Assault

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"Cours! Ne t'arrête pas et fonce là où tu pense que ce sera sécuritaire! Ne te retourne jamais pour voir si il y a des survivants! Tu es l'espoir de notre peuple! Ne t'arrête jamais de courir jusqu'à ce que tu ai trouvé un lieu sûr! Survie pour moi! Cours!"

J'ai figée. Courir? Mais où? Où un lieu sera t'il plus sur? Maintenant le danger est partout et rien ne l'arrêtera. Je serrais la dernière après tout ça?

Le sons des cornes de brumes sonnent l'alerte général. La ville, la dernière ville des Yeomsos, est attaquée. Par qui? Les Killeo-sae , nos ennemis jurés. Nous sommes un peuple pacifique, mi-homme mi-bouc défendant la paix. Un peuple qui ne prend pas les armes est un peuple mort et éteint d'avance... Les Killeo-sae sont un peuple barbare mi-Homme mi-Vautour, des oiseau charognard qui on l'instinct chasseur d'un homme et les réflexes charognards des vautours.

Mon père se retourne voyant que je n'ai pas bougé. Dans la rue où nous nous trouvons, tout les Yeomsos sont en panique total. Les gens cours dans tout les sens essayant de trouver un endroit pour ce cacher mais en même temps, tout le monde sait que la lutte est perdu d'avance. Il me prend par les épaules et me secoue légèrement pour que je sorte de mon état de choc. Ses cheveux bleu caresse son visage tres pâle, sûrement à cause de la panique qu'il y a dans son coeur et dans son esprit.

"Passe vite à la maison, prend tout ce dont tu a besoin, dans le placard de notre chambre à moi et maman il y a une bourse contenant 3 000 topaze. Ils t'aideront pendant un certain temps. Prend tout ce qui est utile à la survie et laisse le reste! Vite ils arriverons et nous exterminerons tous, tu dois t'en aller Pingkeu!"

Le fait qu'il ai prononcer mon nom de facon si agressive me sort de mes pensées. Un Killeo-sae survole la ville ce qui fait paniquer les gens encore plus. Le conflit prendra fin aujourdhui par l'extermination totale des Yeomsos selon mon père. Notre roi sera mis à mort et les Killeo-sae laisseront le peuple mourir de faim ou les exécutera tous.

Je regarde les yeux bleus de mon père pour la dernière fois et celui ci ce met à pleurer voyant que je n'ai pas retrouver mon total sens de la réaction. Il hausse la voix une nouvelle fois

"Pingkeu! Maintenant! Cours!"

Je sursaute et commence à courir vers la maison. Mon père cris encore:

"Ne t'arrête jamais Pingkeu! Fonce! Et si tu entend un sifflement dernière toi, jette toi par terre! Sauve toi en passant par en dessus de la muraille! Dernière chez nous! Tu sais où ce trouve la trappe au sous sol! Cours Pingkeu!"

Espoir des Yeomsos (en pause)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant