Les Pevensie et les Pensia || tome 1||

Chapitre 1

Marina Pensia était allongée sur son lit, en train de lire un livre quand elle entendit la sonnette de la porte d'entrée sonnée, elle ouvrit la porte sur deux policiers, un homme et une femme, qui affichaient une triste mine. La femme prit la parole et lui annonça d'une voix douce et compréhensive que sa mère venait de mourir dans un accident de voiture. La jeune fille claqua alors la porte au nez des deux policiers, car elle refusait obstinément d'y croire. C'était impossible, sa mère était seulement partie acheter du pain, elle ne pouvait point être morte. Les policiers résonnèrent et Marina leur ouvrit et elle leur cria :

– JE SAIS QUE VOUS MENTEZ ? ALORS, ARRÊTEZ DE ME DIRE DES CONNERIES ET DITES-MOI OÙ EST MA MÈRE.

– Je suis navré, répondit la policière, mais votre mère est bel et bien décédée dans un accident de la route, nous comprenons votre réaction, mais elle ne vous mènera nulle part à présent.

– Mais... c'est... impossible.

– Si ça l'a ! répondit le policier qui prenait la parole pour la première fois, vous allez être placé sous la garde de votre père.

– Il est mort. Répondit-elle.

– Oh... Dans ce cas, nous allons vous placer chez une personne de votre famille, suivez-nous au poste de police.

Les policiers bataillèrent à lui trouver une famille, mais finalement ils la placèrent chez un oncle lointain qu'elle ne connaissait pas.

Une policière l'emmena chez elle pour qu'elle fasse rapidement ces bagages pour aller chez Mr Grode, son oncle.

À 20 h précise son train s'ébranla puis se mis en route, pour l'emmené fasse à son destin.

Le voyage en train dura 5 heures durant lesquelles Marina passa son temps en pleurant et en étant plongée dans ses pensées.

Elle arriva chez son oncle, celui-ci étant venu la chercher à la gare, vers 1 heure du matin. Mr Grode dit à sa nièce :

– Alors mon enfant, comme ça ont à eu envie d'allé voir tonton Grodi, car tes parents ton énervé ?

La jeune fille le regarda avec un air de profond dégoût et d'horreur mélangée puis elle prit la parole que les larmes contenues rendaient rauque :

– Ma mère vient de mourir et mon père est mort depuis longtemps déjà, vous êtes la seule personne de ma famille encore en vie !

– Oh ! Vraiment ! C'est bien dommage, mais tu vas vite les oublier tes parents ne t'en fais pas, maintenant si tu allais te coucher, choisit une des chambres qu'il y a à l'étage. Bonne nuit.

Marina ne lui répondit même pas tellement elle éprouvait du dégoût envers cet homme. Non, mais pour qui il se prenait, remplacé ses parents ! ! Il ne savait même pas qu'elle était orpheline ! ! À cette pensée la jeune fille pâlie a vu d'œil.

Elle se dépêcha de monter et ouvrit la porte de la première pièce ou se trouvait simplement un lit, un placard et pour toute décoration un miroir. L'adolescente sortit une chemise de nuit de sa valise et la passa rapidement. Elle se doutait qu'elle ne dormirait pas, mais elle devait essayer. La jeune fille se coucha, mais elle tourna un long moment avant de plonger dans les bras de Morphée desquelles elle sortit bien vite à cause d'un cauchemar dans le quelle, elle voyait son père mourir, puis sa mère. Marina passa, le restant de la nuit a pleuré.

Son oncle vient la réveiller en début de matinée (il était à peine 7 h) pour lui dire de se dépêcher de déjeuner, se laver et s'habiller, car il devait se rendre à une réunion importante et qu'il la déposerait chez une de ses amies avant de s'y rendre