Chapitre 40 et dernier du premier tome

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PDV ANGEL

Je sentis Gab ce crisper en entendant cela. Oui ce soir.... j'avais beau avoir passer des heures a m'engueul et avec Brigitte et Jackson, j'avais perdu contre eux... contre mon avocat. J'étais forcée de partir.

Je souhaitais rester avec Gab le plus longtemps possible alors que Stéphan ce proposa d'aller faire nos valise pour nous laisser tranquille. Mon cœur était serrer et ma gorge nouée. Je n'étais pas capable de parler et je sentis une main se poser sous mon menton et le relever doucement.

Gabriel me regardait tristement de se yeux bleu éclatants alors qu'une l'arme voilà sur sa joue. Il me sourit tout de même, un sourire briser ce voulant réconfortant. Lui il irait en prison et moi je serait dans un autre pays.

Je m'approcha de lui, me coucha doucement a coter de lui et serra sa main dans la mienne. J'étais secouée de sanglots a l'idée de le perdre, ne plus pouvoir le voir, entendre ça voie, le regarder sourire et l'avoir contre moi. Il ne me restais plus que deux heures. Deux dernières heures avant mon dépars et la perte de cet être chers comme nul autre dans mon cœur.

J'avais beau être a coter de lui, dans ses bras, il me manquait déjà.

Il posa un baiser sur mon front et je sentit sa respiration tremblante de pleurs silencieux frôler ma peau. Mes pleurs redoublèrent et il me serra doucement malgré ses blessures qui limitaient ses mouvement.

Nous passèrent nos deux dernière heures ainsi, a ce remémorer nos bon moment, a finalement sourire et oublier que nous allions nous perdre l'un et l'autre. Ce fut quand Jackson arriva avec Brigitte et Stéphan et tout s'effondra. A nouveau.

Je m'assis sur le bord du lit de Gabriel, les larmes aux yeux et serra ses mains des miennes, tremblantes.

Il retira sa chaîne qu'il avait toujours dans son cou et me la donna, la mettant dans la paume de ma main qu'il referma. Moi je lui tendus doucement un paquet, dans du papier journal et lui dit de l'ouvrir seulement une fois que je serais sortit de la chambre. A contre coeur, je lui offrit mon dernier baiser. Ce fut Brigitte qui mis sa main sur mon épaule et me tira doucement vers la sortit de la chambre.

Le silence nous hantaient, tout les quatre en direction de l'aéroport. Une fois dans l'avion, je regarda par le hublot, pouvant voir l'hôpital d'ici et durant le décollage avant de disparaître derrière les nuages.

PDV GABRIEL

Une fois quelle fut sortit, je pris doucement le petit paquet quelle m'avait donné et je l'ouvrit de mes mains peut assurée. Je reconnue rapidement le tissu doux et noir de sa chemise aux ailes d'ange dans le dos avec une photo plié par dessus.

Je serra la chemise qui avait encore son parfum et regarda la photo. Elle et moi, dans les bras l'un de l'autre en souriant, venant de stopper un baiser.

Mon ange venait de me quitter....

La réalité d'un bad boy Tome 1Où les histoires vivent. Découvrez maintenant