Chapitre 10

1.3K 58 3
                                    

Voila comme promis mon petit cadeau pour les 21k ( maintenant 22k ) 3 chapitres d'un coup. Bonne lecture et encore merci !

Point de vue Miranda :

Le restaurant est très classe, spacieux... Je crois que c'est la première fois que je vois ça. Un serveur nous a installer, Ken semblait plutôt a l'aise mais moi beaucoup moins.

Ken : Alors ça te plait ?

Moi : C'est magnifique.

Ken : Bon je t'avoue que c'est pas le genre de resto ou je vais tout les jours mais celui la est cool parce qu'il est classe mais on bouffe pas que trois pauvres radies dans l'assiette et en plus c'est bon.

Moi : Je te fais confiance la dessus.

Le repas se passe a merveille, Ken est plus taquin que jamais et je sens que l'ambiance se réchauffe peu a peu. Il me fait de l'effet et il en est conscient tout comme je suis consciente de lui en faire. Je n'ai qu'une envie, partir au plus vite et l'emmener chez moi pour finir la soirée comme il se doit.

Dans le taxi sur le retour tout n'est qu'échange de baiser langoureux et de quelques caresses timide.Mais une fois la porte de chez moi claquer tout devient bestiale.

( La scène a suivre est a caractère sexuelle, pour ceux qui ne souhaite pas la lire je vous avertis de la fin )

Ken m'embrasse avec hargne tandis que j'empoigne ses cheveux, mon dos claque contre la porte d'entrée a cause de nos respirations et de nos mouvement pressant. Sa douce bouche descend sous mon oreille , il la mordille, puis il passe a mon cou qu'il embrasse, lèche, aspire...  Je lui enlève sa veste pendant que nous avançons sans nous lâcher vers le couloir. Il baisse une des bretelle de ma robe, puis la seconde, je me retrouve en sous vêtement et en talon face a lui. Je lui ôte sa chemise, caresse durement son torse. Avant d'arriver à la porte de ma chambre j'aperçois quelques un de nos vêtement éparpiller sur le sol. Puis brusquement je suis propulsée dans la chambre et je fini rapidement sur le lit. Nos souffles se mélangent, nos corps s'entre-choques. Je tente d'enlever mes talons a l'aide de mes pieds mais Ken me murmure simplement a l'oreille..

Ken : Garde tes talons bébé.

Une phrase, quatre mots et je perd le contrôle. Je le renverse pour me mettre a califourchon sur lui, je déboutonne son pantalon, tandis qu'il réussit a enlever ses chaussures et ses chaussettes. Une fois qu'il est en boxer je lui embrasse le cou , le torse et je continue mon aventure en descendant tout plus. Arriver dans sa zone sensible, il reprend le dessus, dégrafe mon soutiens gorges en un clin d'oeil et embrasse goulûment ma poitrine, sa langue joue avec mes tétons, une de ses mains s'aventure vers le seul vêtement qu'il me reste. J'ai chaud, très chaud... Une fois complètement nu sa bouche me découvre d'une nouvelle façon, j'empoigne ses cheveux pour l'incité a continu et même a y allé plus fort. Il entre un doigt en moi, puis deux, je me sens vibrée de la tête aux pieds. Il stop brusquement et enlève son boxer. Je lui désigne ma commode d'un simple coup de tête et il comprend instantanément. Une fois le préservatif enfiler il me regarde droit dans les yeux comme pour attendre une confirmation qui ne se fait pas attendre. Il entre doucement en moi, ses vas et viens doux  se transforme petit à petit, j'enroule mes jambes autour de lui a tellement fort que mes talons aiguilles appuient sur ses belles fesses rebondis, il grogne de plaisir et moi aussi. Je me sens partir et lui aussi, en un regard j'explose et il ne tarde pas a faire de même. Il s'effondre ensuite sur moi. Je retire mes talons, il part jeter le préservatif puis reviens sur moi, sa tête sur ma poitrine et nous nous endormons sous quelques douces caresses.

( Fin de la scène )

Point de vue Ken :

Les rayons du soleil transperce mes yeux, je me réveil tranquillement après cette putain de nuit qui restera dans ma mémoire. Une de mes mains est poser sur son sein, ma tête dans son cou, nos jambes enlacer, je me suis vraiment endormis sur elle. Je ne veux pas bouger.

Miranda : Alors réveiller ?

Moi : Oh que oui, et quel beau réveil. Mais tu sais tu aurais pu te lever même si ça m'aurait sortit d'un profond sommeil.

Miranda : Non tu es tellement paisible quand tu dors. Et puis pour tout te dire je suis plus que bien comme ça.

Moi : Moi aussi. Et puis que serais un dimanche sans glander au lit.

Elle ne me répond pas, alors je me redresse la regarde mais elle se cale sur mon torse et me serre dans ses bras, comme si elle avait peur que je me barre.

Moi : Hey bébé ? Qu'est ce qui te tracasse ?

Miranda : Bah tu sais on est dimanche et c'est la fin du weekend, je vais reprendre le boulot et je mettais déjà habituer a ta présence alors...

Moi : Tu sais, c'est pas parce que tu taffe que je vais pas passé des soirées ici , tu peux rêver !
Tu ne sais même pas a quel point je vais squatter ici même si je vais avoir pas mal de boulot avec les gars.

Miranda : C'est vrai ?

Moi : Bah ouais carrément, c'est pas pour faire le mec mais tu sais, on viens de se mettre ensemble et on se connait à peine mais avec toi je sais pas il y a ce petit truc qui fait que je veux rester vraiment tu vois. Je veux passé le plus de temps possible avec toi. Plus j'approche des 30 ans plus je me dis que ça y est je l'ai bien kiffé ma vie de rappeur célibataire mais que c'est pas comme ça que je vais fonder une famille. Alors je vais pas te faire le plan du psychopathe qui veut t'épouser en une semaine non plus mais c'est pour te dire que je veux prendre cette relation au sérieux parce que je sens que ça peut vraiment nous menez sur quelques choses. 

Je vois qu'elle est touché par ce que je lui dis alors je l'embrasse doucement et me recale sur le lit comme il faut. Je ne sais pas combien de temps nous sommes rester comme ça mais putain c'était juste bien et apaisant. Vers 20h je rentre chez moi et part rejoindre les mecs en studio, je ne sais pas encore quand je vais la revoir mais en tout cas j'ai hâte. Pendant la soirée on s'envoi pas mal de message jusqu'à ce qu'elle aille dormir. Pour moi la nuit va être longue surtout avec les reuf qui s'amusent pas mal a se foutre de ma gueule.

L'amour de l'inconnu | k.sOù les histoires vivent. Découvrez maintenant