Caleb

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Je descendis de la voiture à mon tour et entra dans sa maison. Pas mal, très spacieuse pour une jeune femme célibataire . Elle porte décidement bien son surnom. Je m'assois sur le sofa et la regarde enlever sa veste ainsi que sa paire de basket. Elle avance en direction de la cuisine et commence à ouvrir les placards jusqu'à trouver des sachets de bonbons, puis ouvre le tiroir pour sortir une cuillère et enfin sort un pot de glace avec de la chantilly et une bouteille de coulis de chocolat. Elle vint s'asseoir sur le sofa à deux place loin de moi. Je la regarde déposer le tout sur la table. Ah les gamines de nos jours et leur cochonneries. Elle me regarda un instant, ne sachant pas quoi faire ni même quoi me proposer. Chérie tu as voulu m'inviter chez toi alors assume ! pensais je.

« Tu veux... Tu veux boire quelque chose. » me demanda-t-elle tout en mettant tout le tas de cochonneries dans sa glace puis portant la cuillère à sa bouche. Je la regarda faire un moment puis m'approcha d'elle comme un tigre s'approcherait de sa proie si fragile.

« Je veux bien un peut de ta glace. » dis je en la regardant droit dans les yeux. Je savais que je l'intimidais mais pas à ce point là. Elle a toujours su garder un minimum de contenance face à moi depuis que je la connais et c'est bien la première fois que je la voit aussi vulnérable.

«D'accord, je...je vais te prendre une cuillère et...»

Je ne lui laissa même pas le temps de finir sa phrase que je pris la cuillère qu'elle tenait en main et la porta à ma bouche sans détourner les yeux bien sûr. Je voulais la rendre faible, la déstabilisée me procurais un sentiment de plaisir. J'aimais cette situation. Elle ouvra la bouche et ne bougea plus, ce qui me fit sourire de plus bel.

« Ce que je veux, c'est manger cette glace avec toi Nayah. » dis je d'une voix plus rauque qu'à l'accoutumer.

-« D'a...D'accord. Ok. » dit elle en essayant de se redonner une certaine assurance. Bien évidemment ce fut un échec. Elle se tortillait, ne savant plus où se mettre. Elle n'osait plus me regarder et tournait la tête comme si elle cherchait un moyen pour s'échapper. Mais même si elle le trouvait, elle ne pourrait pas m'échapper, pas maintenant, pas cette nuit.

« Tu aimes la glace Nayah n'est ce pas ? »

Elle hocha juste la tête en guise de réponse.

« Tu en veux encore. Répond moi avec des mots cette fois. »

« Ou... Oui. »

Je porta une nouvelle bouchée de cette glace à ma bouche mais cette fois ci je ne l'avale pas, je m'approche d'elle et me penche à ses lèvres. Elle me regarde confuse, comme si elle voulait comprendre ce que j'allais faire. Tu verras beauté. Je compte prendre mon temps avec toi et pour ça j'ai toute ma soirée. Je posa mes lèvres sur les siennes et força le passage pour l'embrasser. Je déversa alors le contenu dans sa bouche et je continua à l'embrasser. Le froid se mêlait à nos langue qui se goûtaient et partaient en exploration l'une contre l'autre. Je laissa tomber la cuillère sur la table et lui attrapa sa cuisse que je fis remonter jusqu'à mes hanche. Elle passa ses mains autour de ma nuque et continua à m'embrasser. Notre baiser se fit de plus en plus profond. Je manquait d'air mais cela ne m'importait peut. Je la veux, ici et maintenant. Je lâcha sa bouche pour déposer un collier de baisers dans son coup. Elle laissa échapper un gémissement. Je la tiens ! Ses hanches se mirent à se remuer tandis que je faisais de léger mouvements de va et viens entre ses jambes. Malgré les tissus, je pouvais ressentir son désir pour moi et elle c'est sûr qu'elle ne pouvait louper le mien tant il était dur et qu'il grossissait au fur et à mesure. Je n'ai jamais ressenti une telle envie envers une personne. C'est fou mais je sais que je serais capable de jouir rien qu'en mimant et m'imaginant la baisée ici, sur ce sofa. Je ne peux plus me retenir. Je descends le zip de sa fermeture et lui enlève sa combinaison. Bordel ! Qui est l'enfoiré qui a inventer ça ?  Je balance son ensemble au sol et je la contemple quelques instant. Elle est là offerte à moi, son regard m'inspire l'envie, le désir mais aussi la peur. Elle respire fort, son corps se soulève à une vitesse extrême. Elle aussi, elle n'en peut plus. Elle est à ébullition je le sens. J'enlève mon t-shirt et me positionne au dessus d'elle. Je l'embrasse avec une fougue légendaire, je ne me connaissais pas ainsi, si passionné. J'embrassa son coup tout en caressant son ventre ainsi que son sein gauche. Des soupirs de plaisirs se faisaient entendre dans toute la pièce. Elle aimait ce que je lui procurait et j'aimais ce qu'elle me faisait ressentir. Je descendis mes lèvres jusqu'à son sein droit, je déposa de légers baisers sur le haut de son sein encore cacher par son soutien gorge. Celui ci commençant réellement à m'agacer se retrouva au sol. J'empoigna fermement son sein droit et le porta à ma bouche. Cette fois ci, ce ne fut pas un soupir mais un gémissement qui s'échappa de ses lèvres pulpeuses. Elle se cambra et passa ses mains dans mes cheveux. Elle en veux plus ! Alors je fis de même avec le sein gauche, la faisant une nouvelle fois gémir. Elle me rend complètement fou, chaque soupirs, chaque gémissements me procure un énorme plaisir. Je descend jusqu'à son bas ventre et y dépose un tas de baisers. J'empoigne ensuite les extrémités de son boxeur et le lui retire. Enfin ! Je l'ai rien que pour moi. Elle me regarde avec des yeux pleins de désirs. Elle en veut encore. Je sais ce qu'elle veut, mais je veux qu'elle me le demande, qu'elle me supplie de la prendre et de la faire jouir. Je veux que cela vienne d'elle, je ne veux pas la voir regretter ou m'accuser d'avoir profiter de sa faiblesse. Alors je commence à lui déposer des baisers sur le bas de la jambe gauche tout en remontant au creux de ses cuisses puis je dépose des baisers sur le haut de ses cuisses. Je fais de même avec la jambe droite, elle n'en peut plus. Elle se tortille, se cambre et essaye de s'aggriper au sofa. Ses gémissement se font plus suppliant, elle est à deux doigts de craquer. Je continua machinalement ce que je faisait, une fois, deux, trois et au bout de la quatrième je l'entendit quémander :

Unbreakable (French)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant