chapitre 11

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Pdv Julien

La nuit est tombée depuis déjà plusieurs heures, je ne sais même plus combien de verres j'ai pris. Assis sur une vielle chaise avec Fred et un de ses pote, on parle de tous et de rien, surtout de mécanique et de motos. Je m'âprete à boire une autre gorgée de cette alcool toujours non identifiée mais je constate que mon verre est vide. 
Je me lève pour me resservir sans prendre la peine de répondre à Fred qui vient de me poser une question.
Je me dirige vers la table ou une dizaine de bouteilles attendent d'être vidées et me sert un énième verre. En repartant, mon regard tombe sur Loucia.

Elle est avec 2 filles qui parle joyeusement et glousse toutes les 30 secondes. Elle, elle est avachie dans un canapé déglingué avec son verre vide dans les mains, le regard dans le vague. J'allais la rejoindre mais le trios se lève d'un coup et part danser près d'un guitariste et d'un batteur qui hurle des paroles incompréhensibles. Elles se dehanchent au rythme de la musique. Surtout Loucia...je suis hypnotisé par ses mouvements gracieux malgré tous l'alcool qu'elle a dans le sang... jusqu'à ce qu'un homme la tire par le bras pour la traîner dans un coin. Je met un temps avant de comprendre qu'il s'agit de Matt.
Intrigué, je les suis et me plaque contre un mur pour écouter la conversation, Loucia s'exclame d'une voix mal assurée:

- ...moi Matt! Tu m'fais mal!

- Tu te rend compte dans quel état tu es!? Matt hurle presque tellement il est furieux.

- Comme si t'te souciait d'moi.

- Aller vient te coucher. Lui répond-t-il en ignorant sa remarque.

- Lache moi! J'te signale qu'on est plus ensemble! Tu ma plaqué! Et si j'veux boire ta rien à dire!

- T'a vu dans l'état que tu es? Pas étonnant que je t'ai quittée. Tous le monde te voit comme une grande aventurière mais au final t'es qu'une pauvre fille alcoolique.

Petit silence, je suis tenté de me manifesté mais c'est d'une voix étonnamment claire et froide qu'elle replique:

- Dégage Matt. Dégage de chez moi, de ma vie, de mon village. Je ne veux que tu soit la après demain soir.

- Tu ne te rend pas compte à qui tu parle.

- Si. Et tu sais très bien que personne n'irra contre ma volonté ici. Sur ceux, bonne nuit.

Elle part d'une démarche assurée en direction de la fête laissant Matt seul, fulminant de colère.
Je m'éclipse discrètement pour partir à la recherche d'Alex. Il doit toujours être avec sa blonde... tant pis je lui raconterais ce que j'ai vu plus tard.

Je retourne avec Fred pour finir la soirée.
Le jour n'est pas loin de se lever quand je décide d'aller me coucher. Au moment d'entrée dans l'immeuble, je remarque une silhouette solitaire assise par terre le dos appuyé contre le mur en ciment. En m'approchant, je constate que c'est Loucia complètement ivre une bouteille vide à la main.
Son short est couvert de terre et son débardeur à l'origine gris et blanc et maintenant dans un sale  état. Sans un mot je m'assoi près d'elle. Son visage est pâle et ses cheveux complètement emmêlés.
Soudain elle prise d'un spasme et se penche sur le côté pour vomir tous l'alcool bu dans la soirée. En soupirant j'attrape ses cheveux pour éviter qu'ils la gêne. À la fin elle n'a même plus la force de se redresser, elle s'étale par terre et s'endors instantanément.
Je la fixe un instant avant de la prendre dans mes bras pour l' emmener à l'appart.

Je pousse la porte avec mon pied et pénètre dans le salon. Loucia,endormie dans mes bras, respire paisiblement sa tête dans mon cou.
Des gémissements et des grincements d'un sommier se font entendre de la chambre d'Alex. Il passe du bon temps lui au moins...
Sans trop réfléchir, je rentre dans la mienne et dépose la princesse sur le matelas avant de m'étaler de tous mon long pres d'elle. Mon regard se pose sur son short devenu marron et son débardeur qui sent la transpiration. Résigné, j'entreprend de lui enlever ses vêtements. Je comprend seuleument après l'avoir débarrassée de son haut qu' elle ne porte pas de soutien gorge. Je me perd dans la contemplation de sa poitrine pendant une bonne minute avant de revenir à la réalité. Je la couvre rapidement avec une couverture, me déshabille vite fait et me glisse sous les draps. À peine ma tête à touché l'oreiller que je m'endors.

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