Les Killeo-Saes sont de plus en plus nombreux à survoler la ville. Uniquement vêtue d'une petite robe noir à bretelles, je cours les cheveux dans le vent. Des gens essayent de m'arrêter en pensant que je cherche un abris mais je me débats à chaque fois et continue de courir jusqua chez moi comme me l'a ordonné mon père.
Jentend un sifflement.
-Tous au abris!!! Cria une voix masculine grave.
Je repense à ce que m'a dit mon père. Me jeter par terre si j'entendais un sifflement. C'est ce que je fais. Je m'écorche les coudes et les genoux en me jetant sur la rue de pierres pavés. Derrière moi, une bombe était tombée du ciel et consuma l'homme qui vennait de crier.
"de la eodum ..."
C'est une sorte de matière noir que les Killeo-Sae possède. Elle n'a ni commencement ni fin. Conçu par la noirceur total et plongée dans les ténèbres pendant des années incalculables, le eodum est recueillie par les Killeo-saes et est transportée dans des genre de baril. Lancé de haut, le baril explose au sol et le eodum contenu dans le baril consume les personnes ce trouvant près de l'explosion et en consumant la personne, le eodum se consume aussi lui meme. Je me relève sachant que d'autre baril tomberons bientot en quantité infini jusqu'à ce que tout les Yeomso soit consumés.
Je me remets à courir. Jarrive près de la maison. Je me fais bousculer par quelques personnes avant de pouvoir atteindre la porte de bois de la maison et une fois à l'intérieur, je ferme la porte brusquement. De dehors, j'entends des explosions de barils et les cris des gens apeurés ou en train de disparaître,consumé par le eodum. Je me met à pleurer réalisant enfin la gravité de ce qu'il va arriver. Je serrais la dernière à présent. Mon père est sûrement mort à l'heure Qu'il est... Je ne peut pas retourner en arrière... Je cours dans ma chambre chercher un sac à bandoulière marrons et j'y met quelques vêtements et couvertures pour ne pas avoir froid. Ensuite je monte dans la chambre à mes parents et va dans l'armoire à mon père et à ma mère Comme il me l'avait dit. J'y trouve la bourse en cuir contenant les 3 000 topazes et mon regards est attiré par une cape a capuche appartenant à ma mère.
"Cela pourrait m'être utile..."
Je met la cape brune, l'intérieur étant rembourré en laine, et prend une Paire de botte a mon père, celle qui sont de meilleure qualité et fonce en vitesse au sous-sol. La je fige une nouvelle fois.
"Pourquoi je deverais m'enfuir seule? Ce serrais égoïste de ma part essayer de m'enfuir seule! Je dois au moin sauver une personne."
Je remonte les escaliers et entend encore les cris de gens désespéré.
"C'est la fin!" Cris une Dame, un bébé dans les bras.
"jamais on ne s'en sortira!" Cris un homme dans la quarantaine.
Les gens sont devenu fou... La peur étant l'émotion dominante dans cette situation, si je proposerais à quelqu'un de venir avec moi ou de le sauver, je créerais une émeute et attirerais tout les Killeo-sae à la maison... Je me remet à pleurer et retourne dans le sous sol, le coeur remplie de remords et d'amertume. J'ouvre la trappe menant de l'autre côté de la muraille, dans la foret des hommes cerfs, les Saseums. N'agissant maintenant qu'avec mon instinct de survie, je fonce dans le tunnel de quelques kilomètre espérant arriver à l'autre bout sans avoir était suivi par un Killeo-sae. C'est officiel. Maintenant, je suis la dernière Yeomso.
***
-Comment ce fait il qu'il ne se défende pas?
-Mon roi, tel a etait la descision du roi des Yeosmos. Personne ne doit prendre les armes.
Du haut de la tour de son château de feuille et de bois, le roi des Saseums regardait la scène qui ce déroulait devant ses yeux avec dégoût et amertume. Son panache était horné de feuilles vertes et de petites lianes et ses cheveux longs blonds descendaient sur chaque coter de sa tenue de cérémonie verte, or et blanche qui elle descendait jusqu'au sol et traîné derrière lui. À ses côtés se tenait son conseillé. Tout deux ne comprenaient pas le mode de pensés des Yeomsos.
-Ils ne se défendent même pas contre les Killeo-saes et nous restons bras croisés à regarder nos amis ce faire massacrer. Je ne comprend pas!
-Mon roi, les ordres donnés par le roi des Yeomsos etait claire... Je suis aussi triste et désemparé que vous.
Le roi au panache de Cerf se retourna en entendant un cris de douleur persant au loin. Il n'était plus cappable d'endurer le spectacle. Des ombres humaine au ailes noirs macabres laissaient tomber des barils sur la ville et à chaque explosions des cris de douleur persant se faisaient entendre.
-Vous croyez qu'il y aura des survivants?
Le conseillé secoua la tête amèrement et enleva ses petites lunettes dorées de forme ovale et caressa sa queu de cheval blonde qui descendait sur son épaule droite:
-Mon très cher roi... Les Killeo-saes on prévu l'anéantissement total des Yeomsos... Si par malheur un seul Yeomso parvient à survivre il sera traqué et chassé jusqu'à sa mort si son existence viens à etre dévoilé.
Le roi des Saseums serra les poingts:
-Je jure qu'un jour je vengerais les Yeomsos et détruirais les Killeo-saes pour toutes leurs actions cruelles... Je vengerais tout les innocents...
Le conseillé approuva tristement en hochant la tête et regarda vers la muraille de Pierre de la ville. Il crut appercevoir une jeune fille au cheveux courts roses et aux cornes de bouc sortir d'un passage souterrain.
-Impossible... Ou plutôt incroyable....
-Que ce passe t'il?
Le conseillé se retourna vers le roi des Saseums une lueur d'espoir dans les yeux.
-Je crois que quelqu'un c'est échappé du massacre mon roi.
Le roi écarquilla les yeux.
-Que l'ont aie sauver ce Yeomso au plus vite!
-Bien mon roi je vais alerter l'équipe de secours au plus vite!
Le conseillé couru jusqu'aux escaliers et le roi prit sa place au rebord de la tour. Il appercut une jeune fille au cheveux coupé cours rose entrer dans la forêt vêtue d'une Cape marons.
-L'espoir des Yeosmos... Chuchota le roi comme pour lui meme.
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Espoir des Yeomsos (en pause)
FantasyLe monde de Ban-Dongmul... Le monde des hommes mi-bete. Il y a de cela bien longtemps une guerre éclata entre les Killeo-saes, hommes-Vautours, et les Yeomsos, hommes-boucs. Une seule jeune filles s'en ai échappée. L'anéantissement total n'a pas eu...