Unbreakable (French)

Caleb

Je lui dépose son petit déjeuner sur la table et attend qu'elle daigne descendre en détaillant son appartement du regard. Je me dirige vers un portrait poster au dessus de la télévision du salon. Je détaille la photo de plus près et y voit un homme avec une posture très assuré et souriant, il ressemble incroyablement à Nayah, les mêmes traits. Son visage est dirigé vers une femme qu'il tien par la taille. Il l'a regarde avec amour, comme un vrai passionné. La jeune femme le regarde avec un large sourire qui me fit rappeler Nayah immédiatement elle était assez grande avec une assez jolie taille et de très belles formes. Ils formaient un parfait petit couple. Je compris tout de suite que c'était les parents de Nayah quand je remarqua la petite fille à leur coter. Elle était si mignonne, souriante, si heureuse. Vraiment adorable. Je balaya ensuite la pièce du regard et tomba sur un portrait magnifique de la même femme qui était sur la photo au dessus de la télé. Cette fois ci, cette photo était centrer sur son visage. Elle avait des traits si fins et bien dessinés. Son teint était si caramélisé, une peau magnifique ainsi que de magnifique cheveux. Encore une fois, elle souriait sur la photo, ce qui donne l'impression qu'elle est une femme qui aime rire. J'aimerais voir Nayah un jour avec le même sourire; le même bonheur. Mais qu'est ce que tu raconte abrutis ? La sauté ! La sauté ! Stop on s'arrête là ! me rappela ma conscience. Je pris la photo dans les mains et la contempla un peut plus.

« Elle était belle n'est ce pas ? » je reposa immédiatement le cadre et me retourna pour la voir postée devant moi le visage si... nostalgique. Elle avait ce demi sourire que les personne triste arbore lorsqu'ils essayent de faire croire que tout va bien.

« Etait ? Je ne comprends pas, tu veux dire... »

« Elle est morte quand j'avais 10 ans. » ! dit elle en se rapprochant du cadre pour le prendre en main. Elle caressa le cadre comme si elle cherchait à caresser le visage de sa mère. Ceci dura quelques petites minutes. Elle le reposa par la suite et repris. « Elle est morte le jour de mon anniversaire. Un accident de voiture, par ma faute. » Ses yeux étaient remplis de larmes et je n'avais qu'une envie, la prendre dans mes bras et lui faire oublier tout ce drame par mes simples caressent et mes baisers mais je me contrôla et la regarda sans rien dire. Elle m'adressa un sourire triste puis frotta légèrement ses yeux pour éviter de pleurer. « Pas le temps pour les mélodrames, excuse moi mais je dois aller travailler. » me dit elle. C'est vrai qu'elle n'était pas habillé comme une personne qui comptait rester chez elle à glander devant une stupide émission télévisée. Elle avait une jupe crayon noir lui arrivant aux genoux et un débardeur jaune canaris qui lui allait très bien au teint, enfilé dans la jupe. Une paire d'escarpins jaune et une petite veste noire posée sur le sofa.

« Bien sûr, je dois aussi y aller j'ai un rendez vous. » J'avais complètement oublier ce putain de rendez vous avec cette Elena Lewis, je sentais d'ailleurs qu'il n'allait pas me plaire étant donner que j'ai été renvoyer de mon travail. Je me dirigea en direction de la porte mais Nayah m'interpela.

« Tu devrais peut-être... euh... prendre ta douche ici. Je veux dire par là que ça t'évitera de perdre du temps et puis j'ai des vêtements que mon père oublie de prendre quelques fois, tu peux me les empruntés et les amenés la prochaine fois. » me dit elle d'un air gêné.

« Je suis sûr que tu fais ça parce que tu veux que je reviennes. Mais bon tu as raison, je gagnerais du temps. » dis je en souriant. Elle leva les yeux au ciel comme étant agacé par mon satané comportement et monta les escaliers. Je lui emboita le pas et la suivie.

Elle m'avait donner une chemise blanche avec un pantalon de costume noir qui sans me vanter m'allait parfaitement bien. Je ne suis même pas sûr que son père porterait cela avec autant de classe ! Elle m'avait également laisser une cravate que je refusa de mettre, cela faisait trop sérieux, trop lèche cul et je ne voulais sûrement pas me faire passer comme tel. Je descendis au salon et la vit entrain de m'attendre patiemment.