À LIRE ABSOLUMENT AVANT D'ENTAMER LE PREMIER CHAPITRE
Coucou tout le monde! Me voici avec une nouvelle retranscription. Attention, ce n'est pas moi qui ai écris cette histoire. Je répète, ceci est une version réadaptée en Larry Stylinson!
Je citerai les noms des véritables auteurs (car oui, ce chef d'oeuvre a été créé par deux personnes, et vous verrez, ce travail est terriblement limpide dans les deux genres, on ne distingue même pas la différence du style d'écriture!) à la fin de l'histoire.
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Il arrive dans la vie d'un homme qu'il ait envie de mourir ou de vivre. Pour cela il fait n'importe quoi avec n'importe qui. Se vendre en fait parti. Conjuguez cela au masculin. L'argent mêlé de luxure et les voilà prisonniers de ces...
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Octobre et les dix flaques d'eau
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PLayList : Christina Aguilera – Hurt. Cranberries - Linger. Coldplay – Warning Sign. [Choisie par Dairy's Scribenpenne]
ooOoo
Il arrive un jour, dans la vie d'un homme, qu'il ai envie de mourir. La non-existence – parfois belliqueuse, il en rêve tandis qu'il abomine cette coexistence pacifique entre son corps et son âme. L'envie de se défenestrer semble bien pâle comparée à celle de se noyer dans une baignoire. Mais il faut vraiment le vouloir afin de lutter contre son organisme. Il faut vraiment désirer que cela soit la fin pour ne pas happer une dernière bouffée d'oxygène.
Alors ce matin là, il s'habilla comme à chaque aurore après avoir bu son café. Il avait prit par la suite un cliché depuis sa fenêtre de la ville encore ensommeillée à l'aide de son polaroïd. Un carré noir sorti de la fente telle la pellicule de sa vie ; plate et uniformément sombre. Puis le flou surgissait du néant et la tâche se propagea jusqu'à faire apparaître la lumière... Le soleil grignotait des mètres à travers le ciel au fil des secondes ; une nouvelle journée qui commence pour le commun des mortels. Mortel, il l'était. Commun, tout autant. Mais il voulait être différent. Ou du moins, sortir du commun dans la photographie. Remplir une galerie d'intéressés. Son record : cinq esthètes dans la même pièce. Dont lui, s'il pouvait encore se considérer comme l'un d'entre eux. Il noua sa cravate après avoir placé son cliché sur son frigidaire en inox. Il serra fort le nœud, laissant une marge de deux centimètres à peine. Et contrairement aux autres matinées, il ne prit pas de petit déjeuner.
Il se faufila jusque dans sa salle d'eau et se fit couler un bain. Il passa sa paume sous le jet d'eau et tout habillé, il plongea à l'intérieur. C'était glacé. Il s'étonna même de sentir encore le froid rouler sur lui. Il s'étonna encore d'éprouver de la sensibilité corporelle. L'eau lui arrivait au cou. Il ne prit pas la peine de l'arrêter. Salle de bain inondée. Inondée d'images qui ne pouvaient pas se laver. De vêtements sales. Et pour s'ôter toutes ces idées noires de la tête, il se mit à fredonner. Sous l'eau. La tête ensevelie, il avait l'impression que la surface se trouvait à un mètre au-dessus. Pourtant il n'avait qu'à lever la main et il aurait pu saisir le robinet. Son costume qu'il avait payé une fortune flottait autour de son corps amaigri. Ses poumons détériorés par la fumée nocive des cigarettes ne pourront pas tenir bien longtemps. Son sang se gelait d'héroïne. Son cœur battait d'extasie. Il arrive un jour, dans la vie d'un homme, qu'il ai envie de se noyer.
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Sensitive Polaroïd | l.s |
RomanceIl arrive dans la vie d'un homme qu'il ait envie de mourir ou de vivre. Pour cela il fait n'importe quoi avec n'importe qui. Se vendre en fait parti. Conjuguez cela au masculin. L'argent mêlé de luxure et les voilà prisonniers de ces sensitives pola...