L'amour de l'inconnu | k.s

Chapitre 2

PDV Miranda:

Depuis deux semaines c'est toujours la même journée qui se répète. Je me lève, je me lave, je vais bosser et il est la. Toujours au même rayon, toujours avec une casquette et une capuche qu'il ôte de temps en temps ce qui me laisse admirer sa  nuque et ses cheveux long blond platines. Il est beau,  vraiment beau. Je ne peux m'empêcher de le contempler timidement dés qu'il est la. Ce que Sophie c'est empresser de remarquer étant donné les sourires pleins de sous entendus lorsqu'il fait son entré dans la librairie.
Mais aujourd'hui quand je retourne au travaille a 14h il n'est pas la, je me surprend a chercher dans les moindres recoins une trace de sa présence, mais rien. Je suis déçu. Je me met donc a ranger nos nouveaux livres dans chaque rayon, une fois au rayon des classiques je me surprend a toucher chaque livres comme pour avoir un contact avec cet homme mystérieux qui hante mon esprit depuis deux semaines. Je n'ai jamais ressentit un tel besoin et ça m'effraie. Soudain une chaleur s'empare de moi, je sens un souffle dans ma nuque. C'est lui, j'en suis sure. Je n'ose pas me retourner j'ai bien trop honte d'avoir était surprise dans mes pensées, pensées qui était tourner vers lui... Je décide enfin de me retournée, le regard sur le sol je m'apprête a partir sans le regarder mais il en décide autrement.

Lui : Regarde moi.

Je n'ose toujours pas... Je doit être vraiment rouge la.

Lui : Regarde moi, s'il te plait.

Son ton est doux, je lève enfin les yeux et rencontre son regard qui me donne instantanément chaud. Il plante ses yeux dans les miens je suis paralysée, je n'ose pas parler.

Lui : Comment t'appelle tu ?

Moi : Je..je m'appeler Miranda.

Lui : Ken, enchanté Miranda.

Moi : En...enchantée...

Ken : On va boire un verre ?

Moi : Pardon ?

Ken : Oui un verre, dans un bar, tout les deux. Ça fait deux semaines qu'on s'observe il est peut être temps que je t'invite.

Moi : J'aurais bien aimer mais je n'ai pas fini.

Ken : Tu fini a quel ?

Moi : 18h

Ken : Parfait je t'attendrais !

Moi : Euuuh d'accord je peux y aller ?

Ken : Oui bien sure désole de t'avoir retenus.

Moi : Pas de problèmes.

Je retourne vers mon poste au ralentit, une angoisse s'empare de moi. J'ai peur de tout foirée... Je n'ai jamais eu de rendez vous...