Chapitre IV : Le grand jour

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Salut tout le monde :)

Alors je reviens après 3mois d'absence...Je suis vraiment désolée, mais je ne trouve plus les mots pour écrire, j'ai les idées, mais je n'arrive pas à les mettre à l'écris. J'ai fais de mon mieux pour vous sortir un chapitre qui ne fait pas que 3 lignes (car c'est ce qu'il faisait pendant 3 mois ) Par contre, il n'est pas bien long, et je ne le trouve pas de qualité. J'espère qu'il vous plaira quand même, bonne lecture ;)

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          Toute la nuit les événements de la veille m'ont hantée. Mais aujourd'hui est le grand jour, tant attendu par la plus part du peuple. Pour cette occasion, je suis réveillée aux aurores, bien que j'aurais préféré dormir encore une heure ou deux mais Laurielle en a décidé autrement. Je me plonge dans un bon bain pendant qu'une coiffeuse s'occupe de mes cheveux. Malgré le fait qu'ils soient courts, elle me les sublime.

          Une fois ma toilette finie, simplement habillée d'un peignoir, je m'installe sur un fauteuil et une personne s'occupe de la manucure, pendant que la seconde s'affaire sur mon maquillage. Durant toute ma préparation, Laurielle reste pour s'assurer que le résultat soit parfait. Elle reste silencieuse, je ne sais vraiment pas si ça doit me rassurer ou pas, mais je pense que ça doit être bon signe qu'elle n'arrête pas la maquilleuse immédiatement.

          Plus de deux heures viennent de s'écrouler, mais le résultat en vaut la peine. Ce maquillage léger me souligne le regard et l'agrandit. Elle m'a appliquée du fard à paupière du doré au marron, et du rouge à lèvre couleur prune. Ma peau ne brille plus et les quelques cicatrices que j'ai eu ces derniers temps ont été recouvertes. Quant à mes ongles, ils sont tous égaux et de couleur rose.

          Mon amie me serre dans ses bras avant de m'amener dans ma chambre pour que je puisse enfilée ma robe. J'enlève donc le peignoir et attrape la robe reposant sur le cintre. Elle est entièrement rouge avec la bordure du buste et la ceinture en or. Elle est tout simplement magnifique, je ne pense pas être à la hauteur du rôle que je vais avoir.

          Laurielle apparaît devant moi en me sortant de mes pensées et écarquille les yeux.

          —Tu es sublime, digne d'une reine ! Prends ses escarpins noirs pour finaliser la tenue.

          Je la remercie et les larmes me montent aux yeux.

          —Non ! Je t'interdis de pleurer ! Ne va pas gâcher le travail de cette talentueuse maquilleuse, plaisent-elle.

          —C'est le stress, je ne me trouve pas à la hauteur.

          —Ne t'inquiète pas, tout va bien se passer. Tu te souviens encore de ce que tu as appris la dernière fois ? De ce que tu vas devoir faire devant l'évêque ?

          —Oui, ça va aller.

          —Bon on y va alors ! Il ne faudrait quand même pas que tu arrives en retard, conclu-t-elle avec un clin d'œil.

          J'acquiesce toujours sur les nerfs. L'événement à lieu dans la grande salle du palais, ensuite il y aura le dîner dans la salle du banquet. Laurie me laisse à l'entrée de la grande porte alors qu'elle empreinte une plus petite pour rejoindre sa place prêt de la scène.

          Soudain, les portes s'ouvrent, une centaine de visages se tournent dans ma direction. Je garde la tête haute et remonte l'allée avec une démarche assurée. Seul mes talons se font entendre. La pression augmente. J'ai l'impression de ne jamais voir la fin. Une fois devant l'évêque, je m'agenouille sur le petit coussin rouge et incline ma tête. Celui-ci me pose la couronne dessus et m'aide à me relever en me tendant sa main. Ensuite, il me tend un sceptre doré sur un coussin de velours dans sa main droite et la bible dans l'autre. Je pose ma main droite sur celle-ci et attrape le sceptre de l'autre et prête serment. Puis je me retourne vers les personnes présentes qui eux s'inclinent tous dans ne révérence.

          Ceux étant invités sont tout d'abord mes proches, ensuite les personnes influentes du royaume ainsi que quelques personnes du peuple puis les représentants des quelques royaumes alliés. D'ailleurs, ils étaient également présents la veille pour la plupart. Ils se lèvent tous et applaudissent.

•••

          La soirée se passe calmement, je suis située sur la chaise la plus imposante étant donnée que je suis la nouvelle reine. Mes amis me soutiennent et des personnes ont été embauchées pour divertir les invités.

          Alors que certains dansent, que d'autres discutent, Un prince s'approche de moi. Il et grand, brun avec les yeux marrons, presque noir. Sa couronne posée sur sa tête brille et reflète la lumière ambiante.

          —Majesté, me salut-il. Je me prénomme Illyés. Je suis honoré de représenter mon royaume en se jour si important pour le votre. Voulez-vous accepter cette danse ?

          —Je serais ravie de danser avec vous, mais je n'ai jamais appris à danser. Mais vous pouvez rester parler si vous voulez.

          —Bien sûr.

          —Alors, pour commencer, pourquoi votre père veut vous marier à moi ?

          —Je...euh...à vrai dire je ne sais pas, normalement j'aurais dû épouser Rosalya, même si elle n'étais pas d'accord, mais vu ce qu'il s'est passé, il s'est dit que vous se serai mieux.

          —Dans se cas, veuillez excuser ma franchise, mais non, je ne vous épouserais pas. A près tout, je suis la reine de se royaume et donc on ne peut pas m'imposer de mariage.

          —Je suis entièrement d'accord avec vous, et puis on ne se connait pas alors je vous comprends. Veuillez m'excuser, mais je dois retourner à ma place, la suite du repas va bientôt arriver.

          En effet, le dessert que mes amis ont choisi arrive, C'est tout une variété d'entremet de toutes les sortes. Tous ont l'air délicieux, mais je n'ai plus vraiment faim, je ne pense pas pouvoir en manger rien qu'une bouchée. Je laisse donc le mien de côté et profite du reste de la soirée.

          Le repas est fini, et avant que tous les invités partent, ils sortent tous dans le jardin et mes amis et moi allons sur le balcon. De là, nous observons un feu d'artifice magnifique. Ensuite, quelques invités avant de partir viennent me félicité et le palais se vide petit à petit.

          Alors que je retourne à ma chambre après cette journée épuisante, je croise Tim. Lui qui normalement est joyeux, à l'air d'être préoccupé.

          —Tout va bien ?

          —Oh ! Oui, ne t'inquiètes pas, je crois que...je suis peut être un peu malade, rien de grave...

          —Tu es sûr ?

          —Oui, aller, vas te reposer, tu dois être morte de fatigue.

          —C'est bien le cas de le dire, plaisantais-je. Bon, repose toi bien, et si ça ne va pas mieux, tu me préviens.

           Sur cette dernière phrase, il part et moi je rentre dans ma chambre. Une fois dedans, j'enlève mes escarpins qui me font mal aux pieds et demande à Marianne de défaire les boutons de la robe. Dans la salle de bain, je me change et me démaquille. J'espère vraiment que les prochains jours seront calmes, car je ne pourrais pas supporter autant de stress.



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