Partie à contenu lemon donc âme sensible s'abstenir. J'ai prévenu, ne jouez donc pas les ignorants. Bonne lecture.
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Elle me gifla et m'insulta puis parti. Pour qui se prend elle? Aucune fille ne m'a jamais traiter de la sorte et jamais une fille ne m'avait gifler, même pas ma mère. Malgré tout ça, cette fille était plutôt sexy, une peau bien bronzé, un corps formé avec tout ce qu'il faut la où il le fallait. Elle avait une bouche pulpeuse qui te donne envie de la dévorer. Elle est juste bandante. Oui c'est ça, elle est bandante. Je la regarda s'éloigner quand je reçus un appel d'Eleona:
«Qu'est ce que vous me voulez, je viens à peine de quitter votre bureau alors que ce passe-t-il?!» m'exclamais je. C'est vrai quoi? Je viens à peine de m'en aller et elle m'appelle comme si j'étais à son service.
«Je vous ais décrocher un job alors baissez d'un ton. Vous commencer ce soir à partir de 19h au Provocateur, l'une des boîtes les plus huppées de Manhattan. Vous serez barman alors j'espère que vous avez déjà servit des verres et surtout ne soyez pas en retard et je ne veux aucuns désagréments, c'est ma réputation qui est en jeux. Je me suis porter garante pour vous alors ne me décevez pas.»
«Oh...Merci b...»
«Bonne journée!» dit elle en me coupant la parole et en raccrochant. cette femme est certes largement baisable mais elle n'en ai pas moins détestable. Je pris le bus qui me déposa devant un hôtel pas si mal que ça à Brooklyn, le Park House hôtel. Un hôtel pas très miteux où je logerais le temps de me trouver une maison. Je pense avoir les moyens d'y vivre étant donner que je vais travailler dans une boîte plutôt branchée. Je m'enregistra à l'accueil et pris les clés de ma chambre. J'ouvris la porte et y vis deux lit séparer par une table de nuit marron. Une chambre plutôt faite pour les ados mais bon je n'ai pas les moyens d'avoir plus pour le moment. Je m'allongea sur le lit et ferma les yeux quelques instants. Je revoyais son visage angélique et je m'imaginais encore une fois entrain de la prendre dans mes bras essayant de l'embrasser. J'ai aimé le fait qu'elle m'ai repousser, si elle ne l'avait pas fait je l'aurais qualifié de fille facile et je n'aime pas ce genre de filles, il n'y a aucun défit, aucunes satisfactions à la mettre dans mon lit car je n'aurais pas lutter pour l'avoir. J'aime la difficulté et l'inaccessibilité. Cela me procure du plaisir une fois que je le détiens, c'est comme un trophée durement gagner et bien évidemment mériter. Je finis par m'endormir en pensant que je ne reverrais plus jamais cette jeune fille. Je me réveilla quelques temps après et jeta un coup d'œil à l'horloge. Bordel de merde! il était déjà 18h25 j'allais être en retard. Je me leva précipitamment, pris ma veste poser sur le rebord du lit et sortis de la chambre en vitesse. Je sortis de l'hôtel et appela un taxi. J'arriva juste à temps, 18h57. Je descendis du taxi et lui donna mes derniers 50 petits dollars en poche. J'entra dans la boîte et me dirigea vers le bar. Une femme au cheveux longs et blond m'y attendait. Elle avait l'air sexy, elle l'était. Elle était assise sur le rebord du bar et regarda sa montre avant de dire:
«Pile à l'heure. J'aime les gens ponctuel.»
«J'ai dû faire un effort, je ne voulais pas faire mauvaise impression.»
Elle descendit du bar en se mordant la lèvre inférieure et vint se rapprocher de moi. Elle déposa sa main droite sur mon torse et avança son visage près de mon oreille pour me dire d'une voix sensuelle:
«Même en retard tu ne m'aurais pas fait mauvaise impression.» elle souria puis me regarda. Son regard se voulait aguicheur. Je savais ce qu'elle voulait mais avais je réellement envie de le lui procurer? Je pense que oui. J'avança mon visage et l'embrassa sauvagement. Le seul son qu'elle pu faire fut un gémissement dû à la surprise. Elle passa ses mains derrière ma nuque et resserra notre étreinte. Je la souleva de telle sorte à ce que ses jambes se retrouvent à entourer ma taille. Je la déposa sur le comptoir du bar et me mis entre ses jambes. Sa jupe me permettait un libre accès à son intimité, que Dieu bénisse celui qui l'a inventer. Je continua de l'embrasse puis me décolla de ses lèvres pour m'occuper de son coups, je l'embrassa, le lécha, elle n'arrêtait pas de gémir ce qui me motiva encore plus. Soudainement, je sentis sa main sur mon intimité, elle jouait avec même à travers le tissu de mon jean. Ma bite devenait de plus en plus dure, tellement dure que j'en avais presque mal. Je me mis à déboutonner son chemisier mais je fus agacer et finis par perdre patience en déchirant sa chemise d'une traite. Elle lâcha un cris de surprise et ria, je descendis à ses seins, les libéra de l'emprise de son soutien gorge. J'en pris un dans ma main et mis le second dans ma bouche. Je le lécha, le suça et le mordilla. Elle poussa des cris, de grands cris, tellement fort que je dus lui rentrer un bout de sa chemise dans la bouche. Je ne supportais pas ses cris. Je descendis à sa jupe et lui retira sa culotte. Je lui lança un coup d'œil, elle était là, offerte à moi les yeux remplis de désir et d'envies. Je me redressa et la retourna sur le bar. Je sortis ma bite de mon jean et la lui rentra légèrement puis fis de brusque mouvement. Elle criait de plus en plus, de douleur? Je n'en savais rien et je m'en tapais réellement, je voulais juste baiser sauvagement cette salope sur ce bar. Je continuais de la baiser sauvagement quand elle fini enfin par jouir, sentant que j'étais proche, je la fis descendre du comptoir et la fit se mettre à genoux devant moi l'obligeant à me sucer. Elle ne broncha pas et commença tout d'abord à me lécher. Je renversa ma tête en arrière et me mis à gémir. Elle fini enfin par le mettre dans sa bouche et me suça mais très lentement. Agacer par cela, j'empoigna sa chevelure et la fit aller plus profondément et beaucoup plus vite. Je m'enfonça en elle, je vis à son regard qu'elle n'en pouvait plus mais je m'en branlais. Je continua ma machination jusqu'à atteindre le sommet. Je me déversa dans sa boche puis me retira. Je l'attrapa par la mâchoire la forçant à se relever, mon liquide visqueux commençait à s'échapper de sa bouche alors je resserra mon étreinte sur sa mâchoire et lui dit d'un ton grave et sec:
«Avale le! Aller!»
Elle me regarda l'air remplis de craintes et de désirs puis avala. Je la relâcha et me rhabilla. Elle remit sa culotte, remit sa jupe en place et ramassa sa chemise qui était au sol puis parti en direction du local et elle me dit sans même se retourner:
«Tu as le job. Il y a ton uniforme poser sur le bar. Habille toi et met toi derrière.»
Elle partie, surement pour changer de chemise. Bien sûr que j'avais le job, je venais de lui offrir la baise de sa vie. Je me mis derrière le bar et me changea.La soirée battait son plein, beaucoup d'hommes d'affaires venaient ici et laissait pas mal de billet. J'aimais ce job au final, et puis il y avait pas mal de fille, de quoi avoir quelques numéros en poche. Je servais des boissons, discutait avec quelques filles, rien de bien difficile. Je commençais à ranger quelques verres quand j'entendis:
«Excusez moi!» je me retourna et la vis. Elle était là, dans une robe rouge qui mettait sa taille en valeur. Bordel! Qu'est ce qu'elle fou là? On voit bien que ce bar n'est pas fait pour les enfants. Je la fixa et elle aussi. Elle était juste ultra sexy. Je m'avança et posa mes coudes sur le bar pour la regarder encore plus intensément.
«Que désirez vous?» lui demandais je avec l'un de mes plus beaux sourires.
«Je...Que faites vous là?» cria-t-elle.
«C'est peut-être à moi de vous demander cela. Vous n'êtes qu'une enfant alors que faites vous dans ce genre d'endroit? Vos parents savent où vous vous trouvez en ce moment?» dis je voulant la taquiner.
«Cela ne vous regarde pas. Mais juste pour vous fermez ce clapet insupportable je vais vous répondre. Mon père c'est bien évidemment où je me trouve et cette boîte appartient au père de ma meilleure amie alors que dites vous de ça?» me dit elle avec un large sourire. C'est vrai, cette fille devait être le style de gosse de riches qui pensent que le monde leur ai du. Je la regarda un moment sans rien dire et fini par ajouter:
«J'aurais du me douter, vous êtes le genre de filles à qui tout lui ai offert sur un plateau d'argent je me trompe?»
«Donnez moi juste mon verre de martini s'il vous plais et cessez de faire comme ci vous me connaissez alors que vous ne savez rien de moi.» me dit elle sur un ton sec.
«Si vous voulez votre verre, vous n'avez qu'à venir vous le servir seule.» dis je suivis d'un sourire.
«C'est une blague?!»
«Non je suis très sérieux. Mlle gosse de riche.» bien évidemment c'était une blague. Je savais qu'elle allait vouloir faire un scandale et qu'elle chercherait par tout les moyens à ce que je la serve. Je continua à la fixer. Elle me souria, me tourna le dos et s'asseya d'un saut sur le comptoir. Que fait-elle? Elle se tourna face à moi et sauta:
«Très bien!» dit elle en prenant un verre à mélange, y versa le vermouth et le gin dedans puis le rempli de glaçon, le frappa ensuite avec une cuillère à mélange de haut en bas elle versa enfin le contenu dans le verre à martini et y ajouta un cure dent d'olive . Je regardait ses mains expertes faire le boulot. Une fois fini elle me regarda et bus son verre cul sec.
«Excusez moi! Je voudrais un cosmo svp.» une jeune femme venait de demander sa boisson au bar à cette fille ultra sexy que j'avais à coter de moi. Elle me regarda tout d'abord indécise puis se mit à rire.
«Pas de soucis!» elle commença à préparer la boisson de la jeune femme et le lui tendit. Elle se retourna vers moi et souria:
«J'ai travailler dans un bar et même si je suis immensément riche, je peux te dire que je sais ce que ça fait de devoir travailler alors ne me prend pas pour une idiote.»
«Très bien.» dis je en me rapprochant d'elle. «Je suis Caleb.» repris je en lui tendant ma main. Elle me regarda quelques instants, un regard remplis d'hésitation puis me souria. Son sourire était juste parfait. Elle prit ma main et me dit:
«Et moi je suis Nayah, Nayah Williams. Enchanté.» dit elle en souriant de plus belle. J'avança un peut plus vers elle, j'étais comme aimanter par elle, elle m'attirait vraiment.
«Nayah? Mais qu'est ce que tu fais?» dit un jeune homme assez mince de l'autre coter du comptoir. Son regard se dirigeait vers moi puis vers Nayah. Elle se retourna:
«Conrad.....»********************************************************************************************************************************
Et voilà fin du 3ème chapitre. J'espère que mon histoire vous plaira. Que pensez vous qu'il se passera?
Je posterais la partie 4 dans pas longtemps puis j'attendrais de voir si des gens lisent mon histoire pour publier de nouvelles parties. J'espère que vous serez nombreux. En tout cas n'oubliez pas la petite étoile et si vous aimez ce que vous lisez n'hésitez pas à partager. XOXO
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Unbreakable (French)
Romance«-Je suis dangereux! Tu devrais rester loin de moi - Montre moi à quel point tu est dangereux.» Quand Nayah Williams, jeune étudiante en droit avec un avenir plus que prometteur fait la rencontre de Caleb ancien détenu. Sa vie toute entière risque d...