Chapitre 18:

1.6K 74 0
                                    

PDV Amy:
- Qu'est-ce qu'on fait sur le toit ? Il m'ignore encore, je m'arrête sur la derniere marche de l'escalier et croise mes bras. Réponds moi, Yan !

- Arrête de faire le bébé, Amy ! Ta réponse se trouve derrière cette porte. Dit il avec un grand sourire.

J'avance d'un pas hésitant, j'ouvre la porte, et je reste littérallement clouée au sol. C'est une serre, il a construit une serre !

- C'est pas fini ! Rentre !
La serre est bien sur sous forme de piece faite de bois et de verre mais il n'y a que quelques fleurs par ici, par là, et un grand canapé avec quelques coussins. J'adore l'endroit !

- Qu'est ce que Tu en penses ? Je me suis dis qu'on peut pas prendre le risque de se voir dehors, j'ai pas envie qu'il pense du mal de toi, et c'est aussi plus pratique , au moins on aura notre endroit même en hiver... Je le coupe en déposant un chaste baiser sur ses lèvres.

- J'adore ! C'est une super idée ! M'exclame je. Mais comment Tu as fais pour avoir l'autorisation de construire ça ici ? Demandai je curieuse.

- Euh.. J'ai aucune autorisation... Je m'en fou en plus personne ne monte ici alors... Il hausse les épaules et se jette sur le canapé.

- Y a plus de place pour moi... Ah ! Non mais Tu es fou !?

Il éclate de rire en serrant ses bras autour de ma taille, vu qu'il vient de me jetter sur lui sans que je m'y attende.

- Arrête de rire.. je le frappe au torse.

- Fallait voir ta tête, je parie que Tu as vu ta vie défiler . Quand il remarque que je fais la tête. D'accord c'est bon, qu'est ce que je peux faire pour me faire pardonner ?

- Je meurs de faim ! ... Qu'est ce qui est drôle cette fois ? Il a emie un petit rire apres que j'ai invoquer ma demande.

- Tu es une vrai déchicteuse tout le temps entrain de bouffer mais je parie que Tu ne grossie sde même pas un kilo.

Je balance mes cheveux en arrière pour me vanter. Il lache un autre bref rire.

- Au moins je te fais rire, alors, qu'est ce que Tu vas me préparer ? Je demande alors qu'on rentre dans sa cuisine, je m'installe sur le contoir. Il fouille dans ses placars, jusqu'à ce qu'il tire un paquet de pâtte.

- Ça te vas ? J'hoche la tête.
Il tire une casserole la remplis d'eau, et la mets sur un feu, il prends des tomattes, ognions, et il continue de preparer notre déjeuner.

Il est vraiment trop mignon.

- Pardon ? Il se retourne vers moi.

Oh mon dieu ! Faites qu'il ne m'ait pas entendu !

- Rien, j'ai rien dis. Je sens déjà le feu me monter au visage, et alors que je m'attendais à ce qu'il replique il ne fait que hausser les épaules, ouff, et me dire que le déjeuner.

À table, lorsque je m'apprete à manger ma premiere bouchée, je m'arrête. Je pose mes couverts et demande.

- Quoi ? Pourquoi Tu me fixes ?

- Euh, maintennt qu'on est ensemble Tu sais que Tu ne dois le dire à personne, pas par rapport à mon boulot, je m'en fou de mon job je veux juste pas qu'Erwan Te fasse quelque chose.

Et là, je ne peux pas m'empecher de sourire.

- Kayra est au courant, elle ne dira rien à personne et moi non plus, et arrête de t'inquieter, de toute façon je ne suis jamais seule.

Alors que Yan s'apprêter à dire quelque chose, une femme rentre dans la cuisine. Mais comment elle a fait coment pour rentrer dans l'appartement ? Et qui est elle ?

Yan se retourne vers la femme et dit.

- Maman ? Mais qu'est ce que Tu fais ici ? Comment Tu as fais pour rentrer ?

C'est sa mère. Et en plus, c'est une belle femme, elle ne parait pas trop veille. Elle ne répond même pas aux questions de Yan et l'enlace fortement.

- Maman, Tu me serts.

- Tu m'as manqué mon bébé. Dit elle en se detachant de lui.

- Maman. Grogna Yan. Répond à mes questions.

- Non, pas avant que Tu me dise qui est cette jeune fille.

Je me lève de table et je ne sais pas comment agir, lui faire la bise, lui serrer la main.

Elle s'avance vers moi et... me prend dans ses bras, je lui retourne l'etreinte timidement.

- Oh, euh, Amy, maman, maman, Amy, ma copine.

Éh merde. Je suis pas prête à la rencontrai comme ça, et puis quoi je suis sa copine depuis quoi ? 48 heures.

- J'avais compris, Mark m'a parlé d'une fille que Tu as récament rencontré et qui au courant de tout, d'ailleurs je suis là, parce que d'après Mark, il faut qu'on parle de quelque chose, mais si je vous derange je peux lui donner rendez vous ailleurs.

- Non, c'es...

Il fut couper par le clacement d'une porte, celle de l'entrée surement. Donc Yan s'avance vers le salon en premier suivit de sa mère et de moi. Sa mère se stop en voyant Mark et Martin qui est censé être son mari décédé. Mais elle prend sur elle et dit.

- C'est donc pour ça que Tu m'a contacter ?

- Carole , commenca Martin.

- Non ! Je t'arrête tout de suite, je ne veux pas de tes explications et toi, Yan Tu le savais ?

- J'ai tiré sur Erwan et son bras droit, je tout fais pour vous protéger, vous cacher la vérité à surement était le meilleur choix et le pire que je n'ais jamais fais, alors je vous interdit de me juger sans aucune explication, surtout toi, Carole !

Déclara Martin d'un coup et s'en va.
- Je vais prendre une chambre d'Hotel, je vous vois demain. Déclara après Carole avant de s'en aller à son tour.

- Je suis désolé de ne t'avoir jamais dis la vérité sur tes parents et tout le reste mais si Tu veux en savoir plus, je t'attendrai demain à midi au Forever pour le déjeuner et si Tu ne viens je comprendrai.

Mark attendit une réponse de la part de Yan mais ce dernier resta impassible, depuis l'arrivée de sa mère.

Mark comprit que son neveux n'étais pas prêt de répondre, alors il s'en alla aussi. Alors que j'entendis la porte de sortie claquer, je laissais échaper un long et profond soupir. Comme si c'etait moi qui vivais tout cela.

- Je suis désolé que tout ne ce soit pas passait comme Tu le voulais. Il s'excusa en s'approchant de moi, il me pris dans ses bras, et bien sur, je réponds à son etreinte.

- Tu peux me parler de ce que Tu ressens, Tu as le droit d'être contrarier, énervé,..

- Ne t'inquiète pas pour moi, Amy, c'est leurs choix, le gang, mais ce qui est pour Erwan et maman, je trouve que c'est le destin, on ne choisit pas de qui on tombe amoureux... dit il alors qu'il me carésser doucement ma joue...

Unforgettable [PAUSE]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant