Chapitre 27

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Puis les jours passaient, cela faisait au moins une semaine que tout le monde n'avait pas revus des zombies. Un soir en zappant sur la télécommande de la télévision, Clothilde eût l'heureux plaisir de découvrir que les Etats Unis lançaient un appel à tous les survivants dans le monde entier. Toute heureuse, elle avait annoncé la nouvelle et ils prient la décision de partir rejoindre l'Amérique.

« - Je vous préviens, il va falloir qu'on me traduise l'anglais, s'écria Léna toute heureuse.

- On s'aidera alors, dit Camille. »

Tout le monde étaient heureux, même très pressés. Dans l'annonce qui était passée sur la télévision, ils devaient se rendre demain à l'aéroport de Madrid. Camillou connaissait le chemin, mais il fallait partir tout de suite pour y être à temps. Camillou les emmena donc dans son garage, le seul endroit qu'ils n'avaient encore jamais vu. Ils y rentrèrent tous un part un. Ce garage était grand, il pouvait au moins tenir quatre voitures. Dedans se trouvait juste que deux voitures, mais tout le monde hormis Camillou, badaient sur les voitures. Elles étaient tellement belles, mais il fallait prendre la plus grande car ils étaient cinq à présent. A droite se trouvait une belle décapotable blanche, mais bien trop petite pour la prendre, a gauche, un beau 4x4 noir, c'est absolument ce qu'ils leur fallaient. Ils prirent tous ce qu'ils avaient besoin d'emporter et tout le monde ce mit dans la voiture. Camille ouvrit le garage à l'aide d'une clef où elle avait juste à appuyer dessus et c'est Léna qui se mit au volant avec Camille sur le siège passager avant. La route était longue, même Camillou avait failli indiquer la mauvaise direction à Léna. Quelques fois on entendait, on s'entendait le craquement des os sur lesquels la voiture rouler. Léna essayait tout de même d'éviter les gens morts. Quelques fois aussi ils croisaient des zombies, qui sans bouger, regardaient la voiture partir loin d'eux, ou d'autres qui ce jetaient sur la voiture, mais tellement Léna roulait vite qu'ils retombaient directement par terre. Le lendemain matin, ils étaient enfin arrivés à l'aéroport. Ils furent accueillis par des militaires qui surveillaient les alentours, puis un les prix en chargent, en leur faisant signe de venir. Tous descendirent de la voiture, rejoignit celui qui les appelaient et ils les emmena effectivement devant un grand avion. Les visages de tous étaient illuminés, pour l'instant ils étaient encore en vie et ils allaient enfin pouvoir être protéger. C'étaient le rêve de ces cinq gens qui allait commencer ; revenir à une vie plus normal que désastreuse. 



                                                         Fin du premier tome.


La Peur Des VivantsWhere stories live. Discover now