Je ne savais pas pourquoi il me battais, je ne savais point pourquoi il me haïssait.
Courbé par terre, je criais et pleurais de douleur.
Il me regardait fixement, terriblement et cruellement.
Je ne savais pas pourquoi ,
Pourquoi me piétinais tu ainsi, ne voyais tu donc pas comment j'étais petit?Cet homme grand et fort, cet homme qui me lançais souvent sans effort.
Ma peau rougissait, quelques un de mes dents tombaient.
Son point me tabassais et la plus part du temps mon nez saignait.
Je ne savais pas pourquoi il me battais, je ne savais point pourquoi il me haïssait.
Criant le nom de sa femme, le nom de cette dame qui le regardais me faire du mal.
Bourré tout les soirs je le vois souvent pénétré dans ce couloir.
Un couloir témoin de son pouvoir.
Son pouvoir lâche qu'il utilisais sur moi sans relâche.
A la base je ne faisais que m'amuser mais pour lui jouer était un péché
Combien de fois m'as tu lancé contre ce mur?
Combien de fois impuissant, je te suppliais entre quelques murmure?Je ne savais pas pourquoi il me battais, je ne savais point pourquoi il me haïssait.
Maman étant devenu sa servante, elle ne me protègeais plus et ne s'en souciais plus.
Mes larmes coulaient tous les jours, inquiet toute la journée en sachant qu'il allait tôt ou tard me frappé.
Je ne savais pas pourquoi il me battais, je ne savais point pourquoi il me haïssait.
Un jour mon corps c'est affaibli, je ne le sentais presque plus.
Allongé au pied de ce mur, j'entendais son souffle dur.
Mes larmes ont coulés, voyant au loin ce qui venait me chercher.
Maman ce jour à paniqué, c'est approché mais c'est encore dégonflé.
Mes yeux ce sont fermés, mon âme peu à peu m'as quitté.
Je ne savais pas pourquoi il me battais, je ne savais point pourquoi il me haïssait.
Je me rappelle encore de son visage, ce visage de rage qu'il avait toujours eu à mon égard.
Jamais je n'oublierais, jamais je ne lui pardonnerai.
Je ne savais pas pourquoi il me battais, je ne savais point pourquoi il me haïssait.
Un homme qui devait remplacé mon père, mais qui à la place me laissais que des plais.
Mon père qui était si gentil, si compréhensif.
Lui qui était si beau, malheureusement nous a quitté trop tôt.
Mère dévasté par cette perte c'est déniché la première des têtes.
Je ne savais pas pourquoi il me battais, je ne savais point pourquoi il me haïssait.
Aujourd'hui il a eu ce qu'il voulait, ce soir là qui était un vendredi il avait réussi à me prendre ma vie
Maman ce jour avait appelé la police mais quelle fin triste, j'étais déjà parti.
~ POINT DE VU EXTÉRIEUR~
STOPPONS LA VIOLENCE DE NOS ENFANTS AVANT QUE LA MORT NE LA STOP À NOTRE PLACE.
LAWMICLAVE.