Chapitre 3

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PDV Miranda :

Il est 18h. Mon était actuelle ? Stress total. Je pars dans les toilettes regarder mon reflet dans le miroir, mes lunettes sur le nez, mes cheveux en bataille que j'engouffre dans une queue de cheval désordonnée, mon teint légèrement bronzé bon ça devrais le faire... Enfin j'espère. Et puis merde depuis quand je prête attention a ça ! Bon je pense que je devrais y aller avant de le faire attendre.
Lorsque je mets un pied dehors le soleil est toujours présent, il est accompagné d'un petit vent hivernal. Lorsque je lève la tête je l'aperçois, Ken. J'ai enfin pu mettre un nom sur ce visage qui me hante. Il c'est installer sur un banc un air frigorifier sur le visage, le pauvre ça doit faire un petit moment qu'il attend. Je prends le temps de détailler sa tenue. Une casquette qui laisse apparaître des cheveux blonds platine, tiens c'est nouveau. Ensuite un sweat a capuche noir qu'on aperçoit légèrement sous son bomber, un jean dans les ton maronné et une paire de basket. C'est un style qui lui va à la perfection (media). Je prend donc mon courage a deux mains et m'approche enfin de lui. Il ne m'a pas encore remarqué... Bon je me lance.

Moi : Salut ?

Ken : Ahh te voilà enfin !

Moi : Enfin ? Mais il n'est que 18h05

Ken : Oui je sais mais pour être sure de ne pas te rater je suis la depuis 17h40.

Moi : Mais il ne fallait pas ! Tu vas être geler viens on va s'installer quelques part.

Ken : Bah enfaite j'aimerais bien... Mais j'ai oublié qu'on était Lundi, tous les bars sont fermés.

Moi : On a cas allez chez moi, j'habite a 5 min d'ici au moins on pourra se réchauffais un peu.

Ken : Ca ne te dérange pas ?

Moi : Tu compte me tuer ?

Ken : Hein ? C'est quoi cette question !! Bien sure que non.

Moi : Alors je te confirme que ça ne me dérange pas.

Ken : Bon alors on y va !

En ce dirigeant vers chez moi on ce pose quelques question banale comme nous demander notre âge, ville préfère ce genre de choses. Une fois devant ma porte je suis mes clefs et ouvre. Lorsqu'il franchit la porte son regard se balade sur toutes les pièces de la maison, comme un enfant curieux. Je vois son regard s'arrêter dans le salon, sur mes photos de famille installer sur un petit meuble pas vraiment utile. Il s'approche pour le contemplais de plus prêt. Quand ces photos on était prise j'avais en 3 et 8 ans, une magnifique époque de ma vie, j'avais des amis, des rires tout les jours dans notre appartement que je pouvais qualifier de banal mais chaleureux par la joie de vivre que mes parents apportés. Mais surtout a cette époque ils étaient la. Ils me manquent... Je sors de mes pensées quand je vois que Ken est entrain de parler.

Ken : Comme tu étais mignonne ! Et je vois de qui tu tiens une telle beauté, t'es parents doivent être fière de la femme que tu es devenu.

A la fin de sa phrase je n'ose plus parler, que pourrais-je dire de toute façon je pense que mon regard a cet instant précis en dis déjà long...

Ken : J'ai dis une connerie ?

Moi : En réalité mes parent sont décédés il y a 7 ans déjà.

Ken : Merde, je suis désoles Miranda je ne savais pas.

Moi : En même temps tu ne pouvais pas savoir ce n'est rien avec le temps on prend l'habitude tu sais.

Ken : Tu veux bien m'en parler ? Enfin c'est comme tu le sens.

Moi : Non y'a pas de soucis mais si ça ne te dérange pas on va s'installer et se servir a boire avant.

Ken : Je te suis ma belle.

Je me sens rougir face a se surnom, mais j'appréhende un peu la discussion qui va suivre. Je n'ai pas l'habitude d'en parler avec un parfait inconnu, mais j'ai la sensation étrange que je peux avoir confiance en Ken. On arrive dans ma cuisine.

Moi : Bon alors j'ai du café, tu thé, de l'eau, des jus de fruits et de la bière que Charlie a du laisser chez moi, alors que veux tu ?

Ken : Et bien j'ai pas mal le choix mais dis moi ce Charlie c'est ... ?

Moi : Mon meilleur ami.

Apres ça je vois un air soulager apparaître sur son visage.

Ken : Très bien et je prendrais volontiers une bière merci.

Je lui sors une bière avec le décapsuleur et prend ma tasse de thé à la menthe que je viens de finir de me préparer. On s'installe ensuite sur mon canapé, Ken les jambes écarter, sa bière a la main qui repose nonchalamment sur sa cuisse. J'aime assez son coté décontracté. Moi, j'ai mise mes chaussettes toutes douces spécial hiver pour la maison. Mes jambes pliées vers l'arrière et ma tasse entre les mains. Bon c'est le moment je crois.

Ken : Aller raconte moi tout ?

Moi : Très bien alors...

L'amour de l'inconnu | k.sOù les histoires vivent. Découvrez maintenant