Unbreakable (French)

Caleb

J'ai encore couché avec elle. Depuis quelques semaines, je n'ai pas toucher d'autres filles qu'elle. Qu'est ce qui m'arrive ? Elle est fiancée, elle va se mariée et donc faire sa vie. Je la regardais dormir paisiblement après cette nuit torride que nous venions de passer. Elle était vraiment jolie, un vrai sucre si je ne m'abuse. J'aimais la regarder dormir après nos ébats sexuels, j'aimais voir son visage si tranquille, si apaisé. Mais comme à chaque fois, je me leva et sortis de sa chambre avant qu'elle ne m'aperçoit. Je pris une bonne douche froide pour remettre mes idées en place quand mon téléphone sonna.

- Allô ?

- Aleck, c'est moi.

Je me figea sur place. Rien que d'entendre sa voix, j'avais comme un petit pincement au cur. Que me voulait-il ? J'avais beau essayé de changer de vie, je sentais que mon passer ne cessait de me rattraper.

- Qu'est ce que tu me veux ?

- Te parler. Papa ma dit que votre rencontre c'était mal passée.

- Et donc ?! M'exclamais- je.

- Je voudrais te voir, que l'on puisse discuter toi et moi.

- Écoute, comme j'ai pus le dire à ton père. Mon prénom est Caleb et je ne veux plus jamais avoir affaire à vous c'est entendu ?

- Je

Je ne lui laissa même pas le temps de répondre que je raccrocha. Merde ! Il faut que je me change les idées. Je le dirigea directement dans la chambre de Nayah pour la parsemer de baisers tendres dans le coup. Elle poussa quelques petits gémissements puis se réveilla.

« Salut » me dit elle avec un large sourire. C'est fou comme elle peut être tout aussi magnifique au réveil.

« Salut » dis je en continuant de l'embrasser dans le coup. Elle me stoppa pour se lever et filer dans la salle de bain. Sans comprendre, je la suivis et vis qu'elle se brossait les dents. Je ne pus m'empêcher de rire.

« Y a rien de drôle, désolé mais avant que tu ne tente quoi que ce soit je préfère être clean » dit elle. « Maintenant sort, je veux me laver » je fis mine de sortir, attendant qu'elle entre dans sa baignoire puis ouvrit la porte de la douche et y entra à mon tour. « T'es complètement fou ou quoi ?! Sort d'ici tout de suite ! » s'écria-t-elle.

« Pas besoin de jouer les prudes. Je connais ton anatomie et tu connais le mien » je m'approcha d'elle et l'embrassa. « Je veux le faire ici et maintenant ».

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« Vous avez le poste, bienvenue » me dit le gérant du bar. Je venais enfin de trouver un job, avec un vrai contrat. Et ce qui m'arrangeais fortement était le fait que le patron soit un homme et non pas une femme que j'aurais pus sauté comme je l'aurais voulus. Et puis j'allais enfin pouvoir quitter l'appartement de Nayah même si je ne voyais pas cela comme une contrainte, au contraire. Mais il était temps d'arrêter d'abuser de son hospitalité. Le gérant venait même de me donner les clés de l'appartement qui se trouvait au dessus du bar, tout était bénéfique pour moi. Je pouvais emménager le jour même mais je décida de passé une dernière nuit avec Nayah. Pourquoi la dernière ? Parce que je comptais la laissé vivre sa vie avec son futur mari. Je comptais ne plus jamais la revoir et passer à autre chose. Je rentra à la maison qui était vide, elle devait être à la fac. Je sortis les courses que je venaient de faire et me mis aux fourneaux. J'arrangea la table du salon. Déposa des bougies dans chaque recoin de la pièce puis les alluma pour donner un ton plus calme, plus romantique. La nourriture était prête, je la posa à table et la couvris. Quelques minutes plus tard elle fit son entrée dans le salon.

« Wouahou ! » s'exclama-t-elle. « C'est incroyablement beau ! »

« Ravi que ça te plaise »

« C'est pour quelle occasion ? »

« Disons que je viens de trouver un travail »

« Oh, je suis si heureuse pour toi ! » elle me sauta directement au coup et sans m'y attendre elle m'embrassa tendrement. « Pardon, je me suis laissé emporter » dit elle en me lâchant gêner.

« *raclement de gorge* T'en fais pas. Assied toi » je lui tira la chaise et elle sessaya. « Je voulais te remercier pour tout, voilà pourquoi j'ai fais ce dîner. Merci de m'avoir héberger et supporter même si je sais que tu as su tirer un très bonne avantage de la situation » lui dis je avec un sourire qui se voulait plus que provocateur.

« Pourquoi est ce que tu me dis ça comme si tu me disais ''ô revoir'' ? » je l'a regarda quelques instants et sans lui répondre, je l'invita à manger. « C'est vraiment trop bon, t'es un vrai petit cordon bleu »

« *rire* J'ai juste suivis la recette sur internet. *rire* »

Le repas se passa très bien. Elle me faisait des blagues de temps à autres, ou alors elle cherchait à m'embêter. C'est fou mais lorsqu'elle est avec moi, son coté ''gamine'' ressort énormément. C'est ce qui l'a rend attachante. On ne faisait que rire en sirotant notre vin. Je la regardais droit dans les yeux et je pensais au fait que ce sera la dernière soirée que je passerais avec elle. Je me rapprocha d'elle, prit son verre de vin et le posa sur la table. Je la regarda quelques secondes puis l'embrassa langoureusement. Notre baiser était doux, désespéré. Comme si je ne voulais plus la lâché. Je l'attrapa par les hanches et la fit s'asseoir à califourchon sur moi. Je continua mes baisers sur son coup puis continua mon chemin sur la base de ses seins. Elle laissa tomber sa tête en arrière et se mit à gémir de plus en plus. Je lui enleva son t-shirt et dégrafa son soutien gorge. Elle commençait à dessiner des cercles sur moi ce qui ne laissa pas mon entre jambe dans l'indifférence. Je la fis basculer sur le sofa et enleva à mon tour mon t-shirt. Elle parsemait mon corps de tendres baisers, très lentement. Ce qui me rendait complètement fou. Je lui redressa la tête et l'embrassa avec fougue. Je la porta soudainement pour l'amener à sa chambre. Je l'allongea sur le lit et lui enleva son bas ainsi que le mien. Je me mis au dessus d'elle et la regarda encore une fois droit dans les yeux. Elle est si belle. Je l'embrassa une nouvelle fois avant de la pénétré. Je faisais de lents va et vient tandis qu'elle ne cessait de gémir de plus en plus fort, comme si ses gémissements suivaient ma cadence.

« J'en peux plus » gémit-elle. Nous étions au bord de la jouissance, je le sentais cela n'allait pas tarder. Je l'embrassa et à l'unissons nous arrivèrent à destination. « Promet moi de toujours être avec moi » sur le coup je me figea. Je ne savais pas quoi lui répondre puis je répondis tout simplement ce que je lui aurait répondu si ma vie aurait été simple.

« Je te le promet. Je serais toujours là »