedro arrive dans un costard. Il s'est cru dans un moulin celui-là et pourquoi il s'habille comme ça ce petit crétin

Pedro : mon bébé sava (prend léona dans ses bras)
Roberto : pourquoi est-elle comme ça ?
Léona :...
Pedro : léona parle à maman
Léona : j'ai vu Diego mon fils il était dans la ferme (pleure)
Roberto : ma chérie tu sais bien qu'il est mort
Sergio : c'est que j'essaye de lui dire mais elle ne veut rien entendre
Léona : non Sergio il était devant moi il portait un maillot du real Madrid (pleure)
Roberto : ma chérie ton imagination ta jouer des tours
Léona : NON IL EST VIVANT
Pedro : imaginons qu'ils soient vivants
Sergio : mais vous êtes complétement malade de lui dire ce genre de chose
Pedro : va t'habiller et laisse-moi parler avec léona
Sergio : je ne la laisserais pas seul
Léona : Sergio tu peux aller (essuye ses larmes)
Sergio : tu en es sur ?
Roberto : oui

Je m'en vais en les laissant seul. Mais mon cœur ne peut pas alors j'espionne leur conversation

Pedro : alors avant que Sergio nous coupe si vraiment il était en vie
Léona : mais il est. Il doit avoir entre 3 et 4 ans
Pedro : comment peut-il être déjà grand alors qu'il doit être que un bébé
Léona : je...
Pedro : écoute maman léona, ce petit garçon était dans ton imagination
Roberto : c'est la première fois que tu le vois avant jamais tu disais l'avoir vu
Pedro : il s'est passé quoi dans cette ferme ?

Je l'entendais lui dire qu'en apprenant que j'ai fallu me suicider lui a brisé le cœur. Elle leur disait ce qui s'est passé avec caitlin et surtout l'état de Cristiano actuel. Je voyais leur expression surpris et intriguées. Je pars vite enfiler des vêtements et je reviens les voir comme si rien n'était

Sergio ; j'ai appelé une psychologue elle va venir
Pedro :...
Sergio : vous voulez boire quelque chose ?
Roberto : un café bien noir me ferait du bien
Sergio : et toi Pedro ?
Pedro : non sa ira

A cet instant, on sonne à nouveau à ma porte. Je pars ouvrir

Silvia : bonjour monsieur Ramos
Sergio : mademoiselle Cruz, je suis très content que vous soyez là. Entrez...

PDV de Pepe :

Hier soir, je n'ai pas dormi de toute la nuit entre Marcelo qui me baver dessus en ronflant et le fait que je vais devenir père une seconde foi. C'est trop de chose à la foi

Pepe : Marcelo je ne sais pas quoi faire
Marcelo : et moi j'ai vu caitlin
Pepe : arrête tes conneries
Marcelo : je te promets que je l'ai vu elle était la devant moi
Pepe : elle est morte
Marcelo : c'est son fantôme que j'ai vu
Pepe : les fantômes n'existent pas
Marcelo : à présent je sais que ça existe
Pepe : tu es encore plus taré que je le pensais (rire)
Marcelo ; peut-être que Cristiano est fou même lui la vu
Pepe : Cristiano a des hallucinations. Il devrait consulter
Marcelo : comme toi qui devrais aller voir un sexologue (rire). Tu n'as pas marre de mettre touria enceinte à part si ça te plais de faire ça (lève un sourcil)
Pepe : ou tu vas chercher tes conneries

Mon téléphone se mit à sonner, je vois que c'est Anna qui ma envoyer un sms

Je vais passer chez toi il faut qu'on parle

Marcelo : c'est qui ?
Pepe : c'est Anna elle veut me parler
Marcelo : c'est un bon début
Pepe : bon j'y vais. Je peux te laisser seule tu ne vas pas avoir peur (rire)
Marcelo : très drôle ça ne me fait pas rire. Le jour où tu verras un fantôme tu me le diras
Pepe : je te laisse (lui ébouriffe les cheveux)

Je m'en vais et je me rends à pied chez moi. Arrivé laba, je vois Anna qui m'attendais. Je lui fais un grand sourire mais elle ne répond pas à mon sourire. J'entre chez moi elle me suit et s'assois sur le canapé

Pepe : tu veux boire quelque chose ?
Anna : non sa ira. Je suis venu pour qu'on discute
Pepe : je t'écoute
Anna : hier soir, j'ai réfléchi à notre situation...
Pepe :...
Anna : j'ai décidé de te pardonner
Pepe : tu es sérieuse (content)
Anna : a une seule condition
Pepe : tous ce que tu voudras
Anna : que tu me répondes à mes questions avec franchise
Anna ; et tu toujours amoureux de touria ?
Pepe : non
Anna : tu es sur que tu ne veux pas retourner avec touria pour le bienêtre des enfants ?
Pepe : non car c'est toi que j'aime et pas elle
Anna : c'est vrai
Pepe : oui et si sa tenais que à moi je retournerais en arrière pour tout effacer (voix brisé)
Anna : je te crois (le prend dans ses bras et l'embrasse)...

PDV de clarisse :

Léona me fait de la peine. Je repars chez Cristiano. Celui-ci était toujours assis à la même place. Il regardait une vidéo de lui avec caitlin. Irina le prenait dans ses bras. Elle ne manque pas de culot celle la

Irina : il faut l'oublier mon cœur (lui caresse les cheveux)
Cris :...
Junior : papa (court vers lui)
Irina : vous êtes déjà rentré ?
Clarisse : oui, léona ne va pas bien du tout
Irina : ah ok
Clarisse : Cristiano tu veux boire quelque chose
Cris :...
Irina : je lui ai donné un verre de jus d'orange
Clarisse : je vois que tu t'occupes bien de lui (ironie)
Irina : oui
Junior : papa jouer ballon
Cris :...
Junior : papa
Cris ; LAISSE PAPA TRANQUILLE
Junior : commence à pleurer et part dans les bras de clarisse
Clarisse : Cristiano...
Cris : SORTEZ DE CHEZ MOI
Clarisse : je...
Cris : DEGAGE...
Irina : tu devrais partir clarisse et t'occuper de junior. Je vais m'occuper de Cristiano
Clarisse : Cristiano n'a pas besoin de sexe Irina mais d'une aide médicale (s'énerve)
Cris : DEGAGE

Je porte junior et je m'en vais avec lui. On se retrouve à la rue tous les deux. Je décide d'aller chez Marcelo. Je toque celui-ci m'ouvre

Marcelo : clarisse (étonné)
Clarisse : Cristiano m'a jeté à la rue avec junior
Junior pleure : papa
Marcelo : c'est une blague
Clarisse : es ce que j'ai l'air de rire
Marcelo : va y rentre

Je par installer junior avec ses voiture et j'explique ma situation

Marcelo : cette Irina elle veut le reprendre. N'importe quoi
Clarisse : je ne sais pas comment je vais faire avec junior
Marcelo : on va appeler Dolores pour quelle vient le récupérer
Clarisse : ok mais il faut aussi que j'appelle une personne avant
Marcelo : mon téléphone se trouve laba
Clarisse : et toi ça va mieux ?
Marcelo : sa peut aller
Clarisse : léona ne va pas bien du tout
Marcelo : il manquer plus que sa
Clarisse : tu peux surveille deux minutes junior
Marcelo : oui

Je sors de ma poche la carte que Sergio m'a donnée et je la pause sur la table. J'allais appeler la psychologue quand mon portable se mit à sonner. Je regarde qui m'appel c'est mon frère

Clarisse : caine pourquoi tu m'appel je n'ai pas le temps de te parler
Caine : je voudrais d'abord m'excuser pour hier
Clarisse : je dois appeler quelqu'un
Caine : comment va léona ?
Clarisse : Cristiano a perdu la tête et léona persiste à dire quelle a vu son fils qui est mort
Caine :...
Clarisse : caine...
Caine : rejoint moi il faut que je te parle c'est important
Clarisse : tu ne peux pas me le dire au téléphone
Caine : non vient c'est urgent
Clarisse : j'arrive

Je raccroche le téléphone et je pars prévenir Marcelo

Clarisse : je dois m'en aller mon frère à besoin de moi
Marcelo : tu vas retourner dans cette ferme hanter
Clarisse : oui je n'ai pas le choix. Je suis une grande fille (sourit)
Marcelo : tu es courageuse
Clarisse : tu le penses ? (sourit)
Marcelo : oui bon je vais appeler Dolores
Clarisse : comme Cristiano m'a mi a la rue es ce que je pourrais rester chez toi
Marcelo : je te demande pardon ? (surpris)
Clarisse : je ne sais pas où dormir et je te connais plus que les autres
Marcelo : mais j'ai déjà léona
Clarisse : à mon avis elle va retourner chez Sergio. Si tu ne veux pas je comprendrais
Marcelo : euh...bon d'accord mais pas pour longtemps
Clarisse : ne t'inquiète pas je ne vais pas vivre avec toi

Je lui fais mon plus beau sourire et je m'en vais...

PDV de touria :

Je suis dans la cuisine et je prépare des crêpes pour Enzo. Qu'es que je suis contente d'être à nouveau enceinte. Et surtout le fait que Pepe et Anna ont rompu

Touria : mon chéri maman a une nouvelle à annoncer
Enzo en arrivant : tu vas m'acheter de nouveau jouets (grand sourire)
Touria : non tu en as trop (rire). Viens t'assoir
Enzo : tu es malade maman ? (inquiet)
Touria : pas du tout au contraire je suis en pleine forme
Enzo ; alors c'est quoi
Touria : tu vas bientôt avoir un petit frère ou une petite sœur (pose sa main sur son ventre)
Enzo : c'est vrai ? (grand sourire)
Touria : oui (rire)
Enzo : c'est qui son papa ?
Touria : c'est ton père
Enzo : vraiment (content)
Touria : oui maintenant tous les quatre on sera une vraie famille
Enzo ; mais Anna...
Touria : Anna elle est plus avec ton père. Elle a décidé de nous laisser retrouver en famille
Enzo : c'est super mon vœu c'est exaucer (content)
Touria : plus personne ne nous séparera tous les quatre
Enzo : oui on est une famille comme Lucas
Touria : oui (sourit). On va amener ses crêpes à ton père
Enzo : d'accord

Je pars prendre les crêpes que j'ai mis dans une assiette. Je mets de l'aluminium dessus et on part tous les deux à pied chez Pepe. On profite du soleil tout en marchant. Je chanter avec Enzo. On peut voir sur notre visage un bonheur inouï. On arrive enfin devant chez lui. J'aperçois dans l'allée la voiture d'Anna. Mon sourire s'estompa

Touria : Enzo reste devant la porte maman va rentrer
Enzo : moi aussi je veux rentrer voir papa (croise les bras)
Touria : il faut que je vérifie quelque chose après tu viens
Enzo : d'accord

Je lui donne l'assiette de crêpe et je rentre dans la maison son avoir toquer. Je pars au salon il n'y avait personne. Je monte à l'étage là j'entends le rire de Anna. Je prends mon courage a demain et je m'approche de la porte. Là je les vois tous les deux batifoler à moitie dénudé. Une vive douleur m'envahit. Anna était sur Pepe

Pepe : je suis très content que tu m'as pardonné. Je t'aime tellement. Plus jamais je te tromperais. C'est toi que j'aime et pas une autre
Anna : moi aussi je t'aime tellement

Ce discours me détruit de l'intérieure. Je pars en courant dehors des larmes ravagèrent mon visage

Enzo : maman pourquoi tu pleures ?
Touria : papa il ne veut pas de nous (pleure). Il est retourné avec Anna
Enzo : mais...
Touria : je suis désolé mon ange de t'avoir donné de faux espoir (pleure). Ton père ne m'aime pas il aime Anna. Je vais te laisser chez Marcelo
Enzo : maman...
Touria : il faut que maman aille prendre l'air. Je t'aime tellement (le prend dans ses bras)
Enzo : moi aussi je t'aime maman

Je pars chez Marcelo celui-ci vivait a deux pâté de maison de celle de Pepe. Je sonne à la porte celui-ci m'ouvre la porte

Marcelo : touria (étonné)
Touria : je te laisse Enzo, tu lui donneras à Pepe
Marcelo : pourquoi tu n'aies pas allé chez lui directement
Touria ; il avait d'autre chose à faire
Marcelo : je (regarde touria). Tu as pleuré ?
Touria : j'ai eu une allergie. Alors tu peux lui donner ?
Marcelo : oui tu peux le laisser.

Je m'en vais en ayant le cœur lourd...

PDV de Gonzalo :

Je suis dans mon jardin avec Julio. Je profite des derniers rayons de soleil avant que le grand froid arrive. Je joue avec lui au ballon. Ce matin, je suis allé récupérer ses affaires à hôtel. Quand je suis arrivé, Pedro porter une minijupe on voyait tous. Sa ma écœuré, j'ai cru que j'allais le tuer

Gonzalo ; donne la balle à papa Julio
Julio : tire la balle (éclate de rire)
Gonzalo : c'est bien

A ce moment-là, je vois nuria qui arrive en pleurant. Elle commence à me gonfler celle-là. Hier soir, je n'ai pas dormi de toute la nuit. Elle n'arrêtait pas de pleurais pour la fameuse petite fille fantôme quelle aurait vu. Je me demande comment Julio a pu dormir dans ce vacarme

Nuria : Gonzalo (pleure)
Gonzalo : quoi ? (lassé)
Nuria : je n'arrive plus à rentrer dans mon jean préféré c'est à cause de toi (pleure)
Gonzalo : c'est reparti. Arrête de pleurer
Nuria : tu es méchant (pleure)
Julio : rire
Nuria : tu te moque de maman Julio (pleure de plus en plus fort)
Gonzalo : Julio va faire un câlin à maman
Julio : court vers nuria pour lui faire un câlin
Nuria : c'est gentille mon ange (le sert fort contre lui). Et toi Gonzalo tu ne veux pas me prendre dans tes bras
Gonzalo : après...
Nuria : tu es méchant (éclate de sanglot). Je suis moche et grosse c'est pour ça que tu ne veux pas me faire un câlin (pleure)
Gonzalo : mais non...
Nuria : je ne veux plus t'entendre

Elle m'agace celle-là. J'allais la rejoindre quand on sonne à ma porte. Je pars ouvrir c'est iker

Gonzalo : iker (surpris)
Iker : désole de te déranger je peux rester avec toi. Il y a touria chez moi en larme
Gonzalo : ne me parle pas de femme qui pleure (souffle)
Iker : nuria te rend fou (rire et entre)
Gonzalo : oui elle pleure pour un rien. Je commence en avoir marre
Iker : les joies de la paternité (rire et s'assoit)
Gonzalo : oui mais il y a des limites quand même. Elle est encore plus chiante que lorsqu'elle était enceinte de Julio
Nuria : GONZALO VIENT (pleure)
Iker : bon je crois que je vais me tirer
Gonzalo ; je me tire avec toi
Iker : aller monsieur higuain va t'occuper de vomito (rire et part)
Julio : PAPA
Gonzalo : j'arrive (fatiguer)...

PDV de léona :

Je suis toujours blotti dans les bras de mon père quand je vois arrivé Sergio avec une grande fille mince et belle. Elle ressembler à un chat. Je ne peux pas rivaliser avec elle. C'est le genre de fille que Sergio préfère

Pedro : tu ne perds pas ton temps la rockstar qui est cette fleur
Silvia : bonjour, je m'appelle Silvia Cruz je suis une psychologue. Sergio m'a appelé hier soir pour m'informer de l'état de sa compagne.
Pedro : à voir votre chute de rein et votre décolleté on ne dirait pas que vous êtes psychologue
Silvia : par contre je vous préviens de suite monsieur je ne flirt pas avec mes patients
Pedro : ne vous inquiétez pas je préfère les hommes
Silvia : ok. Vous devez être surement Pedro
Pedro : oui en chair et on os (lui tend la main)
Roberto : je suis le père de léona. Je m'appelé Roberto
Silvia : enchanté et vous vous devrez être léona (lui tend la main)
Léona :...
Sergio ; chérie
Léona : oui je le suis (se relevé) et je n'ai pas besoin de voir une psychologue
Silvia : en regardant vos traits sur votre visage je dirais le contraire
Léona : parce que je suis moche c'est ça que vous voulez dire (s'énerve)
Roberto ; léona...
Silvia : je n'ai jamais dit que vous y étiez moche
Léona : vous l'avez pensé (se retient de pleurer)
Sergio : léona (la prend dans ses bras) ne dit pas ça
Silvia : assez-vous léona. J'aimerais être seul avec elle
Sergio : je ne sais pas si c'est une bonne idée
Silvia : ça ira

Pedro, Roberto et Sergio part dans une autre pièce. Elle part s'assoir sur le canapé en face de moi. Elle notait quelque chose sur son calepin

Silvia : comment se passe votre relation avec vos parents ?
Léona : vous êtes ici pour me parler de mon fils pas de mes parents
Silvia : je vois que vous évitez le sujet

A cet instant, on sonne de nouveau à la porte. Sergio part ouvrir et reviens avec clarisse et caine

Sergio ; je leur ai dit que ce n'était pas le moment mais ils n'ont pas voulu m'écouter
Caine : léona il faut que je te parle
Sergio : qu'es que tu veux lui dire (s'énerve)
Pedro : du calme la rockstar (en arrivant)
Roberto ; il se passe quoi ?
Caine : hier soir tu as dit avoir vu ton fils
Léona : oui
Caine : je...je suis désolé

A cet instant, je vois le petit garçon de la ferme venir avec le maillot du real Madrid avec une femme blonde

Léona : regarde Sergio tu le vois c'est lui
Sergio ; qu'es que c'est que ce délire ? (surpris)
Léona : tu peux le voir aussi
Pedro : je le vois (choquer). Sergio ce n'est pas ton fils par hasard
Sergio : je l'espère pas parce que je me rappelé pas avoir couché avec vous (surpris)
Femme éclate de rire : beaucoup dise qu'il vous ressemble mais soyez sans crainte ce n'est pas le vôtre. Il s'appelle Diego et il est fan de vous
Léona : Diego (voix brisé)
Femme : mon fils est parti ce caché dans la ferme de caine. Son amie Alyssa était hier dans la ferme. Elle lui a dit quel aller faire peur à l'ami de caine. Mon fils la suivit en cachette
Sergio : attend deux seconde, la fille que nuria et Marcelo ont vu été un canular
Caine : oui...je suis désolé...
Sergio : c'est à cause de toi si ma femme se retrouve dans cet état la
Caine : je ne...

A cet instant Sergio lui saut dessus et lui donne un coup de poing. Mon père le retient
Sergio ; LAISSE MOI JE VAIS LE TUER CET ENFOIREE...SA T'AMUSE DE JOUER A CE GENRE DE JEUX. DEGAGER TOUS DE MA MAISON
Silvia : monsieur Ramos vous me rappellera quand vous vous serez calmé
Caine : je suis encore désolé (part)
Clarisse : tu là de quoi l'être (part)

Tout le monde part, je me retrouve seul avec Sergio. Mon dieu je ne suis pas folle. Je m'approche de Sergio et je le prends dans mes bras. Il colle son front contre le mien. Je vois des larmes qui lui coulent de ses joues. Je l'embrasse tendrement. Maintenant c'est à moi de m'occuper de l'homme de ma vie...

PDV d'alya :

Je suis dans un bon bain moussant à penser à Karim. Je pense que je suis allé un peu trop loin. Mais d'un côté j'ai raison, on dirait qu'il a honte de moi et de notre relation. Je ne suis pas moche, je suis une diva. Toute à l'heure, Irina m'a appeler. Je me demande comment elle a eu mon numéro celle-là. Elle m'a dit que Karim était sorti pendant une longue période avec une certaine Chelsea Sanchez

Maria en arrivant : tu as bientôt finis l'heure tourne
Alya ; maman tu peux me laisser finir mon bain
Maria : bon assez avec tes conneries. Si tu veux qu'on met notre plan a exécution il faut se manier les fesses
Alya : on est dimanche quand même
Maria : chez les ZARA ça n'existe pas les repos. Je vois que la ville ou cette grosse de léona ta rendu faible
Alya ; je ne suis pas faible
Maria : alors lève-toi...non me dit pas que tu fricotes avec un mec ?
Alya :...
Maria ; je t'ai dit qu'on n'était pas là pour fricoté mais pour manigancé. Comment il s'appelé ?
Alya : maman tu connais une certaine Chelsea Sanchez
Maria : pourquoi tu me pose cette question ?
Alya ; répond moi juste
Maria : oui elle travaille en tant que photographe à new York. Une vraie petite peste. C'est elle qui a refusé d'être notre photographe pour notre collection à Madrid. Elle à prétexter quelle avait trop de travail. Elle ne sait vraiment pas mentir celle-là. Bon maintenant je te donne 5 minutes pour sortir de cette salle de bain et de venir (part)
Alya : ok j'arrive

Je pars me doucher et j'enfile une robe légère. Je pars en bas pour aider ma mère à monter notre collection. On a beaucoup de boulot. Ce que nuria prépare c'est du jamais vu. On va essayer de contrer cette vipère. A cet instant, on sonne à ma porte. Je pars ouvrir c'est Karim

Alya ; Karim (grand sourire)
Karim : je voudrais m'excuser pour hier. Tiens (lui donne un bouquet de fleur). C'est pour toi
Alya ; merci elles sont magnifiques
Karim : comme toi
Alya ; sourit
Karim : je peux rentrer. J'aimerais discuter avec toi
Alya ; chez moi il y a un énorme bordel vient on va marcher. Attend deux seconde je reviens

Je referme la porte et je pars récupérer une paire de lunettes de soleil et mon sac à main

Alya ; maman je reviens
Maria : ou es ce que tu comptes aller ? Qui a sonné à la porte ? On a du boulot
Alya ; je ne serais pas longue
Maria : je te donne 10 minutes pas une minute de plus
Alya : ok

Je pars rejoindre Karim. Celui-ci m'embrasse tendrement et il me donne la main.

Alya ; tu voulais me dire quoi ? Désole de te presser mais j'ai du travail qui m'attend
Karim : voilà il y a deux ans de ça. Je suis sortie avec une fille. Elle s'appelait Chelsea. On est resté 1 an ensemble. Figure toi quelle était d'abord sorti avec Sergio
Alya ; ok continue
Karim : on s'aimer j'étais prêt à me marier. Mais le jour ou caitlin est morte c'était sa meilleur ami et la future femme de Cristiano. Elle s'est senti coupable, elle m'a quitté.
Alya : sa a du te faire énormément du mal
Karim : oui, il m'a fallu beaucoup de temps avant de ressortir avec une femme. Plus tard j'ai rencontré léona...
Alya : tu es sorti avec léona ? (pointe de jalousie)
Karim : oui mais figure toi quelle ma tromper avec Sergio
Alya ; je comprends mieux maintenant quand tu lui as dit qu'il sortait avec toute tes copines. Rassure toi je ne suis pas du tout blond (sourire)
Karim : après je suis sorti avec Irina et devine quoi ?
Alya ; me dit pas quelle ta tromper avec Sergio ?
Karim ; non mais avec Gonzalo
Alya : mon pauvre chéri tu n'as pas de chance (le prend dans ses bras)
Karim : je veux que notre relation marche et qu'il n'y ait aucun secret entre nous. Tu me promets de ne pas mentir et de me dire la vérité
Alya : je te le promets (ment)
Maria en ouvrant la porte : son fait plus de dix minutes
Alya ; maman...
Maria : qui sait ce gigolo ?
Karim : je ne suis pas un gigolo madame je m'appelle Karim...
Maria : je m'en fiche comment tu t'appel, alya à la maison
Alya ; je dois te laisser (l'embrasse)
Maria : dépêche-toi
Alya ; j'arrive (entre dans la maison)
Maria : au faite le gigolo vous êtes affreux vous devrez mieux vous refaire votre face de rat

Je la vois qui claque la porte d'entrée. J'aperçois par la fenêtre le visage stupéfait de Karim

Alya ; maman pourquoi tu lui a parlais comme ça ?
Maria : garde tes sermons pour toi on est en retard
Alya : tu peux être gentille avec lui il ne ta rien fait
Roberto en arrivant : oui tu peux être gentille
Maria : qu'es que tu fais dans ma maison sors d'ici
Roberto : je vois que tu n'as toujours pas changer
Maria : va retrouver Pedro et ta grosse de fille
Roberto : je t'interdis de parler comme sa de léona (s'énerve). Tu devrais avoir honte
Maria : cet animal n'est pas ma fille maintenant tu dégage d'ici
Roberto regarde tous les papiers sur la table : je ne sais pas pourquoi tu es a Madrid mais si tu t'avise du faire du mal à léona je te promets que je vais faire ta vie un enfer
Maria : regarde je tremble (se fou de lui). Je vois que tes détectives m'ont pisté
Roberto : oui dès qu'ils m'ont dit que tu étais sur Madrid j'ai su que tu aller voir alya
Maria : sort d'ici on a du travail
Roberto ; je t'aurais prévenu maria. Laisse léona tranquille
Maria : tu crois que je vais toucher à cette petite grassouillette (petit rire). Je lui conseille de ne pas me croiser mon chemin si elle ne veut pas retrouver son fils qui est six pieds sous terre
Roberto ; FERME LA DU DEVRAIS AVOIR HONTE DE PARLER COMME SA
Maria ; la sortie est à gauche

Celui-ci part en claquant la porte. Je la vois avec un grand sourire on reprend notre activité...

PDV de Marcelo :

Dolores ne peut venir que demain pour récupérer junior. Je fais maintenant la nounou de service. Alors que les enfants jouer dans le salon. Je décide d'aller dans la cuisine pour leur apporter un jus d'orange. Je prépare les verres quand je me retourne et là je vois caitlin

Marcelo : OH PUREE

Mon imagination me joue des tours. Je ferme les yeux et je les ouvre elle n'était plus là. Mon dieu aller respire un grand coup. J'allais au salon quand je la revois prêt d'une porte. Je prends mon courage a demain et je vais dans la pièce elle a disparu.

Marcelo : caitlin montre toi mais ne me fait pas sursauter...je suis encore plus fou

J'allais quitter la pièce quand je vois prêt du téléphone une carte de visite. Je lis la carte

Marcelo : c'est qui cette Silvia Cruz... (lit bien la carte)...une psychologue...  


Tome 1 : Une nounou d'enferOù les histoires vivent. Découvrez maintenant