Chapitre 17

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Le noir qui entoura Marina fut dispersé quand celle-ci tomba brusquement dans l'eau. Celle-ci s'infiltra dans la bouche de la jeune femme quand celle-ci par réflexe voulut crier. Marina était au fond de la mer ou océan elle ne savait pas. L'eau avait rempli ses poumons et elle dut faire des efforts surhumains pour pouvoir se propulser à la surface. La première chose qu'elle fit à la surface fut de cracher toute l'eau absorber, puis de respirer une grande bouffée d'air frais. Ensuite elle nagea tant bien que mal jusqu'à la terre ferme, et s'extirpa de l'eau avec de grandes difficultés. La jeune femme était gelée, elle n'était quand jupe et débardeuse, car c'était l'été chez elle, mais de toute évidence ici on approchait plutôt de l'hiver. De plus le fait que ses vêtements étaient trempés n'arrangeait rien. La jeune femme les essoras du mieux qu'elle pût, puis regarda de partout pour ce repéré. Elle vit très vite le château de Caire Paravel, mais le seul problème c'est qu'elle n'était pas du bon côté du rivage! Elle jura entre ses dents. En plus elle était très inquiète pour son frère et sa sœur. Elle réfléchissait à un moyen d'aller vers le château, même si elle ne savait pas si Cynthia l'usurpatrice y était toujours. Cependant elle se retourna vivement en entendant du bruit qui venait de derrière elle. Des hommes, sûrement des pirates la dévisageaient.

- Tu es qui, toi? Fit un des hommes sûrement le chef.

- Heu... Marina, je...

- Rien à foutre de ta vie! Lui lança le chef. On t'emmène à au chef des chefs.

- Le grand Roi Peter. Demanda timidement Marina, mais elle se prit un coup de pied dans le ventre.

- Ne parle pas du roi, nous nous obéissons cas nous. Viens.

Marina gémit, mais dans quel pétrin elle s'était mise? Elle se fit traîner par les pirates. Elle entendit des bouts de phrases qui lui firent vraiment peur comme « Peut-être que le patron l'épousera, elle est plutôt pas mal pour une gamine » ou encore « Sinon, le patron nous permettra peut-être de la bouffer, ça va faire une semaine qu'on à pas manger de l'humain » « Ouais leur chair est tellement tendre à ses filles d'Ève et fils d'Adam, Mmm un vrai délice. »

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Salomé était aussi mal logis que sa sœur, voir plus. Elle avait atterri en pleine forêt. Celle- ci était tellement dense que la lumière du jour ne passait pas. En plus elle était seule. Et ceci était ce qui lui faisait le plus peur. Cependant, comme un malheur n'arrive jamais seul, une pluie commença à se creuser un chemin à travers les arbres, cassant ainsi leurs branches, de manière à ce que certes la lumière passe, mais aussi la pluie. Celle-ci était violente, creusant des impactes sur le sol, le vent se mit à souffler faisait vaciller les arbres qui furent presque déracinés. Quand un éclair tomba à quelque pas d'elle, Salomé se décida à trouver un endroit où s'abrité. Elle pénétra dans une grotte, et se cala contre la paroi, qui étrangement était douce et... POILUE! Salomé se releva d'un bond scrutent l'obscurité, elle vit une forme bouger, et une autre, et encore une!

- Attraper là! Fit une voix menaçante, sûrement celle d'un loup pensa la petite fille.

Elle tourna rapidement les talons et se précipita dehors, il pleuvait toujours autant, mais elle préférait attraper un rhume qu'être bouffer vivante. Cependant les loups l'entourent, ils devaient être une vingtaine, plus grand que les loups de chez elle.

- Je connais les rois et reines tenta Salomé,

- Nous ne vivons que pour servir, jadis la reine blanche, dirent les loups en cœur en s'approchant dangereusement de la fillette.

- Attendez! Fit un des loups, c'est une fille d'Ève elle peut nous permettre de faire renaître notre reine!

- Jamais je ne ferais ça! Hurla Salomé

Les Pevensie et les Pensia || tome 1||Où les histoires vivent. Découvrez maintenant