Darling

Chapitre 26: Mirage

- Père lui a donné une deuxième, chance... dis je, en rentrant dans cette chambre, que je n'avais vu depuis longtemps. 

Des semaines étaient passé, pourtant pas assez pour me créer cette impression de renouveau au sein de cette chambre. Comme si je ne l'avais jamais laissé, comme si je ne m'étais jamais absenté. je souris, puis celui-ci s'efface aussitôt. Mes vêtements, sont éparpillés au sol. Tous sans aucune exception, ils y sont tous passé. Du blanc, comme au vert, personne n'a été épargné. Les vestons, les chemises, les vestes, les costumes, les manteaux, tous. On pourrait presque croire, qu'une tornade c'était glissé dans ma chambre. Pourquoi sont-il là? Portant mon attention vers Nelly, pour lui poser la question, Je m'aperçoit que celle-ci tremble presque. Comparable à une enfant,  cette femme me parait si faible, comme la plus fragile des fleurs que l'on souhaite protéger, créant en moi cette envie de la rassurer. Si c'est Arnold qui lui fait peur, elle ne doit en aucun cas s'en inquiéter car je serai la, toujours et à jamais la pour assurer sa sécurité.  

Levant son visage je perçois, perlé de petites larmes semblable a de minuscules diamants, la rendant aussi mignonne qu'elle ne l'es déjà. Souriant affectueusement, je m'approche d'elle lentement. Une fois près d'elle, j'essuie délicatement ses larmes cristallisé. A ce moment, une lumière éblouissante sortait de derrière elle, comme pour valoriser  sa beauté. Je ne pouvais plus le nier, Nelly était magnifique. La tenant par la taille, nous nous regardions, comme si plus rien n'existe. Elle ne pleure plus, ne dit rien, ne bouge plus, son regard seul  est en action. Par  ses simples yeux elle me redécouvre, faisant de même je souris à nouveau, heureux d'être proche d'elle, sans que cela soit malsain, forcé, gênant, déstabilisant. Juste deux êtres qui s'aiment, deux êtres voulant croire pendant ne ce reste qu'un instant que leur amour est possible. A ce moment c'est, elle et moi. Nelly et moi contre tous le reste du monde. La regardant, je me demande pourquoi  c'était compliqué. Elle est la représentation même, de ce mots " Amour" . Ses yeux noirs me fixent, sa main caressant  lentement mes cheveux et délicatement me procure un sentiment de bien être. Faisant de même, celle-ci  semble ressentir la même chose , puisqu'elle  frisonne. Somme nous connecté? Comment un simple, touché peut-il faire ressentir cela? Les yeux toujours dans les yeux nous nous regardons. Ses mains parcours mon visage, avec délicatesse comme si celui-ci  était la chose la plus précieuse à ses yeux. Mes sourcils, mes yeux, mon nez, mes pommettes, mon arc de cupidon, mes lèvres, mon menton, mon cœur, mon âme, mon torse, ma virilité, mes poils, mes mains, mes genoux, mes pieds, mes cuisses, mes tendons, mes bras, mes tétons, mes fesses, mes oncles... Tous lui appartient, je lui offre tout mon corps, tout mon être. Parce que, je l'aime, parce que je t'aime Nelly . "Je t'aime" cette Phrase, ne suffit à exprimer tout ce que je ressent pour toi, pourtant c'est ce que l'humanité à créé comme phrase, pour transcrire ce sentiment.   

-Je t'aime, murmurais je, débarrassé d'un poids qui pesait sur mon cœur depuis  un mois.

 Aucune réponse ne sort de sa bouche, Comme je m'y attendais. Malgré tout ses yeux s'illuminaient comme les étoiles dans le ciel. Son sourire plus éclatant que jamais, me mettait le baume au cœur. Elle n'a pas besoin de me le dire, je l'ai compris. Mes sentiments sont réciproque. Elle m'aime, et je l'aime. Nous nous aimons. Il n'y a t-il rien de plus beau que d'aimer, et de ce faire aimer en retour. Une larme coule sur ma joue. Une main sur mon cœur, l'autre séchant cette larme, toute souriante ma bien aimée me regarde amoureusement. Nous ne nous quittions plus des yeux, de peur que tout cela ne point vrais. Prenant son doux visage, entre mes mains, je l'embrasse. Nous nous étions déjà embrassé , et j'ai déjà embrassé de nombreuses femmes, mais ce baiser est décidément le plus vrai, le plus  révélateur,et l'un des plus précieux. à contre cœur nous séparons nos lèvres, et je remarque que nous ne sommes plus dans mes appartements, mais dans le champs de fleurs qui précède toujours le manoir Strancy.  Aucun nuage est présent dans le ciel, le soleil Roi n'a jamais été aussi brillant, comme pour célébrer notre amour.

Nelly me lâche la main, et se met à courir joyeusement tels une enfant à travers les fleurs. m'asseyant sur le parterre, je l'a regarde tristement. C'est un rêve, un bien trop beau rêve, et j'y suis encore. Ses rires résonnent mélodieusement dans toute la prairie. Elle cours, saute, tourne, danse, c'est beau à voir. Le rouge, le rose, le jaune, et le blanc des fleurs qui s'étendent à perte de vue, la rendent encore plus belle. Cette Enfant est une fleur aussi ,la plus précieuse d'entre toutes; la plus belle, la plus vivante. Attendant comme un supplice que ce doux songe ce termine je l'a regarde, déjà mélancolique. Dans la réalité rien de tout cela ne c'est produit, était ce un rêve prémonitoire ?

Me promettant de lui avouer réellement mes sentiments à son égard, dans ce même champs de fleurs, j'attendait la fin de ce merveilleux rêve devenu un supplice...       

J'ouvre mes yeux, et constate rapidement que je me suis assoupis sur l'un des sofas du premier Salon. Me redressant, je frotte mes tempes. Il ne me fallait pas bien longtemps avant que mes souvenirs reviennent. J'avais trouvé Nelly dans mes appartements, mes vêtements  au sol. Elle était terrifié à l'idée qu'Arnold puise lui faire du mal, je lui avait assuré qu'il n'en ferai rien. Puis la jeune fille m'avait avoué que ce désordre était l'oeuvre de mon honorable cousin, furieux j'étais allé le retrouvé. Il ne m'avait pas fallut énormément de temps pour le trouver. Sous mon regard tyrannique, cet idiot avec l'aide de Nelly avait remis tous ces vêtement à leur place , partant ensuite sans rien demander de plus. Nelly avait prétexté une certaine choses à faire, puis c'était enfuie. Seul, j'étais venu me reposer dans le premier salon. J'imagine ensuite que je me suis endormi, et le visage de cette enfant c'est glissé dans mes songes, me créant ce mirage.

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Bonjour, Bonsoir ça fait longtemps. J'espère que l'attente n'a pas été trop longue. Je pense que je redeviendrais régulière, puisque j'ai une assez bonne avance, mais il faudrait déjà que je la garde sur un long terme. Je posterai maintenant 1 chapitre par semaine tous les mardi à minuit, parce que j'aime trop le mardi, et des fois peut être bien que j'en posterai 2 ou 3. A oui Le premier chapitre de "Casque bleu" à été posté, pour celles ou ceux que ça intéresse .