Chapitre 5

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Aujourd'hui n'ayant pas cours de la journée, je resta à la maison. Il était presque quatorze heure trente et tout le monde était à l'école, papa et maman eux, travaillaient. Pour passer le temps, je regardais un petit dessin animés comme à la bonne vieille époque "Tchoupi", les vraies savent.
Soudain le téléphone fixe sonna.

Un homme : « Oui allo bonjour, suis-je bien au domicile de la famille Boudini ? ».

Moi : « Euuuuuh ... Oui, bonjour qui-es ? ».

Un homme : « Monsieur Mavard commissaire de la brigade anti-mineur à l'appareil est-ce Monsieur Ahmed Boudini ? ».

Moi : « Non, il est au travail mais que puis-je faire pour vous ? ».

M.Mavard : « Êtes-vous majeur ? Quel âge avez vous s'il vous plait ? ».

Moi : « Oui je le suis. J'ai vingt deux ans ».

M.Mavard : « D'accord, je vous appelle au sujet d'Abdel Boudini ... ».

Moi : « Mais c'est pas possible qu'est-ce qu'il a fait encore celui là ?!... ».

M.Mavard : « Êtes vous un membre de sa famille ? ».

Moi : « Oui oui, je suis son grand frère, Ashraf, Ashraf Boudini. ».

M.Mavard : « D'accord alors nous avons interpelé votre petit frère lorsqu'il tentait de voler un maillot du Paris Saint-Germain au magasin Go Sport du centre commercial Sabstre. Il faut qu'un majeur de sa famille vienne le chercher au commissariat pour signer la décharge. Pouvez vous venir au plus vite s'il vous plait ? »

Moi : « Oh la la mais c'est pas possible, je vais le tuer cet enfant ... Bon y'a pas de soucis, j'arrive au plus vite merci de m'avoir prévenu. »

Lorsque j'arriva au commissariat, Abdel était là, assis sur une chaise à m'attendre. Je le pris avec moi, signa la décharge et sur la route pour rentrer à la maison une petite discussion s'imposa.

Abdel : « Oh Putin t'imagine même pas à quel point je suis heureux que ce soit toi qui soit venu me chercher. »

Moi : « Mais tu es malade ? Tu es inconscient ? » lui dis-je en le giflant.

Abdel : « Eh mais tes malade toi ! Pour que tu me gifle ?! Tes pas papa à ce que je sache ! »

Moi : « Bah oui bien sur ta raison je suis pas papa, de toute les façons il fera le reste du boulot tu le connais bien pour ça de toutes façon. »

Abdel : «  Tu lui as dit !!!!?? »

Moi : « Non mais je lui dirais ce soir lorsqu'il rentrera »

Abdel : « Eh Ashraf non la vie steplait fait pas ça ! Je t'en supplie Ashraf la vie je recommencerais plus jamais, me fait pas ça s'il te plait. » dit-il avec les larmes aux yeux.

Moi : « Bon puisque c'est la première fois ça passe mais si j'apprends une nouvelle fois que ta fait un truc, je t'en colle une et papa passe faire la finition assisté de maman. »

Abdel : « Oh merci frero, merci ! »

Moi : « Hum, ta pas de quoi être fière hein ... »

Arrivé à la maison il ne se passa rien de spécial c'était comme si aujourd'hui était un jour normal.
La journée de termina en beauté avec un bon petit tajine fait par ma maman chérie.

Ce lourd secret ...Où les histoires vivent. Découvrez maintenant