Les herbes fouettaient mes pauvres jambes,les pierres aux sol écorchaient ma plante des pieds, les branches griffaient mes bras. Et pourtant Malgré cette douleur je continuais à courir, ne pouvant me retourner, sous peine de me faire rattraper. Fuir, etait la seule chose qui était importait maintenant. Je ne devais pas tomber entre leur mains. Absolument pas.
A travers les champs, je courais aussi vite que je le pouvais. Les larmes coulaient. J'avais tellement peur, de rater cette évasion
- Allons!! Il nous faut vite retrouver cette négresse !
Les cries fusaient , ils n'etaient pas si loin.
J'accélerais ma course, jusqu'à repousser mes limites.
Que quelqu'un me vienne en aide ! ... Mais je le savais, personne dans ce monde, n'aidera une nègre en fuite.
Fatiguée, et démoralisée, continuais quand même de courir pour échapper à mes poursuiveurs.
Ma limite atteinte, je me laissais tombée dans les hautes herbes, qui s'étendaient à pertes de vue. C'était un bon endroit pour se cacher. Il faisait nuit, et les herbes étaient bien trop grandes pour que l'on se doute, qu'une personne s'y soit cachée.
- Elle était là monseigneur, je l'ai vu juste devant !!!!!
Le Sort qui était dédié aux esclaves qui s'étaient échappé était l'amputation d'un membre , alors je tentais de respirer de moins en moins fort. Le silence devait redevenir maître, du champs. En cette année de 1838 je tentais le tous pour le tous pour obtenir ma libertée, et éviter d'être revendue.
Mon corps ne tenais réellement plus le choque , je n'avais jamais autant courue.
La douleur gagnait toute les parties de mon pauvre corps frêle . J'aurai du mieux préparer ma fugue. Me voilà traquée comme un animal.
Ils étaient tous, mauvais! Ceux qui c'étaient proclamé maître, n' étaient que des êtres vils et détestables. Mon dédain pour cette famille dans laquelle j'avais vécue depuis ma naissance, n'était que plus grand de jours en jours . Ils méprisaient les noirs et les traîtraient, comme des meubles. Nous traitant comme une race inférieure, et nous forçant à travailler. Comme s' il n'y avait jamais eu aucune once d'humanité en eux.
Alors si j'etais vendue, la triste existence que je vivais déjà, pourrait s'enpirer, puiseque ces gens, étaient tous ignobles.
C'était ainsi...Je n'avais pas connue mes parents. Les anciens de la maison m'avaient racontés, qu'ils avaient été tués pour une faute absurde, que leur avaient reproché les maîtres de la maison.
Il n'y avait plus aucun son mis à part ceux des grillons. La penombre couvrait, de sa robe sombre l'entièreté du paysage. levant la tête le plus discrètement possible, je regardais dans toutes les directions. Étaient- il parti ? Avaient -il déjà cessé de me chercher?
Il n'y avait plus personnes dans les alentours, plus aucune ombres, souhaitant me faire du mal. Le champs avait retrouvé son calme. C'était donc ma chance, si je voulais vraiment partir.
En me levant complètement prête à prendre la fuite je fus attrapé par de grands bras ma assez poilus, avant même que mes muscles se mirent en position pour courir.
-Lâchez moi !!!!! Criais- je à gorge déployée, me battant comme une lionne..
- Tenez bien la négresse et ne lui faites aucun mal, l'acheteur la veut en bonne état !!! Gueulait un homme sortit, à son tour de sa cachette , suivit des autres.
J'etais sotte! ils n'avaient jamais abandonné. E ux aussi etaient caché dans les herbes , guettant ma sortie pour mieux me capturer, la proie que j'étais devenue.
Partie partiellement corrigée
@bluenell
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Darling
FanfictionEn 1838 dans le pays nommé autrefois le nouveau monde , les gens comme moi sont opprimés maltraités,. J'ai toujours cru que ces gens qui osent prétendre que nous sommes une race inférieure avaient tous les même pensées , mais j'avais tord. La haine...