One shot

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Une déviante de l'histoire d' Eugène Fitzerbert

Je me suis fais abandonner par mes parents à l'âge de mes 6 ans, 

j'ai étais envoyé dans plusieurs orphelinats mais aucun d'entre eux ne voulaient de moi, d'après eux mes parents étaient des criminels et je ne méritait pas une autre famille, mais je ne suis pas mes parents, je ne suis qu'un enfant.

Mais un jours lorsque je me promenais dans les bois à la recherche de nourriture, j'ai rencontré un cheval à peine plus grand que moi, sur ça médaille il y avait inscrit un prénom : maximums Et d'un signe de la tête, ce cheval, à peine plus grand que moi me fit comprendre de le suivre... 

Et c'est donc avec plein d'espoir que je marchais vers le royaume de Corona.

Dès que j'ai passé la porte d'entrée, des gardes de l'armée royal m'emmena à l'intérieur du grand palais. J'étais terrorisé par une telle grandeur et u tel luxe du bâtiment, dont je n'avait pas l'habitude.On pris soin de moi, on me lava et habilla proprement puis on me présenta au roi et à la reine. Ils n'avaient pas l'air très joyeux pas très joyeux mais dés que la reine vu mon visage enfantin elle se précipita vers moi et me sera dans ses bras, sans même me poser de question, ou de savoir qui j'était.... 


Les années passèrent, j'ai eu droit à une éducation de petit prince et un amour de très grande taille.  A mes 10 ans mes parents adoptif m'ont expliqués pourquoi ils m'avaient adopté, ils avaient perdu leur unique fille, qui c'était fait enlevé par une dame malveillante et égoïste.Mais le lendemain de mon anniversaire un miracle ce produisit, la princesse disparu, réapparu par je ne sait quel hasard.

Le roi et la reine étaient fou de joie et ce n'est pas pour autant qu'il m'abandonnèrent. Pendant de nombreuse années je n' eus pas le droit de voir la princesse car la pauvre fillette, plus jeune que moi était encore sous le choc de ses années enfermé dans une tour, je ne vit la princesse que de loin.


Mais un jour, lorsque je me promenais dans la bibliothèque, j'entendis de l'autre côté de l'étagère, des sanglots, je m'approchait et là je la vit, ses yeux vert me regarder avec le même espoir que j'avais eu quand j'étais arriver à Corona, ses cheveux était attaché en chignons par un pinceau plus ou moins sale, elle me faisait presque pitié, mais au lieu de sa, j'ai éprouvé de la joie de la voir enfin, je me suis assis à coté d'elle et pendant de longue minute aucun de nous ne parla.

Mais au bout d'un moment, la toute jeune princesse me serra fort le bras, je plongea mon regard dans le sien, et je la pris a mon tour dans mes bras.Elle avait arrêté de pleurer, elle respirais fort dans le creux de mon coup, ça me chatouillait.Je la décolla de ma chemise, l'embrassa sur le front en lui disant que je serais toujours la pour elle, puis je repartit le cœur en joie de l'avoir vu mais triste de la laisser seule.

Maintenant j'ai 20 ans, les parents de Raiponce on découvert notre amour naissant, et m'on autoriser à l'épouser.Je remercie le ciel d'avoir envoyer Maximums a ma rencontre, et d'être en train de faire avancer ma chère femme devant l'hôtel ou nous devons nous marier.


The smell of booksWhere stories live. Discover now