Caleb

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Je rentra dans la boîte, me dirigea vers le comptoir et pris un sachet et y fourra de la glace dedans. Bordel je suis vraiment qu'un taré, je n'aurais pas du rentrer dans le jeu de ce petit imbécile mais je me connais, je ne sais pas contrôler mes pulsions. Et puis ça faisait tellement longtemps que je n'avais pas ressenti cette putain d'adrénaline que je ne pus m'empêcher de sauter sur l'occasion. Je me retourne pour repartir à l'extérieur quand ce petit branleur revient avec la gérante le sourire au lèvre. Je n'ai pas besoin qu'elle parle pour savoir ce qui me pend au nez.

«Vous !» s'exclama-t-elle, «Vous êtes viré, je ne peux toléré ce genre de comportement au sein de cet établissement et...» je ne voulais pas en entendre plus, elle m'exaspérais complètement. Je sortis de la boîte et vis Nayah la tête dans ses bras assise sur un trottoir. Elle leva la tête pendant que je m'avançais en sa direction pour finalement m'agenouiller face à elle, elle me regarda confuse tandis que je posa le sachet de glace sur son œil gauche légèrement gonflé. Elle plongea son regard dans le mien quelques instants, mais ces quelques instants me parurent une éternité. Elle est si sexy, même avec ce sachet de glace sur les yeux. Elle finit alors par me sourire et par me murmurer un doux et léger «Merci». Je retira peut de temps après le sachet de son œil et me posa à ses côtés. Elle pivota vers moi et me demanda :

«Tu ne retourne pas travailler ?» Je souffla tout en regardant le ciel étoilé .

«Non. Grâce à ton petit ami de génie, j'ai été renvoyer»

«Comment ?! Mais pourquoi ?!» demanda-t-elle indignée voir même gênée comme si tout cela était de sa faute.

«Et bien ton chers ami est aller trouver la gérante et lui a tout bonnement expliquer que je n'étais qu'un voyou qui ne méritait pas sa place ici. Bien évidemment elle ne me laissa pas m'expliquer et écouta le gosse de riche.»

«Je suis désolé. J'irais parler à la gérante, et je lui expliquerais...»

«Pas la peine.» dis je en la coupant. «Cet endroit ne me plaisait pas tant que ça. Mais je suis juste un peut déçu qu'elle n'ai pas daigner connaître ma version. C'est vrai quoi ! Elle me devait bien ça après la bonne partie de baise que je venais de lui procurer des heures plus tôt.» ajoutais je en la regardant avec un sourire plein de malice. Elle se leva d'un bon et s'écria :

«Tu as couché avec Molly ?!» sa réaction m'arracha un léger sourire. Cette fille est bien ce que je me disais, un excellente distraction. Elle semble si naïve, si...saine d'esprit. ELLE N'EST PAS FAITE POUR TOI ! Me dit ma conscience qui ne pouvait s'empêcher d'intervenir sans cesse. Je sais qu'elle n'est pas faite pour moi mais justement, j'aime ce qui m'est interdit. Je suis comme ces enfants qui aiment jouer avec des choses dangereuses alors que ça leur est expressément interdit.

«Coucher est un bien grand mot Mlle gosse de riche.» dis je en me levant à mon tour. J'ai envie de jouer, de lui faire perdre la tête. J'avança vers elle mais celle ci me voyant m'approcher recula. Je continuais d'avancer vers elle sachant pertinemment qu'elle sera bientôt coincer entre moi et ce foutu grillage qui se trouve derrière elle. Un rictus malsain se dessina sur mes lèvres. J'avança encore un tout petit peut pour qu'elle soit enfin contre le grillage. A sa tête je pouvais comprendre qu'elle lâchait un juron contre ce grillage. Je posa alors mes mains de chaque coter de son visage et abaissa mon visage jusqu'à ce que mes lèvres soient à la limite des siennes et je repris :

«Disons que je l'ai baiser... For, sans aucune considération pour son corps, je l'ai malmener et je peux te dire qu'elle a aimer ce que je lui ai fait.» je sentais que mes mots la touchait au plus profond de son corps au moment où elle ferma ses yeux. Je suis sûr qu'elle s'imagine toutes les choses incroyable que j'ai pus faire. Au moment où elle ré-ouvra les yeux, je colla mes lèvre au sienne. Voilà ! C'est tout ce dont j'avais envie depuis le début de la soirée. Je retira mes lèvres des siennes pour les faires descendre à son coup. Je déposa tout d'abord de tendre et léger baiser pour savoir à quel point elle serait réceptive. Elle renversa alors sa tête en arrière pour me laisser libre accès à son coup. Alors je le lécha, l'embrassa, le mordilla et entre deux baisers je lui dit avec une voix emplie de désir :

Unbreakable (French)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant